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La question de son maître ne semblait pas traumatiser l'esclave qui réfléchit un instant a sa réponse. Elle expliqua qu'elle avait fait beaucoup de chose déjà entre autre a cause de ses anciens maîtres. Elle semblait en mesure de faire des pratiques sexuelles comme d'en subir sans discernement. Mehen la regardait en acquiescent, se doutant de quel genre de "pratique" elle pouvait parler. Tooka rougissait légèrement et reprit, expliquant qu'elle était en mesure de faire des choses que personne d'autre ne pouvait faire. Son maître ne voyait pas vraiment de quoi elle pouvait parler car, après tout, il ne l'avait pas vu nue et ne voyait pas ce qui la rendait si unique. Après tout, peut être que si elle portait des sabots, son sexe aussi différait de celui du commun des mortels.
Tooka baissa un peu la tête en reprenant a nouveau pour expliquer que cette chose qu'elle était seule a savoir faire ne se pratiquait que seule car ses maîtres avait peur de cela. Mehen était d'autant plus inquiet, quelle difformité pouvait être si dangereuse mais aussi impartageable? Il l'apprendrait sûrement assez tôt, la n'était pas la question. Sans regarder son maître elle lui expliqua qu'elle saurait s'occuper de lui, pouvait passer son sexe partout en elle ou sur elle, quel que soit la demande qu'il ferait, elle serait pratiquée. Visiblement, Mehen avait bien choisit sans même le réaliser. Il avait déjà envie de découvrir jusqu'ou elle irait pour lui mais il savait aussi que plus il prendrait son temps, plus se serait agréable, pour lui comme pour elle
Parfait alors, je tacherais de garder de garder le même rythme que tes anciens maîtres t'imposait sexuellement pour ne pas que tu sois perdue. Nous aurons tout le temps de voir comment on peut s'amuser de toute manière mais une fois qu'on sera isolé.
Mehen aurait sûrement pu "essayer" son esclave en s'isolant dans des toilettes ou dans un bosquet mais ils arrivaient en vu du bar et la faim du jeune homme était bien supérieur a son envie sexuelle. Il se dirigea donc vers l'échoppe suivit de près par Tooka et y entra, attirant tout les regards vers lui. L'endroit assez bien tenue et, hormis le barman et les serveur qui voyait en ces deux êtres une source de profit, les autres clients semblaient plutôt surpris par Tooka et la dévisageaient comme un monstre. C'est sûrement pour ça que Mehen s'installa dans un coin un peu à l'écart, s'écartant un peu pour laisser son esclave s'asseoir avant lui. Il s'installa en face d'elle pour des raisons…. Enfin, vous avez compris
Ignore les regards des autres, moi je te trouve très bien comme tu es.
La phrase avait pour but principal de rassurer l'esclave mais impossible de dire si elle eut effet car déjà un serveur venait demander les commandes des deux jeunes gens… Enfin pas exactement, sa question n'était destiné qu'a Mehen qui fut un peu surpris mais, après tout, se dit que ce devait être normal. Ca n'était pas l'endroit où le jeune homme avait l'habitude d'aller et donc, il ne connaissait pas vraiment la carte que proposait ce petit bar donc il se contenta de demander une carte des menus pour faire un choix sans surprise. Le serveur lui en apporta une et une seule. Tooka était déjà dénigré et considéré comme un objet en plus d'être considéré comme un monstre. Son maître ne pourrait rien a cela et commença a regarder les menus
Alors Tooka, qu'est ce que tu aime manger? Ou du moins qu'est ce qui te ferai plaisir la?
Tooka baissa un peu la tête en reprenant a nouveau pour expliquer que cette chose qu'elle était seule a savoir faire ne se pratiquait que seule car ses maîtres avait peur de cela. Mehen était d'autant plus inquiet, quelle difformité pouvait être si dangereuse mais aussi impartageable? Il l'apprendrait sûrement assez tôt, la n'était pas la question. Sans regarder son maître elle lui expliqua qu'elle saurait s'occuper de lui, pouvait passer son sexe partout en elle ou sur elle, quel que soit la demande qu'il ferait, elle serait pratiquée. Visiblement, Mehen avait bien choisit sans même le réaliser. Il avait déjà envie de découvrir jusqu'ou elle irait pour lui mais il savait aussi que plus il prendrait son temps, plus se serait agréable, pour lui comme pour elle
Parfait alors, je tacherais de garder de garder le même rythme que tes anciens maîtres t'imposait sexuellement pour ne pas que tu sois perdue. Nous aurons tout le temps de voir comment on peut s'amuser de toute manière mais une fois qu'on sera isolé.
Mehen aurait sûrement pu "essayer" son esclave en s'isolant dans des toilettes ou dans un bosquet mais ils arrivaient en vu du bar et la faim du jeune homme était bien supérieur a son envie sexuelle. Il se dirigea donc vers l'échoppe suivit de près par Tooka et y entra, attirant tout les regards vers lui. L'endroit assez bien tenue et, hormis le barman et les serveur qui voyait en ces deux êtres une source de profit, les autres clients semblaient plutôt surpris par Tooka et la dévisageaient comme un monstre. C'est sûrement pour ça que Mehen s'installa dans un coin un peu à l'écart, s'écartant un peu pour laisser son esclave s'asseoir avant lui. Il s'installa en face d'elle pour des raisons…. Enfin, vous avez compris
Ignore les regards des autres, moi je te trouve très bien comme tu es.
La phrase avait pour but principal de rassurer l'esclave mais impossible de dire si elle eut effet car déjà un serveur venait demander les commandes des deux jeunes gens… Enfin pas exactement, sa question n'était destiné qu'a Mehen qui fut un peu surpris mais, après tout, se dit que ce devait être normal. Ca n'était pas l'endroit où le jeune homme avait l'habitude d'aller et donc, il ne connaissait pas vraiment la carte que proposait ce petit bar donc il se contenta de demander une carte des menus pour faire un choix sans surprise. Le serveur lui en apporta une et une seule. Tooka était déjà dénigré et considéré comme un objet en plus d'être considéré comme un monstre. Son maître ne pourrait rien a cela et commença a regarder les menus
Alors Tooka, qu'est ce que tu aime manger? Ou du moins qu'est ce qui te ferai plaisir la?
Invité
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Tooka savait pertinament qu'elle avait fait planer un mystère sur elle. Mais savait aussi que ce n'était pas aussi impressionnant que ça au final. Bien des Ainoko avait ce genre de chose mais ils ne pouvait pas l'utiliser aussi bien qu'elle savait le faire. Personne même. Et Tooka avait un esprit plus tordue qu'on ne le pensait derrière son air timide pour avoir trouver bien des idées à l'utilité de cette chose. I lest vrai qu'elle pouvait être dangereuse.. mais pas tant que ca, c'était tout simplement que ses anciens Maîtres ne lui faisaient absolument pas confiance.
Mehen semblait très satisfait de la réponse donné par la jeune femme. Puis il lui parla ouvertement de al pratique. Tooka n'en fut pas choquée. Il parlait juste de rythme non? Et puis aussi il parlait de s'amuser, cela la rassurait beaucoup, car jamais on ne s'était préoccupé de savoir si elle elle ressentait du plaisir. Elle fit un sourire et un signe de la tête, elle approuvait.
Tooka suivit son Maître jusqu'au bar. Il était simple et très correct. Mais l'Ainoko ne regardait pas ça, elle humait l'air et sentait les odeurs de nourriture lui taquiner les narines.
Ca sens bon...
Murmura t-elle en passa brièvemeent sa langue sur ses lèvres. Mais elle sentit bien vite les regard perçant se poser sur elle. Elle baissa de plus ne plus la tête comme pour se rendre discrête ou disparaitre. Mais il était inévitable qu'elle se fasse remarquer, et ses sabots s'entendaient sur le sol. Même si la robe empêchait aux gens de voir ce qui faisait ce bruit c'était sur que cela venait d'elle et attirait donc encore plus al curiosité des gens dans le bar. Le jeune homme en était conscient lui aussi, de ces regards qui regardaient son esclave comme une bête de foire. Il lui dit alors quelques mot pour la rassurer et lui font énormément plaisir, jamais on à son souvenir on lui avait dit qu'elle était bien comme elle était.
Merci.
Dit-elle avec une toute petit voix. Le Maitre était vraiment gentil avec elle pensait-elle, elle se demandait si elle méritait autant d'attentions.
Mehen l'invita à s'assoir dans un coin plus tranquil. Elle lui sourit timidement avant de prendre place en remontant un peu sa robe pour être à l'aise une fois assise, mais rien de choquant ni même de remarquable. Une personne arrive et ne s'interesa qu'a la personne de son Maitre, elle trouvait ca normal et n'en fut donc pas frustrée. Puis le jeune home lui demanda ce qu'elle aimait manger. Encore surprise, décidément elle allait de suprise en surprise avec son nouveau Maitre et c'était très agréable. Elle lui répondit en toute innocence:
Tooka mangeait souvent du pain et de l'eau.
Comment pouvait-on dire ca avec un ton aussi enjoué?
Mais ici ca sens tellement bon... je ne sais pas ce que c'est.
A ce moment la un serveur passe juste à coté de la table avec un plat de viande cuisinée. Tooka se mit à humer l'air un peu comme le ferait un chiot. C'était pas ridicule mais touchant de la voir découvrir des choses si simple avec l'innocence d'un animal.
Réalisant qu'elle s'égarait un peu elle revient sur terre et regarde son Maitre gênée par sa réaction qu'elle savait trop "primitive"
Je mange de tout, je mange ce que le Maitre me donne. J'aime manger à ma fin;
Elle se tenait bien droite sur sa place, Elle avait un peu peur que sa dernière phrase ne plaise pas, un esclave n'a pas à dire si il aimait manger ou pas.
Mehen semblait très satisfait de la réponse donné par la jeune femme. Puis il lui parla ouvertement de al pratique. Tooka n'en fut pas choquée. Il parlait juste de rythme non? Et puis aussi il parlait de s'amuser, cela la rassurait beaucoup, car jamais on ne s'était préoccupé de savoir si elle elle ressentait du plaisir. Elle fit un sourire et un signe de la tête, elle approuvait.
Tooka suivit son Maître jusqu'au bar. Il était simple et très correct. Mais l'Ainoko ne regardait pas ça, elle humait l'air et sentait les odeurs de nourriture lui taquiner les narines.
Ca sens bon...
Murmura t-elle en passa brièvemeent sa langue sur ses lèvres. Mais elle sentit bien vite les regard perçant se poser sur elle. Elle baissa de plus ne plus la tête comme pour se rendre discrête ou disparaitre. Mais il était inévitable qu'elle se fasse remarquer, et ses sabots s'entendaient sur le sol. Même si la robe empêchait aux gens de voir ce qui faisait ce bruit c'était sur que cela venait d'elle et attirait donc encore plus al curiosité des gens dans le bar. Le jeune homme en était conscient lui aussi, de ces regards qui regardaient son esclave comme une bête de foire. Il lui dit alors quelques mot pour la rassurer et lui font énormément plaisir, jamais on à son souvenir on lui avait dit qu'elle était bien comme elle était.
Merci.
Dit-elle avec une toute petit voix. Le Maitre était vraiment gentil avec elle pensait-elle, elle se demandait si elle méritait autant d'attentions.
Mehen l'invita à s'assoir dans un coin plus tranquil. Elle lui sourit timidement avant de prendre place en remontant un peu sa robe pour être à l'aise une fois assise, mais rien de choquant ni même de remarquable. Une personne arrive et ne s'interesa qu'a la personne de son Maitre, elle trouvait ca normal et n'en fut donc pas frustrée. Puis le jeune home lui demanda ce qu'elle aimait manger. Encore surprise, décidément elle allait de suprise en surprise avec son nouveau Maitre et c'était très agréable. Elle lui répondit en toute innocence:
Tooka mangeait souvent du pain et de l'eau.
Comment pouvait-on dire ca avec un ton aussi enjoué?
Mais ici ca sens tellement bon... je ne sais pas ce que c'est.
A ce moment la un serveur passe juste à coté de la table avec un plat de viande cuisinée. Tooka se mit à humer l'air un peu comme le ferait un chiot. C'était pas ridicule mais touchant de la voir découvrir des choses si simple avec l'innocence d'un animal.
Réalisant qu'elle s'égarait un peu elle revient sur terre et regarde son Maitre gênée par sa réaction qu'elle savait trop "primitive"
Je mange de tout, je mange ce que le Maitre me donne. J'aime manger à ma fin;
Elle se tenait bien droite sur sa place, Elle avait un peu peur que sa dernière phrase ne plaise pas, un esclave n'a pas à dire si il aimait manger ou pas.
Invité
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Tooka semblait fortement attiré par l'odeur de viande grillée qui régnait dans l'atmosphère. Son air éhonté s'était dissipé quand le maître lui fit un petit compliment et elle souriait avec un air encore intimidé. Sans doute que Mehen n'agissait pas comme un maître qui traiterait un esclave de ce genre comme un animal, la faisant manger une sorte de pâté dans une écuelle au sol et les restes qu'il voudrait bien lui donner. L'esclave expliqua alors qu'elle mangeait généralement du pain de l'eau avec un air presque enjoué, comme si ce maigre repas constituait un délice pour elle. Cependant son nez la rattrapa et elle expliqua qu'elle trouvait vraiment l'odeur alléchante sans savoir d’où elle provenait.
C'était visiblement quelque chose qu'elle ne connaissait vraiment pas vu l'air intriguée qu'elle lançait vers le bar. Comment avait elle survécu sans dévorer de protéine? Peut être qu'elle avait trouvé un moyen de ses pallier a ses manque avec le sexe après tout. Tooka humait l'air comme un chien avec un air qui trahissait sa faim. Elle finit par revenir a son maître qui la regardait pensivement, se demandant s'il faudrait la nourrir de la même façon que les autres maîtres mais chassa cette idée quand elle expliqua qu'elle mangeait tout ce qu'on lui donnerait. Mehen dit un sourire à l'esclave, amusé de la voir air si primitivement
Je vais te prendre la même chose que j'aime prendre le matin, si tu n'aime pas tu pourra toujours me donner ta part et commander autre chose
Sans prendre attention au regard de son esclave qui devait être plus que surprise d'être traité en égal de son maître, Mehen fit signe au serveur de revenir. Comme la plupart des endroits qui vendait de la nourriture, ce petit bar disposaient d'un menu spécial pour le petit déjeuner qui devrait satisfaire le jeune homme mais aussi sa bête. Le serveur revint, l'air toujours accueillant qui cachait sûrement son dégoût pour Tooka et prit la commande des deux menus, l'air un peu surpris que l'esclave ne soit pas nourri avec de la pâté ou un autre aliment réducteur mais se passa de commentaire et repartie vers les cuisines. Mehen, quant à lui, revint vers son esclave avec un air souriant. Il n'avait pas perdu cette pulsion sexuelle qui le rongeait malgré le lieu
J'espère en tout cas que tu vas m'apprécier en tant que maître, tu est ma première esclave et je n'ai pas vraiment d'expérience dans la soumission ou dans le sadisme… Enfin tu n'as pas l'air d'aimer être frappée, je me trompe?
Alors qu'il parlait, Mehen dénudait son pied sous la table sans que cela soit visible. Il avait sûrement la peau froide et presque visqueuse et s'attendait a un sursaut de Tooka et c'est pour cela qu'il lui souriait. Avançant lentement son pied sous la table, il sentit le contact du tissu de la robe et se glisse dessous pour venir caresser le mollet de son esclave. C'était un geste intime et plein de sous entendu et Mehen aimait ce genre d'acte. Il remontait lentement le long du mollet de sa partenaire sans quitter cette expression souriante et accueillante. Personne ne devait pouvoir voir qu'en fait, il se passait quelque chose d'autre qu'une simple discussion entre un maître et une esclave…
C'était visiblement quelque chose qu'elle ne connaissait vraiment pas vu l'air intriguée qu'elle lançait vers le bar. Comment avait elle survécu sans dévorer de protéine? Peut être qu'elle avait trouvé un moyen de ses pallier a ses manque avec le sexe après tout. Tooka humait l'air comme un chien avec un air qui trahissait sa faim. Elle finit par revenir a son maître qui la regardait pensivement, se demandant s'il faudrait la nourrir de la même façon que les autres maîtres mais chassa cette idée quand elle expliqua qu'elle mangeait tout ce qu'on lui donnerait. Mehen dit un sourire à l'esclave, amusé de la voir air si primitivement
Je vais te prendre la même chose que j'aime prendre le matin, si tu n'aime pas tu pourra toujours me donner ta part et commander autre chose
Sans prendre attention au regard de son esclave qui devait être plus que surprise d'être traité en égal de son maître, Mehen fit signe au serveur de revenir. Comme la plupart des endroits qui vendait de la nourriture, ce petit bar disposaient d'un menu spécial pour le petit déjeuner qui devrait satisfaire le jeune homme mais aussi sa bête. Le serveur revint, l'air toujours accueillant qui cachait sûrement son dégoût pour Tooka et prit la commande des deux menus, l'air un peu surpris que l'esclave ne soit pas nourri avec de la pâté ou un autre aliment réducteur mais se passa de commentaire et repartie vers les cuisines. Mehen, quant à lui, revint vers son esclave avec un air souriant. Il n'avait pas perdu cette pulsion sexuelle qui le rongeait malgré le lieu
J'espère en tout cas que tu vas m'apprécier en tant que maître, tu est ma première esclave et je n'ai pas vraiment d'expérience dans la soumission ou dans le sadisme… Enfin tu n'as pas l'air d'aimer être frappée, je me trompe?
Alors qu'il parlait, Mehen dénudait son pied sous la table sans que cela soit visible. Il avait sûrement la peau froide et presque visqueuse et s'attendait a un sursaut de Tooka et c'est pour cela qu'il lui souriait. Avançant lentement son pied sous la table, il sentit le contact du tissu de la robe et se glisse dessous pour venir caresser le mollet de son esclave. C'était un geste intime et plein de sous entendu et Mehen aimait ce genre d'acte. Il remontait lentement le long du mollet de sa partenaire sans quitter cette expression souriante et accueillante. Personne ne devait pouvoir voir qu'en fait, il se passait quelque chose d'autre qu'une simple discussion entre un maître et une esclave…
Invité
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Tooka vit son Maître avec un air amusé après qu'elle ai humé l'air. Elle se sentait un peu ridicule. N'ayant jamais eu d'éducation, elle se comportait avec ses propres instincts. Mehen lui proposa de lui commander la même chose que lui. Elle sourit très enjouée de pouvoir manger la même chose que le Maître, c'était même inédit, elle était certes très surprise mais aussi excitée de manger la même chose que le jeune homme.
Quand je mangeait la même chose que le Maître, c'était ce qu'il ne voulait plus. J'aurais mon assiette à moi seule.
Elle sourit adorablement. Le jeune homme lui fit alors une sorte de confidence, expliquant qu'elle était sa première esclave et qu'il n'avait pas d'expérience dans le sadisme ou autre. Il termina par une question. Tooka dévia son regard, comme si elle cherchait un moyen d'exprimer ses sentiments à ce sujet.
Je... Il y a frapper et battre.
Elle ne savait pas comment expliquer ce qu'elle voulait dire et tenta alors de lui donner des exemples.
Quand Mes Maitres prenaient la batte cloutée.. Tooka n'aimait pas. Mais quand ils donnaient des fessés, ce n'est plus pareil.
Etait-elle claire? Tooka regrettait de s'exprimer aussi mal et sans vraiment illustrer. Elle espérait qu'il comprenne.
Tout à coup, elle sentit quelque chose se glisser sous sa robe et toucher son mollet. C'était froid , elle eu la chair de poule, un petit sursaut et ses yeux blanc grand ouvert. Elle comprit quelques secondes après que cela pouvait être le pied nu de Mehen. Elle rougit légèrement en sentant le membre remonter le long de sa jambe. Tooka avait le regard troublé, gênée mais qui trahissait un certain.. plaisir. Ce geste de son Maître n'était en aucun cas grossier, ni même brutal bien à l'inverse. Il y avait quelque chose d'extrêment érotique dans ce simple geste. Tooka adorait ça, c'était une bine agréable découverte. Elle était triste de ne pas pouvoir en faire de même mais appréciait grandement l'instant.
Elle ouvrit légèrement la bouche comme si elle voulait dire quelque chose mais rien ne sortit. Plus les secondes passaient plus Tooka avait une respiration , non pas rapide, mais profonde gonflant légèrement sa poitrine, trahissant quelque chose.. surement une envie montante.
Tooka posa ses mains sur le haut de ses cuisses et aggripa le tissu discrètement. Puis, lentement, elle remonta le bas de sa robe pour donner plus de liberté à son Maitre. Elle en frémissait. Sous la table ses jambes étaient découverte jusqu'aux genoux. Elle avait le regard pétillant et ne semblait aucunement peureuse.
Le Maitre a un beau sourire.
lui fit-elle remarquer pour briser le silence.
Quand je mangeait la même chose que le Maître, c'était ce qu'il ne voulait plus. J'aurais mon assiette à moi seule.
Elle sourit adorablement. Le jeune homme lui fit alors une sorte de confidence, expliquant qu'elle était sa première esclave et qu'il n'avait pas d'expérience dans le sadisme ou autre. Il termina par une question. Tooka dévia son regard, comme si elle cherchait un moyen d'exprimer ses sentiments à ce sujet.
Je... Il y a frapper et battre.
Elle ne savait pas comment expliquer ce qu'elle voulait dire et tenta alors de lui donner des exemples.
Quand Mes Maitres prenaient la batte cloutée.. Tooka n'aimait pas. Mais quand ils donnaient des fessés, ce n'est plus pareil.
Etait-elle claire? Tooka regrettait de s'exprimer aussi mal et sans vraiment illustrer. Elle espérait qu'il comprenne.
Tout à coup, elle sentit quelque chose se glisser sous sa robe et toucher son mollet. C'était froid , elle eu la chair de poule, un petit sursaut et ses yeux blanc grand ouvert. Elle comprit quelques secondes après que cela pouvait être le pied nu de Mehen. Elle rougit légèrement en sentant le membre remonter le long de sa jambe. Tooka avait le regard troublé, gênée mais qui trahissait un certain.. plaisir. Ce geste de son Maître n'était en aucun cas grossier, ni même brutal bien à l'inverse. Il y avait quelque chose d'extrêment érotique dans ce simple geste. Tooka adorait ça, c'était une bine agréable découverte. Elle était triste de ne pas pouvoir en faire de même mais appréciait grandement l'instant.
Elle ouvrit légèrement la bouche comme si elle voulait dire quelque chose mais rien ne sortit. Plus les secondes passaient plus Tooka avait une respiration , non pas rapide, mais profonde gonflant légèrement sa poitrine, trahissant quelque chose.. surement une envie montante.
Tooka posa ses mains sur le haut de ses cuisses et aggripa le tissu discrètement. Puis, lentement, elle remonta le bas de sa robe pour donner plus de liberté à son Maitre. Elle en frémissait. Sous la table ses jambes étaient découverte jusqu'aux genoux. Elle avait le regard pétillant et ne semblait aucunement peureuse.
Le Maitre a un beau sourire.
lui fit-elle remarquer pour briser le silence.
Invité
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L'esclave était extrêmement ravi de pouvoir manger la même chose que son maître et dit que jusque la, elle ne l'avait fait que pour finir les restes de ses anciens maîtres. Elle semblait trouver ça normal, sûrement parce que ça l'était après tout. Elle avait aussi fait comprendre à Mehen qu'il y avait une différence entre le sadisme et la méchanceté car être battue pouvait être assez agréable en réalité. Son exemple était assez violent mais clair. Cela dit maintenant, tout cela ne comptait plus vraiment car Mehen s'attelait a lui faire comprendre qu'il la désirait et aussi a partager ce désir. Certes elle avait sursautée, surprise de ce contact froid sur sa peau mais maintenant elle rougissait lentement, trouvant sûrement l'acte plutôt agréable.
Jamais il n'avait expérimenté cette méthode de charme mais elle semblait diablement efficace. Tooka avait l'air perdu, ne sachant comment réagir face a cela mais son corps lui semblait répondre fortement à l'appel. Elle ouvra la bouche mais ne dit rien, respirant de plus en plus intensément comme si elle attendait plus encore de son maître. Comment ne pas sourire dans un tel cas? C'était une scène qui se passait de mots, l'expression du visage de Tooka transmettait a son maître tout le plaisir qu'elle prenait alors que son pied arrivait lentement a son genou. Elle finit d'ailleurs par remonter le tissu discrètement jusqu'à ses genoux, laissant ainsi un accès direct à son entrejambe. Son regard blanc annonçait clairement qu'elle souhaitait qu'il continu et Mehen ne put que sourire.
Sentant le silence peser, l'esclave dit a Mehen qu'il avait un beau sourire et lui ne répondit pas par des mots par des gestes. Son pied se glissait entre les cuisses de Tooka avec lenteur pour aller chercher son entrejambe. Cependant il sentit quelque chose qui le surprit légèrement avant d'atteindre le lieu tant convoité. C'était fait de chair chaude mais petit et très dur. Sa forme cylindrique laissait penser a une simple excroissance de cher mais plus le pied s'avançait entre les jambes de Tooka et plus cette chose grossissait. Mehen ne souriait plus, l'air assez intrigué et arrêta sa découverte. Il fut assez surpris de sentir ce bout de chair bouger et manqua de sursauter.
C'est… Tu possèdes une queue alors?
Ca ne pouvait être que cela placé la ou ça l'était mais qu'elle soit dénuée de poil était assez surprenant. Cela dit Mehen comprit soudain ce qu'elle sous entendait par les "pratiques que seule elle peut faire" et sentit son sexe réagir en imaginant Tooka se masturbant en utilisant cette queue comme outil de plaisir ou même quand il coucherais avec et qu'il sentirait cette extraordinaire queue le caresser et se fourrer dans les trous qu'elle trouverait. Mehen resta un moment bouche bée, entendant a peine ce qu'il se passait autour de lui puis un nouveau mouvement de cette queue le sortit de ses fantasmes
Tooka… Je crois que tu aura énormément de chose à me montrer et a me faire partager quand nous serons rentrer
Mehen ne se le cachait pas, il comptait déjà coucher avec l'esclave mais maintenant il la désirait et aurait couché avec sur le champ s'il le pouvait. De combien de millier de fantasme l'être fantastique qui était en face de lui serait la convoitise? Enormément et beaucoup serait réalisé. Mehen caressa l'intérieur des cuisse de la jeune fille mais aussi sa queue qu'il passait entre ses doigt de pied et remonta lentement vers le sexe de l'esclave, bien décider a aller jusqu'au bout en espérant que celle-ci ne portait rien sous sa jupe
[j'espere le post te conviendra, j'editerais si ca n'est pas le cas]
Jamais il n'avait expérimenté cette méthode de charme mais elle semblait diablement efficace. Tooka avait l'air perdu, ne sachant comment réagir face a cela mais son corps lui semblait répondre fortement à l'appel. Elle ouvra la bouche mais ne dit rien, respirant de plus en plus intensément comme si elle attendait plus encore de son maître. Comment ne pas sourire dans un tel cas? C'était une scène qui se passait de mots, l'expression du visage de Tooka transmettait a son maître tout le plaisir qu'elle prenait alors que son pied arrivait lentement a son genou. Elle finit d'ailleurs par remonter le tissu discrètement jusqu'à ses genoux, laissant ainsi un accès direct à son entrejambe. Son regard blanc annonçait clairement qu'elle souhaitait qu'il continu et Mehen ne put que sourire.
Sentant le silence peser, l'esclave dit a Mehen qu'il avait un beau sourire et lui ne répondit pas par des mots par des gestes. Son pied se glissait entre les cuisses de Tooka avec lenteur pour aller chercher son entrejambe. Cependant il sentit quelque chose qui le surprit légèrement avant d'atteindre le lieu tant convoité. C'était fait de chair chaude mais petit et très dur. Sa forme cylindrique laissait penser a une simple excroissance de cher mais plus le pied s'avançait entre les jambes de Tooka et plus cette chose grossissait. Mehen ne souriait plus, l'air assez intrigué et arrêta sa découverte. Il fut assez surpris de sentir ce bout de chair bouger et manqua de sursauter.
C'est… Tu possèdes une queue alors?
Ca ne pouvait être que cela placé la ou ça l'était mais qu'elle soit dénuée de poil était assez surprenant. Cela dit Mehen comprit soudain ce qu'elle sous entendait par les "pratiques que seule elle peut faire" et sentit son sexe réagir en imaginant Tooka se masturbant en utilisant cette queue comme outil de plaisir ou même quand il coucherais avec et qu'il sentirait cette extraordinaire queue le caresser et se fourrer dans les trous qu'elle trouverait. Mehen resta un moment bouche bée, entendant a peine ce qu'il se passait autour de lui puis un nouveau mouvement de cette queue le sortit de ses fantasmes
Tooka… Je crois que tu aura énormément de chose à me montrer et a me faire partager quand nous serons rentrer
Mehen ne se le cachait pas, il comptait déjà coucher avec l'esclave mais maintenant il la désirait et aurait couché avec sur le champ s'il le pouvait. De combien de millier de fantasme l'être fantastique qui était en face de lui serait la convoitise? Enormément et beaucoup serait réalisé. Mehen caressa l'intérieur des cuisse de la jeune fille mais aussi sa queue qu'il passait entre ses doigt de pied et remonta lentement vers le sexe de l'esclave, bien décider a aller jusqu'au bout en espérant que celle-ci ne portait rien sous sa jupe
[j'espere le post te conviendra, j'editerais si ca n'est pas le cas]
Invité
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(hj: ca me va parfaitement ^^ je peux dire autant pour moi, si quelque chose te plait pas hésites pas )
Tooka serra ses mains sur le tissu qu'elle avait remonté, c'était comme un suspense montant, prêt à atteindre un point culminant. Le pied remonta alors jusqu'a son genoux. Elle n'osait pas vraiment regarder droit dans les yeux son Maître mais croisait parfois son regard. Sa respiration profonde la trahissait, elle prenait beaucoup de plaisir en cet instant alors que rien de très explicite n'ai encore été fait. En réalité Tooka avait ressentit toute l'envie de son Maître lui faisait partager à travers cette caresse. Cela l'excitait au point qu'elle se mordilla discrètement la lèvre inférieure. elle avait envie qu'il continue, qu'il aile plus loin. La jeune femme sentait elle aussi son envie grandissante la ronger, quand sera t-il alors lorsqu'il l'aura toucher plus intimement encore? Cela était prometteur pour la suite...
Tout à coup, le pied de Mehen toucha la queue lisse de Tooka, cette queue qu'elle rangeait comme elle pouvait pour al rendre presque invisible. Le contact la fit frissoner et surprit son Maitre qui semblait étonné de sa découverte.
O...oui..
Répondit-elle a sa question sans en dire plus. Il le verra bien plus tard, cette queue lisse et souple, dénuée de tout poil mais possédant une dextérité hors pair. Tooka savait que les Ainoko avaient parfois des queue, mais pas comme la sienne. Mehen l'avait comprit, cette chose pouvait devenir un incroyable outil et source de fantasmes. Il y eu comme un silence, Tooka espérait qu'il ne soit pas dégoûté, après tout cela n'avait rien avoir avec les douces queues soyeuse d'Inu ou de Neko avec lesquelles on ne pouvait pas faire grand chose.
La queue de Tooka bougeait légèrement, extrêmement sensible, mais cela Mehen ne le savait pas encore, elle bougeait aux moindres caresses. Ce petit mouvement fit sortir le jeune Maitre de ses pensés.
Mehen dit alor qu'il aimerais que Tooka lui montrer et lui fasse partager bien des choses. La jeune femme lui sourit, ce genre de petit sourire qui fait plisser les yeux donnant un air innocent au visage.
Tooka qui ne savait pas vraiment si son appendice dégoûtait son Maitre ou non allait vite avoir une réponse. Le pied caressa l'intérieur de ses cuisses ferme et douce, elle eu encore un frémissement, et sentait comme une impatience en elle. Ses tremblements étaient discrêts mais suffisant pour faire apparaitre sous le tissu de sa robe, au niveau de sa poitrine deux petits bouts pointer de désir. Tooka ne le remarqua pas. Son corps semblait très sensible aux caresses de même que sa queue, quand Mehen la fit glisser entre ses doigts de pied réussit à lui arracher un soupir ressemblant plus à gémissement qu'elle ésseyait d'étouffer le plus possible. Les seconde semblaient interminable et Mehen rapprocha son pied de son entre jambe.
Elle aurait aimée toucher son Maître elle aussi, mais son pied était un sabot, elle lui ferait surement mal. Elle enleva donc cette idée de son esprit. Sa queue prisionnière des doigts du membre de Mehen ne pouvait pas l'atteindre non plus. Ce n'était pas si grave, elle lui montrera ce qu'elle pouvait faire plus tard, elle avait tout son temps devant elle.
Tooka ouvrit un peu plus ses cuisses en remontant encore sa robe facilitant le chemin à son Maitre. Le fait que l'on voyait ses bout de sein pointer était un signe qu'elle ne semblait porter aucun sous vêtement. Et ce fut vraiment le cas, elle ne portait rien d'autre que ce tissu blanc sommaire. Sous l'excitation, sa fleur était chaude. Tooka était imperbe naturellement, sa peau lisse était dénuée de tout poil tout comme son intimité.
L'idée de se faire prendre lui effleura l'esprit. ses paumettes devinrent roses et ses yeux blanc regardaient enfin le visage de son maitre avec un air coquin dissimulé derrière un peu de gêne. C'était indéniable, derrière cet air de sainte nitouche se cachait une femme terriblement coquine et érotique.
Elle posa une de ses mains sur sa cuisse, caressant elle même sa chair pour intensifier le désir.
Tooka serra ses mains sur le tissu qu'elle avait remonté, c'était comme un suspense montant, prêt à atteindre un point culminant. Le pied remonta alors jusqu'a son genoux. Elle n'osait pas vraiment regarder droit dans les yeux son Maître mais croisait parfois son regard. Sa respiration profonde la trahissait, elle prenait beaucoup de plaisir en cet instant alors que rien de très explicite n'ai encore été fait. En réalité Tooka avait ressentit toute l'envie de son Maître lui faisait partager à travers cette caresse. Cela l'excitait au point qu'elle se mordilla discrètement la lèvre inférieure. elle avait envie qu'il continue, qu'il aile plus loin. La jeune femme sentait elle aussi son envie grandissante la ronger, quand sera t-il alors lorsqu'il l'aura toucher plus intimement encore? Cela était prometteur pour la suite...
Tout à coup, le pied de Mehen toucha la queue lisse de Tooka, cette queue qu'elle rangeait comme elle pouvait pour al rendre presque invisible. Le contact la fit frissoner et surprit son Maitre qui semblait étonné de sa découverte.
O...oui..
Répondit-elle a sa question sans en dire plus. Il le verra bien plus tard, cette queue lisse et souple, dénuée de tout poil mais possédant une dextérité hors pair. Tooka savait que les Ainoko avaient parfois des queue, mais pas comme la sienne. Mehen l'avait comprit, cette chose pouvait devenir un incroyable outil et source de fantasmes. Il y eu comme un silence, Tooka espérait qu'il ne soit pas dégoûté, après tout cela n'avait rien avoir avec les douces queues soyeuse d'Inu ou de Neko avec lesquelles on ne pouvait pas faire grand chose.
La queue de Tooka bougeait légèrement, extrêmement sensible, mais cela Mehen ne le savait pas encore, elle bougeait aux moindres caresses. Ce petit mouvement fit sortir le jeune Maitre de ses pensés.
Mehen dit alor qu'il aimerais que Tooka lui montrer et lui fasse partager bien des choses. La jeune femme lui sourit, ce genre de petit sourire qui fait plisser les yeux donnant un air innocent au visage.
Tooka qui ne savait pas vraiment si son appendice dégoûtait son Maitre ou non allait vite avoir une réponse. Le pied caressa l'intérieur de ses cuisses ferme et douce, elle eu encore un frémissement, et sentait comme une impatience en elle. Ses tremblements étaient discrêts mais suffisant pour faire apparaitre sous le tissu de sa robe, au niveau de sa poitrine deux petits bouts pointer de désir. Tooka ne le remarqua pas. Son corps semblait très sensible aux caresses de même que sa queue, quand Mehen la fit glisser entre ses doigts de pied réussit à lui arracher un soupir ressemblant plus à gémissement qu'elle ésseyait d'étouffer le plus possible. Les seconde semblaient interminable et Mehen rapprocha son pied de son entre jambe.
Elle aurait aimée toucher son Maître elle aussi, mais son pied était un sabot, elle lui ferait surement mal. Elle enleva donc cette idée de son esprit. Sa queue prisionnière des doigts du membre de Mehen ne pouvait pas l'atteindre non plus. Ce n'était pas si grave, elle lui montrera ce qu'elle pouvait faire plus tard, elle avait tout son temps devant elle.
Tooka ouvrit un peu plus ses cuisses en remontant encore sa robe facilitant le chemin à son Maitre. Le fait que l'on voyait ses bout de sein pointer était un signe qu'elle ne semblait porter aucun sous vêtement. Et ce fut vraiment le cas, elle ne portait rien d'autre que ce tissu blanc sommaire. Sous l'excitation, sa fleur était chaude. Tooka était imperbe naturellement, sa peau lisse était dénuée de tout poil tout comme son intimité.
L'idée de se faire prendre lui effleura l'esprit. ses paumettes devinrent roses et ses yeux blanc regardaient enfin le visage de son maitre avec un air coquin dissimulé derrière un peu de gêne. C'était indéniable, derrière cet air de sainte nitouche se cachait une femme terriblement coquine et érotique.
Elle posa une de ses mains sur sa cuisse, caressant elle même sa chair pour intensifier le désir.
Invité
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Le regard de Tooka avait du mal à se fixer dans celui de son maître alors que lui la regardait dans les yeux sans la lâcher. Il n'avait pas besoin de cela pour deviner que l'esclave était de plus en plus réactive face à ce geste qui ne sortait pourtant pas de l'ordinaire. Elle n'avait pas répondu a sa proposition plutôt sexuelle si ça n'est par son regard qui annonçait assez clairement qu'elle aussi avait hâte de montrer ses talents. Cet air sérieux céda rapidement la place à l'air excitée qu'elle avait quelques secondes auparavant. Visiblement elle ne portait pas de soutien gorge car ses tétons étaient assez apparent malgré la robe qui les dissimulait alors que con maître allait lentement vers son intimité.
Les jambes de l'esclave s'écartaient, invitant son maître à entrer dans son temple le plus secret et c'est ce qu'il fit. Le pied de Mehen suivait la queue de Tooka du bout du doigt jusqu'à atteindre un butoir chaud et humide qui n'attendait plus que d'être pénétré. Il n'y avait pas de poil autour de ce petit centre chaud et Mehen le longea de haut en bas avec son gros orteil. C'était assez difficile car aussi adroit soit il, Mehen n'avait pas l'habitude de se servir de ses pieds de cette façon. Cependant il arborait toujours son sourire qui devenait de plus en plus coquin. Tooka elle était de plus en plus rouge et avait de plus en plus de mal a cacher son excitation en sentant ce doigt monter et descendre le long de son intimité. Sans crier gare, alors que la scène devenait de plus en plus érotique, Mehen retira son pied et le ramena a terre, se rechaussant discrètement sous le regard surpris et incompréhensif de son esclave
Bien Tooka, j'ai envie d'aller vider ma vessie alors je m'absente un instant… Ou en fait non, viens avec moi, je ne veux pas que tu en profites pour fuir
Quel mensonge éhonté! Mehen avait une totale confiance en son esclave mais il n'avait pas trouvé de meilleure raison pour qu'elle le suive. De toute manière, Tooka semblait bien comprendre que c'était pas la seule raison qui poussait le jeune homme a lui imposer de le suivre. Mehen laissa sa veste sur le fauteuil ou il était assis et se dirigea vers les toilettes très clairement signalées. Ca devait être commun que les esclaves suivent leurs maîtres dans les toilettes car personne ne dit rien en voyant Tooka derrière son maître. Par chance, il n'y avait personne dans les toilettes quand Mehen entra dedans. Il tint la porte ouverte pour que son esclave entre et la referma derrière elle
L'endroit n'était pas extrêmement propre ni attirant mais ce serait bien suffisant pour ce qu'il comptait y faire. Mehen entra dans un des box et fit signe a Tooka de venir dedans aussi. Bizarrement, les box était assez grand pour accueillir au moins 3 personnes, comme si le patron avait prévu qu'il se passe des choses dans ses toilettes. Mehen sourit en pensant a tout ce qu'il avait put se passer dans ces toilettes et rabattis la lunette des toilettes pendant que Tooka entrait dans ce box assez exigu. Le pantalon de Mehen cachait bien son érection mais lui était prêt à imploser d'excitation
En fait avant… J'aimerais te voir nue Tooka… Te voir nue et que tu me fasses plaisir avec ta langue avant de manger…
Les jambes de l'esclave s'écartaient, invitant son maître à entrer dans son temple le plus secret et c'est ce qu'il fit. Le pied de Mehen suivait la queue de Tooka du bout du doigt jusqu'à atteindre un butoir chaud et humide qui n'attendait plus que d'être pénétré. Il n'y avait pas de poil autour de ce petit centre chaud et Mehen le longea de haut en bas avec son gros orteil. C'était assez difficile car aussi adroit soit il, Mehen n'avait pas l'habitude de se servir de ses pieds de cette façon. Cependant il arborait toujours son sourire qui devenait de plus en plus coquin. Tooka elle était de plus en plus rouge et avait de plus en plus de mal a cacher son excitation en sentant ce doigt monter et descendre le long de son intimité. Sans crier gare, alors que la scène devenait de plus en plus érotique, Mehen retira son pied et le ramena a terre, se rechaussant discrètement sous le regard surpris et incompréhensif de son esclave
Bien Tooka, j'ai envie d'aller vider ma vessie alors je m'absente un instant… Ou en fait non, viens avec moi, je ne veux pas que tu en profites pour fuir
Quel mensonge éhonté! Mehen avait une totale confiance en son esclave mais il n'avait pas trouvé de meilleure raison pour qu'elle le suive. De toute manière, Tooka semblait bien comprendre que c'était pas la seule raison qui poussait le jeune homme a lui imposer de le suivre. Mehen laissa sa veste sur le fauteuil ou il était assis et se dirigea vers les toilettes très clairement signalées. Ca devait être commun que les esclaves suivent leurs maîtres dans les toilettes car personne ne dit rien en voyant Tooka derrière son maître. Par chance, il n'y avait personne dans les toilettes quand Mehen entra dedans. Il tint la porte ouverte pour que son esclave entre et la referma derrière elle
L'endroit n'était pas extrêmement propre ni attirant mais ce serait bien suffisant pour ce qu'il comptait y faire. Mehen entra dans un des box et fit signe a Tooka de venir dedans aussi. Bizarrement, les box était assez grand pour accueillir au moins 3 personnes, comme si le patron avait prévu qu'il se passe des choses dans ses toilettes. Mehen sourit en pensant a tout ce qu'il avait put se passer dans ces toilettes et rabattis la lunette des toilettes pendant que Tooka entrait dans ce box assez exigu. Le pantalon de Mehen cachait bien son érection mais lui était prêt à imploser d'excitation
En fait avant… J'aimerais te voir nue Tooka… Te voir nue et que tu me fasses plaisir avec ta langue avant de manger…
Invité
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Le jeune Maître répondit à l'appel de Tooka qui avait écartée ses cuisses pour l'inviter à toucher du bout du doigts ce qu'elle avait de plus secret.. son intimité. Elle sentit ce pied avancer encore.. encore.. et frôler sa fleur humide. Tooka déglutit comme pour avaler un gémissement langoureux qui était prêt à se faire entendre. Son clitoris devenais plus dur , excitée ainsi, la jeune Ainoko ne pensait qu'a une chose.. en ressentir plus, encore plus et davantage. Son regard devint brûlant et trahissait ses pensés profondes. Le sourire de son Maître lui parlait presque, lui communicant une aura envoûtante d'une envie qui allait sans doute finir par déborder à un moment.
Tooka se caressait la cuisse très sensuellement, de manière appuyée et lente. Elle s'adossa à sa place comme pour mieux profiter de la caresse. Mais celaf ut de courte durée. Mehen retira son membre et se rechaussa. La jeune femme regarda son Maître d'un air inquiet, avait-elle fait quelque chose de mal ?
Non... Et elle le comprit bien vite. Mehen lui fit par d'une envie pressante d'aller aux toilettes. Tooka le regarde se lever, puis il lui demanda de le suivre, c'est à cet instant que l'Ainoko comprit. Elle se releva en remettant bien sa robe pour ne pas attirer les regards. elle avait un sourire timide, comme si elle savait qu'elle partait pour faire une bêtise. Elle suivit son Maitre sans broncher, car bine sur qu'elle ne se serait pas enfuit, c'était donc clairement une invitation...
C'était un mensonge, mais elle le savait, elle était tout aussi coupable que lui, car elle le suivait en sachant cela.
Les toilettes du bar n'étaient pas très grand, il y avait quelques box et quelques lavabo, rien d'autre. Pas même de quoi se sécher les mains, a moins qu'il s'agisse de l'appareil tout rouillé au fond. Il n'y avait personne, quelle aubaine. Le lieu n'était pas vraiment propre, c'était passable, surement qu'il était nettoyer de temps en temps et pas tout les jours comme ca le devrai. Mehen ouvrit une porte de box. Tooka tourna la tête vers lui après avoir inspecter la pièce. Il l'invita à le suivre, à passer devant lui. Ce qu'elle fit d'un pas aucunement hésitant. Une fois à l'intérieur, le Maitre ferma la porte. Tooka l'écoute et lui sourit, elle n'était vraiment pas réticente.
Tooka va faire plaisir au Maître.
Elle passa doucement ses bras dans les manche de sa robe. Puis la laissa glisser à ses pieds dévoilant à nu son corps. Ses jambes à moitiées humaines, sa peau totalement imperbe et lisse, ses seins généreux et ferme. Et derrière elle, terminant sa colone vertébral,e une queue lisse et souple.
Ne se préoccupant pas de savoir si elle lui plaisait ou pas, elle se rapprocha de lui.. se colla à lui pressant sa poitrine sur son torse. Glissant sa tête proche de son cou de Mehen , Tooka lécha légèrement celui-ci pendant que ses mains lui caressait le torse.
La jeune femme allait faire une démonstration de dextérité à l'instant. Elle n'avait pas besoin de ses mains pour défaire la braguette du pantalon de son Maître... sa queue se faufila jusqu'au métal et réussit faire descendre la fermeture. Pendant ce temps, Tooka rapprocha son visage de son Maître et lui lécha tendrement les lèvres sans l'embrasser. Mehen pouvais sentir l'appendice passer dans le tissu de son pantalon pour se faufiler encore plus loin.. sans son sous vêtement, s'enroulant autour de sa verge pour l'extirper de sa cachette. Tooka sentit que le sexe de son Maître était déjà à un point culminant d'excitation. Dressée et gonflée, la virilité était prête à se faire dorloter.
Tooka s'accroupit lentement, ses jambes lui donnait un avantage: un équilibre et le fait qu'elle ne s'épuisait pas aussi vite que certaine dans cette posture. " Jouer avec ma langue..." , la jeune femme regarda dans les yeux son Maître et ouvrit sa bouche pour tirer sa petite langue rose et un tantinet rapeuse. Elle la fit glisser sur le sexe de Mehen en le tenant fermement de sa main droite. Elle ne le mettait pas en bouche non, c'était avec sa langue qu'elle jouait, c'était un ordre. Elle passa donc très lentement sa langue sur la verge dressée, sur sa veine et le gland suintant de désir. Elle ne lachait pas des yeux le jeune homme afin de voir si ce qu'elle faisait était bien. Léchant avec un appétit très apparent le long de la verge, Tooka descendit parfois jusqu'aux bourses les léchant, donnant des petits coup de langues dessus, ce qu'elle fit ensuite en revenant sur le gland de son Maître. Elle eu très envie de le mettre entièrement dans sa bouche mais..en avait-elle le droit?
Tooka se caressait la cuisse très sensuellement, de manière appuyée et lente. Elle s'adossa à sa place comme pour mieux profiter de la caresse. Mais celaf ut de courte durée. Mehen retira son membre et se rechaussa. La jeune femme regarda son Maître d'un air inquiet, avait-elle fait quelque chose de mal ?
Non... Et elle le comprit bien vite. Mehen lui fit par d'une envie pressante d'aller aux toilettes. Tooka le regarde se lever, puis il lui demanda de le suivre, c'est à cet instant que l'Ainoko comprit. Elle se releva en remettant bien sa robe pour ne pas attirer les regards. elle avait un sourire timide, comme si elle savait qu'elle partait pour faire une bêtise. Elle suivit son Maitre sans broncher, car bine sur qu'elle ne se serait pas enfuit, c'était donc clairement une invitation...
C'était un mensonge, mais elle le savait, elle était tout aussi coupable que lui, car elle le suivait en sachant cela.
Les toilettes du bar n'étaient pas très grand, il y avait quelques box et quelques lavabo, rien d'autre. Pas même de quoi se sécher les mains, a moins qu'il s'agisse de l'appareil tout rouillé au fond. Il n'y avait personne, quelle aubaine. Le lieu n'était pas vraiment propre, c'était passable, surement qu'il était nettoyer de temps en temps et pas tout les jours comme ca le devrai. Mehen ouvrit une porte de box. Tooka tourna la tête vers lui après avoir inspecter la pièce. Il l'invita à le suivre, à passer devant lui. Ce qu'elle fit d'un pas aucunement hésitant. Une fois à l'intérieur, le Maitre ferma la porte. Tooka l'écoute et lui sourit, elle n'était vraiment pas réticente.
Tooka va faire plaisir au Maître.
Elle passa doucement ses bras dans les manche de sa robe. Puis la laissa glisser à ses pieds dévoilant à nu son corps. Ses jambes à moitiées humaines, sa peau totalement imperbe et lisse, ses seins généreux et ferme. Et derrière elle, terminant sa colone vertébral,e une queue lisse et souple.
Ne se préoccupant pas de savoir si elle lui plaisait ou pas, elle se rapprocha de lui.. se colla à lui pressant sa poitrine sur son torse. Glissant sa tête proche de son cou de Mehen , Tooka lécha légèrement celui-ci pendant que ses mains lui caressait le torse.
La jeune femme allait faire une démonstration de dextérité à l'instant. Elle n'avait pas besoin de ses mains pour défaire la braguette du pantalon de son Maître... sa queue se faufila jusqu'au métal et réussit faire descendre la fermeture. Pendant ce temps, Tooka rapprocha son visage de son Maître et lui lécha tendrement les lèvres sans l'embrasser. Mehen pouvais sentir l'appendice passer dans le tissu de son pantalon pour se faufiler encore plus loin.. sans son sous vêtement, s'enroulant autour de sa verge pour l'extirper de sa cachette. Tooka sentit que le sexe de son Maître était déjà à un point culminant d'excitation. Dressée et gonflée, la virilité était prête à se faire dorloter.
Tooka s'accroupit lentement, ses jambes lui donnait un avantage: un équilibre et le fait qu'elle ne s'épuisait pas aussi vite que certaine dans cette posture. " Jouer avec ma langue..." , la jeune femme regarda dans les yeux son Maître et ouvrit sa bouche pour tirer sa petite langue rose et un tantinet rapeuse. Elle la fit glisser sur le sexe de Mehen en le tenant fermement de sa main droite. Elle ne le mettait pas en bouche non, c'était avec sa langue qu'elle jouait, c'était un ordre. Elle passa donc très lentement sa langue sur la verge dressée, sur sa veine et le gland suintant de désir. Elle ne lachait pas des yeux le jeune homme afin de voir si ce qu'elle faisait était bien. Léchant avec un appétit très apparent le long de la verge, Tooka descendit parfois jusqu'aux bourses les léchant, donnant des petits coup de langues dessus, ce qu'elle fit ensuite en revenant sur le gland de son Maître. Elle eu très envie de le mettre entièrement dans sa bouche mais..en avait-elle le droit?
Invité
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[A lire nue et avec un gros gode. Je me suis déchiré ]
L'esclave écouta son maître et, dans un sourire, lui dit qu'elle allait s'occuper de lui faire plaisir. Mehen respirait déjà par la bouche pour que sa respiration suive le rythme infernal de son cœur alors que Tooka retirait lentement sa robe, la laissant glisser le long de son corps blanchâtre. Sa peau était… parfaite, il n'y avait pas d'autres mots. Ses seins étaient ferme et pointait démesurément vers l'avant, trahissant son envie de sexe qui devait déjà être intense. Mehen la regardait en détail, remarquant rapidement la queue qu'il avait sentit du bout du pied et les sabots qui terminaient ces jambes si longues et puissantes.
La contemplation fut de courte durée car Tooka venait déjà chercher son maître en collant son corps a lui qui n'était pourtant pas nu. Sa tête vint se loger dans le cou du maître qui ferma les yeux pour se délecter des sensations qu'elle lui procurait. Il sentit une langue joueuse caresser sa peau alors que des mains découvraient son torse, détachant quelques boutons de sa chemise pour toucher son poitrail. Mehen sentit alors un intrus dans les sensations ressenties. On le dénudait mais les deux mains de l'esclave étaient déjà affairées à procurer du plaisir au torse du maître. Ils étaient seuls pourtant et… Pas le temps de penser a autre chose. Tooka était venu chercher les lèvres de son maître et les léchaient avec désir, comme pour lui montrer qu'elle se donnerait entièrement a lui mais aussi qu'elle l'aimait déjà. C'est peut être pour ça que quelque fois, la langue de Mehen sortait légèrement pour profiter du contact de celle de son esclave.
C'est quand il ressentit le contact autour de sa verge de cette sorte de tentacule qu'il comprit ce qu'il lui arrivait. Mehen faisait l'expérience de l'adresse de Tooka qui venait de mettre a nu son sexe simplement avec sa queue. Il bandait déjà mais ce contact nouveau redonna une nouvelle vie a son membre gonflé de sang, prés a cracher toute sa semence dans et sur l'esclave. Le maître rouvrit les yeux en sentant le visage de son esclave quitter son coup et la suivit du regard alors qu'elle descendait lentement le long de son corps. Elle aussi le regardait et quand elle fut au niveau de son sexe, sans un regard, elle sortit sa langue et la passa sur ce sexe qui s'offrait a elle. Mehen ne sut retenir un premier gémissement de plaisir en sentant ce contact a la fois râpeux et doux, chaud et glacial… Il bascula sa tête en arrière en reprenant son souffle alors que l'esclave continuait la toilette de ce sexe près a lui faire jaillir une dose de sperme au visage.
Mehen finit par reprendre le contrôle de lui-même sans passer par une éjaculation. L'esclave était très assidu et passais sa langue partout. Le gland, toute la longueur de son sexe et même les testicules du maître était couverte de la salive de Tooka qui le regardait toujours avec un certain plaisir. Mehen la regarda et mit ses mains sur les cornes de l'esclave, bien décidé soudain a la gouverner comme il l'entendrait. Bien qu'elles ne soient pas en bonne état, elle ne faisait pas mal aux main du jeune homme ou alors il était trop concentré sur cette jeune fille entièrement soumise a ses désirs.
Ouvre la bouche Tooka et laisse moi faire
Avait elle comprit ce qui l'attendait? Très certainement car elle s'exécuta sans attendre. Mehen plaça son sexe dans la bouche de l'esclave et maintenant sa tête a peu prêt immobile grâce aux cornes qu'il avait en main, il engouffra son sexe dans cette bouche tout doucement. Il ne connaissait pas les capacités de son esclave et ne mit que la moitié de son sexe dans un premier temps et commença a aller et venir dans cette bouche comme s'il s'agissait de n'importe quel autre orifice. De plus en plus exciter, Mehen enfonçait son sexe de plus en plus loin dans la gorge de son esclave et l'acte devenant de plus en plus intense, il sentit qu'il ne tarderait pas a jouir. Il mit son sexe au bord de la bouche de l'esclave et, sans la prévenir autrement que par ses gestes et sa respiration rapide, il lâcha un flot de sperme dans la bouche de la demoiselle qu'il maintenait toujours par les cornes. Il aurait pu éjaculer plus profondément dans sa gorge mais il voulait que ce liquide chaud passe sur la langue de l'esclave qu'elle connaisse le goût de son nouveau maître. Mehen relâcha les cornes de l'esclave et la regarda en reprenant lentement son souffle
C'est…. C'était divin… Tu es très douée mais… J'ai… J'ai encore envie… De toi
La fellation ne suffisait pas au serpent qui était devenu soudain avide de sexe et de plaisir. Il voulait maintenant sentir son esclave tout autour de lui, se sentir en elle mais surtout, savoir si cette queue pouvait encore avoir des utilités. Le hasard avait mit cette créature étrange sur sa route et cela convenait parfaitement au jeune homme. Il la voyait déjà recommencer cette acte un millier de fois et terminer couverte de semence chaude et dégoulinante, épuisée mais incroyablement heureuse. Allait elle céder au désir de son maître et lui faire l'amour? Possible…
L'esclave écouta son maître et, dans un sourire, lui dit qu'elle allait s'occuper de lui faire plaisir. Mehen respirait déjà par la bouche pour que sa respiration suive le rythme infernal de son cœur alors que Tooka retirait lentement sa robe, la laissant glisser le long de son corps blanchâtre. Sa peau était… parfaite, il n'y avait pas d'autres mots. Ses seins étaient ferme et pointait démesurément vers l'avant, trahissant son envie de sexe qui devait déjà être intense. Mehen la regardait en détail, remarquant rapidement la queue qu'il avait sentit du bout du pied et les sabots qui terminaient ces jambes si longues et puissantes.
La contemplation fut de courte durée car Tooka venait déjà chercher son maître en collant son corps a lui qui n'était pourtant pas nu. Sa tête vint se loger dans le cou du maître qui ferma les yeux pour se délecter des sensations qu'elle lui procurait. Il sentit une langue joueuse caresser sa peau alors que des mains découvraient son torse, détachant quelques boutons de sa chemise pour toucher son poitrail. Mehen sentit alors un intrus dans les sensations ressenties. On le dénudait mais les deux mains de l'esclave étaient déjà affairées à procurer du plaisir au torse du maître. Ils étaient seuls pourtant et… Pas le temps de penser a autre chose. Tooka était venu chercher les lèvres de son maître et les léchaient avec désir, comme pour lui montrer qu'elle se donnerait entièrement a lui mais aussi qu'elle l'aimait déjà. C'est peut être pour ça que quelque fois, la langue de Mehen sortait légèrement pour profiter du contact de celle de son esclave.
C'est quand il ressentit le contact autour de sa verge de cette sorte de tentacule qu'il comprit ce qu'il lui arrivait. Mehen faisait l'expérience de l'adresse de Tooka qui venait de mettre a nu son sexe simplement avec sa queue. Il bandait déjà mais ce contact nouveau redonna une nouvelle vie a son membre gonflé de sang, prés a cracher toute sa semence dans et sur l'esclave. Le maître rouvrit les yeux en sentant le visage de son esclave quitter son coup et la suivit du regard alors qu'elle descendait lentement le long de son corps. Elle aussi le regardait et quand elle fut au niveau de son sexe, sans un regard, elle sortit sa langue et la passa sur ce sexe qui s'offrait a elle. Mehen ne sut retenir un premier gémissement de plaisir en sentant ce contact a la fois râpeux et doux, chaud et glacial… Il bascula sa tête en arrière en reprenant son souffle alors que l'esclave continuait la toilette de ce sexe près a lui faire jaillir une dose de sperme au visage.
Mehen finit par reprendre le contrôle de lui-même sans passer par une éjaculation. L'esclave était très assidu et passais sa langue partout. Le gland, toute la longueur de son sexe et même les testicules du maître était couverte de la salive de Tooka qui le regardait toujours avec un certain plaisir. Mehen la regarda et mit ses mains sur les cornes de l'esclave, bien décidé soudain a la gouverner comme il l'entendrait. Bien qu'elles ne soient pas en bonne état, elle ne faisait pas mal aux main du jeune homme ou alors il était trop concentré sur cette jeune fille entièrement soumise a ses désirs.
Ouvre la bouche Tooka et laisse moi faire
Avait elle comprit ce qui l'attendait? Très certainement car elle s'exécuta sans attendre. Mehen plaça son sexe dans la bouche de l'esclave et maintenant sa tête a peu prêt immobile grâce aux cornes qu'il avait en main, il engouffra son sexe dans cette bouche tout doucement. Il ne connaissait pas les capacités de son esclave et ne mit que la moitié de son sexe dans un premier temps et commença a aller et venir dans cette bouche comme s'il s'agissait de n'importe quel autre orifice. De plus en plus exciter, Mehen enfonçait son sexe de plus en plus loin dans la gorge de son esclave et l'acte devenant de plus en plus intense, il sentit qu'il ne tarderait pas a jouir. Il mit son sexe au bord de la bouche de l'esclave et, sans la prévenir autrement que par ses gestes et sa respiration rapide, il lâcha un flot de sperme dans la bouche de la demoiselle qu'il maintenait toujours par les cornes. Il aurait pu éjaculer plus profondément dans sa gorge mais il voulait que ce liquide chaud passe sur la langue de l'esclave qu'elle connaisse le goût de son nouveau maître. Mehen relâcha les cornes de l'esclave et la regarda en reprenant lentement son souffle
C'est…. C'était divin… Tu es très douée mais… J'ai… J'ai encore envie… De toi
La fellation ne suffisait pas au serpent qui était devenu soudain avide de sexe et de plaisir. Il voulait maintenant sentir son esclave tout autour de lui, se sentir en elle mais surtout, savoir si cette queue pouvait encore avoir des utilités. Le hasard avait mit cette créature étrange sur sa route et cela convenait parfaitement au jeune homme. Il la voyait déjà recommencer cette acte un millier de fois et terminer couverte de semence chaude et dégoulinante, épuisée mais incroyablement heureuse. Allait elle céder au désir de son maître et lui faire l'amour? Possible…
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Tooka savait qu'elle avait surprise son Maitre avec sa queue, mais ce fut une surprise agréable même si il n'en disait rien. En tout cas il ne semblait pas dégoûté de se faire attraper le sexe par cet appendice contrairement aux autres Maîtres, cela lui fit extrêmement plaisir. La jeune femme trouva la peau de Mehen agréable à toucher et à caresser, son sexe avait un bon goût qui ouvrait son appétit lors qu'elle le léchait ainsi avec envie. Voir son Maître dans cet état d'excitation la faisait trembler et elle sentit un liquide chaud s'échapper d'entre ses jambes pour couler le long de ses cuisses. Elle avait envie de se toucher pendant qu'elle le léchait mais se retient, la frustration attisait le désir et peut être qu'elle n'avait pas encore le droit de se faire du bien à elle. Puis, elle sentit dans le regard de son Maître la volonté d'aller bien plus loin que ces simples coup de langue. Il saisit ses cornes pour maintenir sa tâte. Tooka comprit ce qu'il allait faire et en fut ravie, elle attendait impatiemment, elle exécuta alors l'ordre, ouvrant amplement sa bouche et laissa son Maître faire à sa guise. Tooka sentit le sexe de Mehen entrer dans bouche, se frottant contre ses lèvres et ne bougeait pas mais caressa tout de même le sexe avec sa langue. La moitié de la verge était dans sa bouche, les vas et viens étaient langoureux mais montait en intensité au fur et à mesure que son Maître prenait du plaisir. Elle le regardait et s'excitait rien qu'a le voir. Tooka adorait sucer, elle en poussait des petits gémissements étouffés par le membre qui lui remplissait la bouche. De plus en plus excité et au bord de la jouissance, Mehen allait de plus ne plus vite et de plus en plus loin dans sa gorge, Tooka avait l'habitude et ne se sentit pas gênée de sentit le sexe au fond de sa gorge et murmurait son plaisir de voir son jeune Maître aussi entreprenant. puis il sortit le sexe de sa bouche pour le poser au bord de ses lèvres, par réflexe, Tooka sortit sa langue pour recueillir le liquide blanc et chaud. Elle le regarde jouir, rien de plus excitant pour une femme de voir un homme gémir. Elle le fixait de ses yeux pâle, puis, lentement elle ferma la bouche et avala la semence. Un peu de liquide coulait sur le coin de sa bouche. Elle rougit un peu.
Le Maître à bon goût.
Dit-elle en souriant. Le compliment de son Maître la rendit très heureuse, elle serait prêtre à recommencer rien que ça. Mais elle ne s'attendait pas à la suite.. il avait envie d'elle. Tooka se mit à rougit plus que d'habitude. Elle se releva lentement.
Le Maître.. me flatte.
Elle murmura, à la fois contente, excité et timide que son Maître ai envie de l'honorer. Debout face à lui, elle n'osait avouer son sentiment partagé, elle avait envie de lui, et son regard trahissait tout ce qu'elle pouvait penser se posant sur les lèvres, le torse se son Maître. Elle se rapprocha de lui, passant ses main sur son torse espérant ne pas être trop entreprenante et ne pas se faire punir de son initiative. Caressant mensuellement sa peau elle y déposa ses lèvres ensuite pour embrasser la chair. Tooka se colla contre Mehen et se mit à bouger lentement, comme si elle se frottait contre lui.. comme si cela était un appel. La jeune femme était plus petite que son Maitre mais plutôt grande pour une femme ce qui était pratique pour faire l'amour debout si son Maître en avait envie. Sentant le sexe encore en érection collé contre son ventre Tooka se frottait dessus pour attiser le jeune homme. Après cet instant de caresses qui dura de longues secondes, la jeune femme avait vraiment envie de se faire prendre par son Maître..et puis..il avait dis lui même avoir envie d'elle, elle ne pouvait pas faire de bêtises. Elle se retourna alors. De dos à Mehen elle posa ses mains sur le mur d'en face et se cambra en avant offrant explicitement son sexe humide à son Maître. Pour l'inciter à venir, pour l'exciter encore plus et lui montrer ce qu'elle pouvait faire... elle guida sa queue vers sa fleur et frotta le bout entre ses lèvres. Tooka poussa alors des gémissements en se pinça la lèvre inférieure. J'ai envie.. du Maître. Elle se cambra encore plus en écartant les cuisses. On pouvait voir qu'elle mouillait abondamment déjà et sa queue la caressait pour lui donner encore plus envie.
Tooka veux se faire prendre...
Elle avait un peu honte de dire ça mais elle était tellement excitée et ne cessait de s'imaginer l'instant ou son Maître viendra la pénétrer avec sa force virile qui la faisant tant mouiller. Elle pouvait très bien se satisfaire avec sa queue mais elle était moin large que le sexe de Mehen et il manquerait aussi la présence masculine que ne pouvait lui offrir son propre membre.
Le Maître à bon goût.
Dit-elle en souriant. Le compliment de son Maître la rendit très heureuse, elle serait prêtre à recommencer rien que ça. Mais elle ne s'attendait pas à la suite.. il avait envie d'elle. Tooka se mit à rougit plus que d'habitude. Elle se releva lentement.
Le Maître.. me flatte.
Elle murmura, à la fois contente, excité et timide que son Maître ai envie de l'honorer. Debout face à lui, elle n'osait avouer son sentiment partagé, elle avait envie de lui, et son regard trahissait tout ce qu'elle pouvait penser se posant sur les lèvres, le torse se son Maître. Elle se rapprocha de lui, passant ses main sur son torse espérant ne pas être trop entreprenante et ne pas se faire punir de son initiative. Caressant mensuellement sa peau elle y déposa ses lèvres ensuite pour embrasser la chair. Tooka se colla contre Mehen et se mit à bouger lentement, comme si elle se frottait contre lui.. comme si cela était un appel. La jeune femme était plus petite que son Maitre mais plutôt grande pour une femme ce qui était pratique pour faire l'amour debout si son Maître en avait envie. Sentant le sexe encore en érection collé contre son ventre Tooka se frottait dessus pour attiser le jeune homme. Après cet instant de caresses qui dura de longues secondes, la jeune femme avait vraiment envie de se faire prendre par son Maître..et puis..il avait dis lui même avoir envie d'elle, elle ne pouvait pas faire de bêtises. Elle se retourna alors. De dos à Mehen elle posa ses mains sur le mur d'en face et se cambra en avant offrant explicitement son sexe humide à son Maître. Pour l'inciter à venir, pour l'exciter encore plus et lui montrer ce qu'elle pouvait faire... elle guida sa queue vers sa fleur et frotta le bout entre ses lèvres. Tooka poussa alors des gémissements en se pinça la lèvre inférieure. J'ai envie.. du Maître. Elle se cambra encore plus en écartant les cuisses. On pouvait voir qu'elle mouillait abondamment déjà et sa queue la caressait pour lui donner encore plus envie.
Tooka veux se faire prendre...
Elle avait un peu honte de dire ça mais elle était tellement excitée et ne cessait de s'imaginer l'instant ou son Maître viendra la pénétrer avec sa force virile qui la faisant tant mouiller. Elle pouvait très bien se satisfaire avec sa queue mais elle était moin large que le sexe de Mehen et il manquerait aussi la présence masculine que ne pouvait lui offrir son propre membre.
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Tooka semblait s'être délecter du présent que son maître lui avait mit dans la bouche. Elle avait du en recevoir beaucoup car une goutte perlait sur le coin de sa lèvre et une fois qu'elle eut avaler cette mixture assez unique, elle dit a Mehen qu'il avait "bon goût". Tous deux se souriaient mutuellement, visiblement ravi de leur sort. Cependant il n'était pas question de s'arrêter mais plutôt de reprendre et Tooka, rouge et chaude, se releva et dit a son maître qu'il la flattait. Qu'y avait il de flatteur dans le fait de désirer son esclave? Peut être n'était elle pas habituée a cela. Le regard de la jeune fille trahissait l'envie d'accéder a la requête de son maître et de le laisser lui faire l'amour comme il le désirerait mais elle ne dit rien, lui laissant un doute quand au comportement a avoir maintenant.
Approchant a nouveau de son maître, le corps rougissant et chaud, Tooka revint poser des baisers et des caresses sur la peau de son torse. Elle était réellement douée pour faire rebander le jeune homme qui était encore essoufflé de l'orgasme qu'elle lui avait procuré. Cela devait se sentir d'ailleurs car l'esclave était vraiment collé a lui et la verge qu'elle semblait désirait était tout contre son ventre, assez réactive face aux mouvements de Tooka. Celle-ci d'ailleurs se frottait de plus en plus à son maître, cherchant à se faire désirer probablement et elle y arrivait extrêmement bien. Mehen était si décontenancé qu'il ne savait plus quoi faire et laissait la jeune fille agir seule.
Rapidement, cela ne semblait plus suffire et l'esclave se tourna, présentant sa croupe à son maître. Peut être pas provocation ou simplement pas envie, elle passait sa longue queue sur son sexe en gémissant, montrant très clairement que cela lui procurait un plaisir assez intense. Elle se tourna vers Mehen, se mordant la lèvre et se cambrant et en écartant les cuisses au maximum. Le jeune homme n'aurait pas été vivant ou mobile, il était certain qu'a ce rythme, elle s'empalerait seule sur cette proéminence dure qui ne réclamait que cela. Tooka mouillait plus que de raison, elle devait désirer son maître à un point… Cela aurait été un sacrilège de ne pas honorer ce vagin qui était prêt a l'accueillir. Dans un souffle chaud, Tooka dit qu'elle voulait se faire prendre, comme pour faire céder son maître qui la regardait caresser son sexe avec sa queue. Il faut bien dire que cela avait son effet mais rapidement, son désir de sexe prit le dessus sur tout les autres et il se plaça derrière l'esclave
Tooka va pouvoir sentir son maître en elle, fit Mehen en parodiant légèrement son esclave
Il écarta la queue de la jeune fille a l'aide de son sexe, plaça celui si sur l'entrée humide de la jeune fille et, d'un léger coup de rein, fit entrer son gland en elle. Son vagin était brûlant et incroyablement humide, on pouvait sûrement y passer bien plus qu'un simple sexe mais c'était bien suffisant pour le moment. Tooka semblait déjà adorer cela rien qu'a sa façon de gémir et de respirer alors que la verge de son maître entrait lentement en elle jusqu'à y être totalement. Mehen était déjà fort excité de ne faire plus qu'un avec son esclave et serait resté immobile plus longtemps s'il n'avait pas envie de jouir a nouveau. Plaçant ses mains sur les flancs de Tooka, il commença sortir son sexe tout aussi lentement qu'il l'avait entrer en elle et, d'un coup de bassin, rentra plus violement en arrachant un cri a l'esclave. Cette forme de violence semblait plaire a l'esclave et c'est sûrement pour cela que son maître commença a lui faire l'amour de cette façon
La verge follement dure de Mehen procurait de plus en plus de sensation a son esclave. Retenir les gémissement semblait devenir de plus en plus difficile pour la demoiselle et le maître finit par s'arrêter, son sexe entièrement en elle, pour mettre sa main sur cette bouche qui ne se retenait plus. Il attendit que Tooka le regarde pour lui faire signe de garder le silence. Comme pour lui faire une punition, il lui donna une légère claque sur la fesse qui se révélait sûrement bien plus excitante de douloureuse. Reprenant ses va et vien un peu plus lentement, il changea de prise et s'aggripa une main dans les cheveux et l'autre aux cornes de l'esclave.
Tooka aime ca alors? Tooka est excitée? Me montrera tu comment tu te sert de ta queue dans ce genre de moment hein?
Approchant a nouveau de son maître, le corps rougissant et chaud, Tooka revint poser des baisers et des caresses sur la peau de son torse. Elle était réellement douée pour faire rebander le jeune homme qui était encore essoufflé de l'orgasme qu'elle lui avait procuré. Cela devait se sentir d'ailleurs car l'esclave était vraiment collé a lui et la verge qu'elle semblait désirait était tout contre son ventre, assez réactive face aux mouvements de Tooka. Celle-ci d'ailleurs se frottait de plus en plus à son maître, cherchant à se faire désirer probablement et elle y arrivait extrêmement bien. Mehen était si décontenancé qu'il ne savait plus quoi faire et laissait la jeune fille agir seule.
Rapidement, cela ne semblait plus suffire et l'esclave se tourna, présentant sa croupe à son maître. Peut être pas provocation ou simplement pas envie, elle passait sa longue queue sur son sexe en gémissant, montrant très clairement que cela lui procurait un plaisir assez intense. Elle se tourna vers Mehen, se mordant la lèvre et se cambrant et en écartant les cuisses au maximum. Le jeune homme n'aurait pas été vivant ou mobile, il était certain qu'a ce rythme, elle s'empalerait seule sur cette proéminence dure qui ne réclamait que cela. Tooka mouillait plus que de raison, elle devait désirer son maître à un point… Cela aurait été un sacrilège de ne pas honorer ce vagin qui était prêt a l'accueillir. Dans un souffle chaud, Tooka dit qu'elle voulait se faire prendre, comme pour faire céder son maître qui la regardait caresser son sexe avec sa queue. Il faut bien dire que cela avait son effet mais rapidement, son désir de sexe prit le dessus sur tout les autres et il se plaça derrière l'esclave
Tooka va pouvoir sentir son maître en elle, fit Mehen en parodiant légèrement son esclave
Il écarta la queue de la jeune fille a l'aide de son sexe, plaça celui si sur l'entrée humide de la jeune fille et, d'un léger coup de rein, fit entrer son gland en elle. Son vagin était brûlant et incroyablement humide, on pouvait sûrement y passer bien plus qu'un simple sexe mais c'était bien suffisant pour le moment. Tooka semblait déjà adorer cela rien qu'a sa façon de gémir et de respirer alors que la verge de son maître entrait lentement en elle jusqu'à y être totalement. Mehen était déjà fort excité de ne faire plus qu'un avec son esclave et serait resté immobile plus longtemps s'il n'avait pas envie de jouir a nouveau. Plaçant ses mains sur les flancs de Tooka, il commença sortir son sexe tout aussi lentement qu'il l'avait entrer en elle et, d'un coup de bassin, rentra plus violement en arrachant un cri a l'esclave. Cette forme de violence semblait plaire a l'esclave et c'est sûrement pour cela que son maître commença a lui faire l'amour de cette façon
La verge follement dure de Mehen procurait de plus en plus de sensation a son esclave. Retenir les gémissement semblait devenir de plus en plus difficile pour la demoiselle et le maître finit par s'arrêter, son sexe entièrement en elle, pour mettre sa main sur cette bouche qui ne se retenait plus. Il attendit que Tooka le regarde pour lui faire signe de garder le silence. Comme pour lui faire une punition, il lui donna une légère claque sur la fesse qui se révélait sûrement bien plus excitante de douloureuse. Reprenant ses va et vien un peu plus lentement, il changea de prise et s'aggripa une main dans les cheveux et l'autre aux cornes de l'esclave.
Tooka aime ca alors? Tooka est excitée? Me montrera tu comment tu te sert de ta queue dans ce genre de moment hein?
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(hj: désolé pour mon silence mais j'ai eu une journée de m.... ^^' navré, j'espère que ma réponse te convient je la trouve un peu courte ='( )
Mehen répondit à l'appel de son esclave qui semblait ne plus avoir envie de retenir son désir de se faire prendre. Prenant son sexe en main, le jeune Maître bougea l'appendice de Tooka afin de se laisser la place princière, la voix royale vers ce vagin gorgé de ce liquide qui illustrait bien la terrible impatience de la jeune Ainoko. Elle entendit son Maître la parodier dans ses fautes de langage elle se tourna vers lui et sourit, elle prenait très bien la plaisanterie et tremoussa son petit derrière pour inciter son Maître à venir en elle. Ce qu'il fit sans plus attendre.
Pénétrant son gland en elle, la jeune femme se mit à poussa un gémissement tremblant, comme si elle attendait cela depuis une éternité. Il entra lentement en elle Tooka pouvait sentir ainsi toute la longue de sa verge ce qui la faisait trembler, même ses jambes tremblotaient tant Tooka ressentait du plaisir. Mehen fit de même en sens inverse, arrachant encore un gémissement rauque à sa belle esclave. Le mouvment suivant fut plus violent et lui aracha un cri du fond de sa gorge.
Le rythme s'accèle, la virilité dure de Mehen rendait folle l'esclave qui avait envie de pousser des hurlement de plaisir. Le Maître lui mit une main devant sa bouche. Tooka comprit qu'elle devait faire moin de bruit et serra alor les dents pour éttouffer au maximum ses gémissements excitants.
Comme pour la punir Mehen alla plus doucement et s'agrippa à elle par ses cornes et cheveux en lui posant des questions avec un air terriblment pervers..
Hmm! Oui! Oui Took aime sentir son Maître en elle!
Elle reprit son souffle après avoir rpononcer cette phrase.
Je...Je suis telelment excitée...
Et que voulait-il dire en parlant de son appendice? Tooka eu sa petite idée la dessus. Elel glissa sa queue lisse entrer ses lèvres pour humidifer le bout. Mehen pouvait sentir l'appendice s'agiter entre les jambes de son esclave et remonter, dégoulinant de liquide pour caresser ensuite son anus.
Tooka... Je vais vous montrer maintenant...
Elle savait très bien que cela faisait partie des nombreuses chose qu'elle savait en faire, mais elle préférait garder le meilleur pour la fin ou pour une prochiane fois, il falalit garder encore un peu de surprise voyons.
Sous les yeux de Mehen, elle enfila sa queue dans son anus avec une facilité déconcertante, comme si elle ena vait l'habitude et comm si elle adorait ca. La voilà entrain de s'attiser elle même, la double pénétration la faisait pas crier, mais hurler! La main de Mehen éttouffait un peu ces hurlements.
Quelqu'un entra dans les toilettes... Tooka n'avait pas envie de s'arreter pour faire moins de bruit, que fera le Maître?
Mehen répondit à l'appel de son esclave qui semblait ne plus avoir envie de retenir son désir de se faire prendre. Prenant son sexe en main, le jeune Maître bougea l'appendice de Tooka afin de se laisser la place princière, la voix royale vers ce vagin gorgé de ce liquide qui illustrait bien la terrible impatience de la jeune Ainoko. Elle entendit son Maître la parodier dans ses fautes de langage elle se tourna vers lui et sourit, elle prenait très bien la plaisanterie et tremoussa son petit derrière pour inciter son Maître à venir en elle. Ce qu'il fit sans plus attendre.
Pénétrant son gland en elle, la jeune femme se mit à poussa un gémissement tremblant, comme si elle attendait cela depuis une éternité. Il entra lentement en elle Tooka pouvait sentir ainsi toute la longue de sa verge ce qui la faisait trembler, même ses jambes tremblotaient tant Tooka ressentait du plaisir. Mehen fit de même en sens inverse, arrachant encore un gémissement rauque à sa belle esclave. Le mouvment suivant fut plus violent et lui aracha un cri du fond de sa gorge.
Le rythme s'accèle, la virilité dure de Mehen rendait folle l'esclave qui avait envie de pousser des hurlement de plaisir. Le Maître lui mit une main devant sa bouche. Tooka comprit qu'elle devait faire moin de bruit et serra alor les dents pour éttouffer au maximum ses gémissements excitants.
Comme pour la punir Mehen alla plus doucement et s'agrippa à elle par ses cornes et cheveux en lui posant des questions avec un air terriblment pervers..
Hmm! Oui! Oui Took aime sentir son Maître en elle!
Elle reprit son souffle après avoir rpononcer cette phrase.
Je...Je suis telelment excitée...
Et que voulait-il dire en parlant de son appendice? Tooka eu sa petite idée la dessus. Elel glissa sa queue lisse entrer ses lèvres pour humidifer le bout. Mehen pouvait sentir l'appendice s'agiter entre les jambes de son esclave et remonter, dégoulinant de liquide pour caresser ensuite son anus.
Tooka... Je vais vous montrer maintenant...
Elle savait très bien que cela faisait partie des nombreuses chose qu'elle savait en faire, mais elle préférait garder le meilleur pour la fin ou pour une prochiane fois, il falalit garder encore un peu de surprise voyons.
Sous les yeux de Mehen, elle enfila sa queue dans son anus avec une facilité déconcertante, comme si elle ena vait l'habitude et comm si elle adorait ca. La voilà entrain de s'attiser elle même, la double pénétration la faisait pas crier, mais hurler! La main de Mehen éttouffait un peu ces hurlements.
Quelqu'un entra dans les toilettes... Tooka n'avait pas envie de s'arreter pour faire moins de bruit, que fera le Maître?
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(pas tellement mieux…)
La jeune esclave prenait tant de plaisir qu'elle en tremblait. Pas violement, pas non plus des convulsions, juste les légers tremblements qui trahissait si bien le plaisir chez une femme. Elle avait choisit de serrer les dents pour contenir son plaisir et ne pas faire trop de bruit mais cela semblait un effort surhumain pour Tooka. Elle lui affirma qu'elle aimait ce qu'il lui faisait, qu'elle aimait sentir cette connexion intime entre les deux êtres, Elle était plus qu'excitée et faisait clairement comprendre qu'elle désirait plus que ce que son maître lui offrait.
Quand Mehen parla de la queue de la jeune fille, celle-ci se mit en mouvement, comme si les paroles du jeune homme l'avaient réactivée. Elle la passa sur son sexe, caressant légèrement celui de son maître par la même occasion qui, il faut bien le dire, appréciait assez ce geste. Il ralentit ses mouvements, curieux de la tournure qu'allaient prendre les événements et comprit ce qu'elle comptait faire quand cette queue incroyable se mit a caresser l'anus de la belle. Elle devait avoir beaucoup pratiqué pour être si habile de ce membre à part entière car elle l'enfonça dans son anus avec une facilité déconcertante. Mehen, fort excité d'assister à cette double pénétration plutôt intense ne réalisa que trop tard que son esclave ne retenait plus ses cris. Il se donnait a fond toute manière et ne résista pas plus longtemps
Toujours enfoncé dans le vagin de l'esclave, la verge du jeune homme relâcha un nouveau jet de sperme mais en quantité bien moindre. C'est alors qu'en plein milieu de son orgasme, a l'apogée du plaisir, a l'instant même ou plus rien n'a d'importance si ça n'est ce lien entre deux êtres, la porte s'ouvrit alors que Mehen sentait encore son sperme jaillir et Tooka ne semblait pas d'humeur a s'arrêter. Par réflexe, il plaça sa main sur la bouche de l'esclave et se tut, interrompant ce moment de plaisir ce qui le frustrait quelque part mais qui était nécessaire.
Tout va bien la dedans? Fit une voix rauque assez grave depuis la porte des toilettes, sans doute le patron
Mehen posa son index sur sa bouche en lançant un regard a l'esclave qui annonçait clairement qu'il ne fallait pas faire un bruit. Il relâcha la bouche de l'esclave, comptant bien qu'elle ne fasse aucuns bruits.
Oui c'est juste….Hmmmmmmmmmm… Je crois que je suis un peu constipé….
Ah désolé pour vous mais si vous pouviez faire moins de bruit ça m'arrangerais bon monsieur
Je vais faire… Aaaaaaaaahhhhhhhhhmmmmmmmmmmm…. Ce que je peux…
Mehen imitait tant bien que mal le fait qu'il soit aux toilettes en tachant que cela puisse ressembler aux cris de jouissance de l'esclave. Par chance - et peut être même pas miracle - l'inconnu ne chercha pas a en savoir plus et on entendit la porte des toilettes se refermer. Mehen s'assit sur la cuvette des toilettes en poussant un grand soupir de soulagement. Quelle honte pour lui et pour Tooka si on avait compris ce qu'ils étaient en train de faire. Il avait cependant joui et il coulait de la fente humide qu'il venait de remplir un mélange des fluides corporels des deux êtres qui s'écrasait au sol. Le maître resta immobile quelques instant avant de se relever pour s'habiller.
Je pense qu'il vaut mieux garder la suite pour plus tard Tooka, je n'ai pas vraiment envie de voir le patron revenir …
La jeune esclave prenait tant de plaisir qu'elle en tremblait. Pas violement, pas non plus des convulsions, juste les légers tremblements qui trahissait si bien le plaisir chez une femme. Elle avait choisit de serrer les dents pour contenir son plaisir et ne pas faire trop de bruit mais cela semblait un effort surhumain pour Tooka. Elle lui affirma qu'elle aimait ce qu'il lui faisait, qu'elle aimait sentir cette connexion intime entre les deux êtres, Elle était plus qu'excitée et faisait clairement comprendre qu'elle désirait plus que ce que son maître lui offrait.
Quand Mehen parla de la queue de la jeune fille, celle-ci se mit en mouvement, comme si les paroles du jeune homme l'avaient réactivée. Elle la passa sur son sexe, caressant légèrement celui de son maître par la même occasion qui, il faut bien le dire, appréciait assez ce geste. Il ralentit ses mouvements, curieux de la tournure qu'allaient prendre les événements et comprit ce qu'elle comptait faire quand cette queue incroyable se mit a caresser l'anus de la belle. Elle devait avoir beaucoup pratiqué pour être si habile de ce membre à part entière car elle l'enfonça dans son anus avec une facilité déconcertante. Mehen, fort excité d'assister à cette double pénétration plutôt intense ne réalisa que trop tard que son esclave ne retenait plus ses cris. Il se donnait a fond toute manière et ne résista pas plus longtemps
Toujours enfoncé dans le vagin de l'esclave, la verge du jeune homme relâcha un nouveau jet de sperme mais en quantité bien moindre. C'est alors qu'en plein milieu de son orgasme, a l'apogée du plaisir, a l'instant même ou plus rien n'a d'importance si ça n'est ce lien entre deux êtres, la porte s'ouvrit alors que Mehen sentait encore son sperme jaillir et Tooka ne semblait pas d'humeur a s'arrêter. Par réflexe, il plaça sa main sur la bouche de l'esclave et se tut, interrompant ce moment de plaisir ce qui le frustrait quelque part mais qui était nécessaire.
Tout va bien la dedans? Fit une voix rauque assez grave depuis la porte des toilettes, sans doute le patron
Mehen posa son index sur sa bouche en lançant un regard a l'esclave qui annonçait clairement qu'il ne fallait pas faire un bruit. Il relâcha la bouche de l'esclave, comptant bien qu'elle ne fasse aucuns bruits.
Oui c'est juste….Hmmmmmmmmmm… Je crois que je suis un peu constipé….
Ah désolé pour vous mais si vous pouviez faire moins de bruit ça m'arrangerais bon monsieur
Je vais faire… Aaaaaaaaahhhhhhhhhmmmmmmmmmmm…. Ce que je peux…
Mehen imitait tant bien que mal le fait qu'il soit aux toilettes en tachant que cela puisse ressembler aux cris de jouissance de l'esclave. Par chance - et peut être même pas miracle - l'inconnu ne chercha pas a en savoir plus et on entendit la porte des toilettes se refermer. Mehen s'assit sur la cuvette des toilettes en poussant un grand soupir de soulagement. Quelle honte pour lui et pour Tooka si on avait compris ce qu'ils étaient en train de faire. Il avait cependant joui et il coulait de la fente humide qu'il venait de remplir un mélange des fluides corporels des deux êtres qui s'écrasait au sol. Le maître resta immobile quelques instant avant de se relever pour s'habiller.
Je pense qu'il vaut mieux garder la suite pour plus tard Tooka, je n'ai pas vraiment envie de voir le patron revenir …
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(Hj: mais si c'est très bien ^^ ca m'a bien fait rire le coup de la constipation, a imaginer la scène c'est hillarant xD )
La queue souple de Tooka glissait aisément en elle même lui arrachant de puissant cri rauque de plaisir. Mais ce n'était pas uniquement cete queue qui la faisait hurler mais c'était plus grâce à son Maître et le fait de sentir deux membres en elle ne l'épargnant pas dans l'ébart. Allant et venant sans cesse, longeant son antre sans s'en delésser, Tooka criait, et pourtant elle retenait tout de même son volume. A croire que la jeune hybride aimait crier, comuniquer son plaisir à son partenaire. Et à qui cela déplairait? Elle avait une voix si excitante...
Sentant le sexe de son Maître frapper le fond de son vagin et frotter cette partie intime en elle qui pouvait provoquer une immense jouissance, Tooka sentait qu'elle aussi n'allait pas tarder à venir. Encore...oui encore un peu, elle glissa sa main sur son corps pour venir caresser sa perle humide. L'excitation fut telle qu'en quelques mouvements elle se mit à trembler plus fort et à se contracter. Soudain, au même moment, son Maître se déversa en elle et la porte des toilettes s'ouvre. Tooka sentit la main de Mehen sur sa bouche pour la faire taire et c'est ainsi que dans un effort surhumain, elle étouffa le crie de sa jouissance. Qu'importe, son intimité fut prit de contractions en chaîne.
La personne qui venait d'entrer était un homme, se demandant ce qu'il se passait. Les Clients prêt des toilettes avaient peut être tout entendu et sont aller se plaindre... possible. Mehen n'était pas du genre à afficher à tout le monde ses exploits sexuel et se mit à simuler une constipation ma fois fort convaincante. Tooka trouvait ca drôle mais aussi la situation terriblement gênante. L'homme derrière le box ne semblait pas avoir vu qu'il y avait deux personnes dans la même cabine, ou bien il fit mine de rien et demanda à Mehen de faire moins de bruit. Puis il partit. Tooka fut aussi soulagée que son Maitre, cela avait coupé son élan dans sa jouissance, mais tant pis se dit-elle, ce sera pour une prochiane fois ou elle pourra exprimer son extase à son Maître.
Il est partit?
Murmura t-elle. La porte qui se mit à claquer lui répondit. Elle en profita pour reprendre son souffle en inspirant et expirant profondément. Le jeune Maître s'assoit sur la cuvette apparament tout aussi soulagé que son esclave.
Tooka dégoulinait de liquide entre ses jambes. Elle se redressa et se tourna vers son Maître avec un petit sourire adorable. Elle le vit se relever pour s'habiller et semblait d'accord avec lui.
Je.. ne veux pas non plus qu'il nous découvre.
Fit-elle en prenant un peu de papier toilette pour enlever ce qui débodait de son intimitée. Puis elle jetta cela dans la cuvette, se pencha pour attraper sa robe blanche heureusement non souillée. Elle l'enfila lentement, elle était une taille en dessou pour elle, non pas qu'elle avait du poid en trop non, elle avait justement de trop belles formes pour rentrer sans problème dans cette robe anorexique.
Une fois revêtue elle suivit Mehen hors du box. Il fallait revenir à leur place, car la commande allait être surement servit dans peu de temps. Le ventre de Tooka gargouilla en effet. Avant de sortir des toilettes elle se mit sur la pointe de ses sabots pour embrasser la joue de son Maître et lui murmurer :
Merci Maître.
Mehen allait peut être se demander pourquoi, et seul Tooka avait la réponse dans ce cas. La jeune hybride connaissait la jouissance mais... bien rare ce fut le cas avec ses anciens Maîtres, pour le premier rapport avec le jeune homme elle était radieuse et le remerciait de l'avoir honnorer ainsi.
La queue souple de Tooka glissait aisément en elle même lui arrachant de puissant cri rauque de plaisir. Mais ce n'était pas uniquement cete queue qui la faisait hurler mais c'était plus grâce à son Maître et le fait de sentir deux membres en elle ne l'épargnant pas dans l'ébart. Allant et venant sans cesse, longeant son antre sans s'en delésser, Tooka criait, et pourtant elle retenait tout de même son volume. A croire que la jeune hybride aimait crier, comuniquer son plaisir à son partenaire. Et à qui cela déplairait? Elle avait une voix si excitante...
Sentant le sexe de son Maître frapper le fond de son vagin et frotter cette partie intime en elle qui pouvait provoquer une immense jouissance, Tooka sentait qu'elle aussi n'allait pas tarder à venir. Encore...oui encore un peu, elle glissa sa main sur son corps pour venir caresser sa perle humide. L'excitation fut telle qu'en quelques mouvements elle se mit à trembler plus fort et à se contracter. Soudain, au même moment, son Maître se déversa en elle et la porte des toilettes s'ouvre. Tooka sentit la main de Mehen sur sa bouche pour la faire taire et c'est ainsi que dans un effort surhumain, elle étouffa le crie de sa jouissance. Qu'importe, son intimité fut prit de contractions en chaîne.
La personne qui venait d'entrer était un homme, se demandant ce qu'il se passait. Les Clients prêt des toilettes avaient peut être tout entendu et sont aller se plaindre... possible. Mehen n'était pas du genre à afficher à tout le monde ses exploits sexuel et se mit à simuler une constipation ma fois fort convaincante. Tooka trouvait ca drôle mais aussi la situation terriblement gênante. L'homme derrière le box ne semblait pas avoir vu qu'il y avait deux personnes dans la même cabine, ou bien il fit mine de rien et demanda à Mehen de faire moins de bruit. Puis il partit. Tooka fut aussi soulagée que son Maitre, cela avait coupé son élan dans sa jouissance, mais tant pis se dit-elle, ce sera pour une prochiane fois ou elle pourra exprimer son extase à son Maître.
Il est partit?
Murmura t-elle. La porte qui se mit à claquer lui répondit. Elle en profita pour reprendre son souffle en inspirant et expirant profondément. Le jeune Maître s'assoit sur la cuvette apparament tout aussi soulagé que son esclave.
Tooka dégoulinait de liquide entre ses jambes. Elle se redressa et se tourna vers son Maître avec un petit sourire adorable. Elle le vit se relever pour s'habiller et semblait d'accord avec lui.
Je.. ne veux pas non plus qu'il nous découvre.
Fit-elle en prenant un peu de papier toilette pour enlever ce qui débodait de son intimitée. Puis elle jetta cela dans la cuvette, se pencha pour attraper sa robe blanche heureusement non souillée. Elle l'enfila lentement, elle était une taille en dessou pour elle, non pas qu'elle avait du poid en trop non, elle avait justement de trop belles formes pour rentrer sans problème dans cette robe anorexique.
Une fois revêtue elle suivit Mehen hors du box. Il fallait revenir à leur place, car la commande allait être surement servit dans peu de temps. Le ventre de Tooka gargouilla en effet. Avant de sortir des toilettes elle se mit sur la pointe de ses sabots pour embrasser la joue de son Maître et lui murmurer :
Merci Maître.
Mehen allait peut être se demander pourquoi, et seul Tooka avait la réponse dans ce cas. La jeune hybride connaissait la jouissance mais... bien rare ce fut le cas avec ses anciens Maîtres, pour le premier rapport avec le jeune homme elle était radieuse et le remerciait de l'avoir honnorer ainsi.
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Tooka ne semblait pas malheureuse de la comédie jouée par son maître. Apparemment, elle non plus n'aimait pas être surprise en plein dans l'acte sexuel, bien que cela paraisse étrange pour une créature au corps si parfaitement fuselé pour le sexe. A vrai dire cela valait mieux, Mehen n'aurait pas vraiment été facile à transformer en exhibitionniste. La jeune fille essuya le surplus de sperme qui s'échappait de son sexe et commença à se rhabiller elle aussi. Mehen réalisait encore plus le ridicule de la robe de Tooka qui était trop petite pour elle et, bien que cela moule son buste, ça donnait une image assez pittoresque de la jeune esclave.
Juste avant de quitter la pièce, la demoiselle vint poser une bise sur la joue de son maître en le remerciant. C'était un peu surprenant mais sans doute était ce un remerciement pour l'acte ou pour s'être retenu de s'afficher avec cette esclave nue. En tout cas tout cela laissait présager de nombreuses parties de jambes en l'air plus épique les une que les autres. Mehen se contenta de faire un petit sourire, ne cherchant pas vraiment plus loin et sortit des toilettes sous le regard presque ahuri du barman et de quelques serveurs. Visiblement, ils avaient été entendus mais Mehen se contentait d'afficher un air satisfait en se fichant pas mal de ce qu'on pouvait penser de lui a cet instant. Il rejoignit sa table et, quelque instants plus tard, le serveur leur apporter le petit déjeuner tant espéré. Le plat se constituait de 2 tranche de bacon grillé, d'un équivalent d'un œuf cuit tel une omelette, de quelques tranche de pain griller avec diverse chose a tartiner dessus et d'un verre de jus d'orange, un vrai petit déjeuner et somme.
Bon appétit Tooka, fit le maître avec un sourire
Il commença a s'attaquer a ce plat qui constituait généralement son petit déjeuner… Ou plutôt son repas qu'il prenait juste avant de dormir. On lui avait dit des centaines de fois qu'il valait mieux manger a son réveil qu'avant de dormir mais Mehen avait toujours fait ainsi et s'en portait plutôt bien. Le jeune homme ne s'attardait pas vraiment sur l'assiette de Tooka, la laissant se débrouillait comme elle voudrait. Ca n'était pas certain qu'elle sache se servir des couverts mais dans l'immédiat ça n'était pas bien grave si elle se nourrissait d'une autre manière. Le repas fut plutot silencieux et discret et Mehen, terminant son bacon en gardant une derniere tartine qu'il comptait grignoter en regardant Tooka manger
Alors petite esclave, que pense tu de ce repas?
Juste avant de quitter la pièce, la demoiselle vint poser une bise sur la joue de son maître en le remerciant. C'était un peu surprenant mais sans doute était ce un remerciement pour l'acte ou pour s'être retenu de s'afficher avec cette esclave nue. En tout cas tout cela laissait présager de nombreuses parties de jambes en l'air plus épique les une que les autres. Mehen se contenta de faire un petit sourire, ne cherchant pas vraiment plus loin et sortit des toilettes sous le regard presque ahuri du barman et de quelques serveurs. Visiblement, ils avaient été entendus mais Mehen se contentait d'afficher un air satisfait en se fichant pas mal de ce qu'on pouvait penser de lui a cet instant. Il rejoignit sa table et, quelque instants plus tard, le serveur leur apporter le petit déjeuner tant espéré. Le plat se constituait de 2 tranche de bacon grillé, d'un équivalent d'un œuf cuit tel une omelette, de quelques tranche de pain griller avec diverse chose a tartiner dessus et d'un verre de jus d'orange, un vrai petit déjeuner et somme.
Bon appétit Tooka, fit le maître avec un sourire
Il commença a s'attaquer a ce plat qui constituait généralement son petit déjeuner… Ou plutôt son repas qu'il prenait juste avant de dormir. On lui avait dit des centaines de fois qu'il valait mieux manger a son réveil qu'avant de dormir mais Mehen avait toujours fait ainsi et s'en portait plutôt bien. Le jeune homme ne s'attardait pas vraiment sur l'assiette de Tooka, la laissant se débrouillait comme elle voudrait. Ca n'était pas certain qu'elle sache se servir des couverts mais dans l'immédiat ça n'était pas bien grave si elle se nourrissait d'une autre manière. Le repas fut plutot silencieux et discret et Mehen, terminant son bacon en gardant une derniere tartine qu'il comptait grignoter en regardant Tooka manger
Alors petite esclave, que pense tu de ce repas?
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( hj: moi ausis s'pas top mais je file rentrer chez moi j'ai voulu poster avant pour avancer, tu m'en veux pas? )
Dans la salle principale, les regards fusent et se posent sans ménagment sur Tooka et Mehen. Elle était gênée et espérait ne pas apporter la honte sur son Maître. Les yeux se posaient sur elle comme une bête de foire, elle baissa la tête et suivit le jeune homme sans dire un mot. Une fois retourné à leur place, Tooka releva la tête, les regards semblaient s'être détourner, après tout à quoi bon continuer à fixer, ce qui est fait est fait....
Une délicisue odeur se rapproche d'eux, Tooka tourna instinctivement la tête vers le serveur comme si elle disposait d'un radar. L'employé du bar dépose les plateau et semble rebouté par l'attitude de Tooka qui humait l'air à nouveau. Elle ouvrit grans ses yeux:
Tout ça pour moi ?
Elle n'avait pas l'habitude d'avoir une belle assiette pour elle seule. Ca sentait la viande! Tooka avait des étoiles dans les yeux. Elle regarda son maître lui souhaiter bon appétit et débuter son repas. Elle regarde son assiette..puis Mehen... puis ces truc en métal dont -il se servait pour étaler la nourriture, la couper et la porter à sa bouche. Ses anciens maître aussi en avait mais cette fois la.. Tooka aussi !
Elle saisit la fourchette d'une main d'une manière plutot rustre... ainsi que le couteau. Elle posa ses yeux sur le sgeste de Mehen et tente de l'imiter avec plusieurs echecs. Il y avait une révélation dans tout ça. Quelqu'un qui ne sais pas tenir une fourchette, ne sai pas tenir un stylo. Quelqu'un qui ne sais pas tenir de stylo..ne sais pas écrire. Et, fatalement, quelqu'un qui ne sais pas écrire, sais difficilement lire.
Un simple geste et on pouvait deviner l' illetrisme de la personne en face de nous.
C'était touchant, voir amusant de la voir tenter moulte position des doigts pour tenir sa fourchette alors que c'était si simple. Elle réussit à attraper un bout de bacon en plantant sa fouchette dedans et en portant le bout entier directement à sa bouche. Evidament, c'était trop gros alros elle le rattrape avec ses doigts et dévore le morceaux.
Elle leva les yeux sur son Maître.
Tooka mange mal...?
Elle posa sa question mais ne pu s'empêcher de prendre un bout de pain pour le mâcher comme une biquette mâcherait son foin.
Dans la salle principale, les regards fusent et se posent sans ménagment sur Tooka et Mehen. Elle était gênée et espérait ne pas apporter la honte sur son Maître. Les yeux se posaient sur elle comme une bête de foire, elle baissa la tête et suivit le jeune homme sans dire un mot. Une fois retourné à leur place, Tooka releva la tête, les regards semblaient s'être détourner, après tout à quoi bon continuer à fixer, ce qui est fait est fait....
Une délicisue odeur se rapproche d'eux, Tooka tourna instinctivement la tête vers le serveur comme si elle disposait d'un radar. L'employé du bar dépose les plateau et semble rebouté par l'attitude de Tooka qui humait l'air à nouveau. Elle ouvrit grans ses yeux:
Tout ça pour moi ?
Elle n'avait pas l'habitude d'avoir une belle assiette pour elle seule. Ca sentait la viande! Tooka avait des étoiles dans les yeux. Elle regarda son maître lui souhaiter bon appétit et débuter son repas. Elle regarde son assiette..puis Mehen... puis ces truc en métal dont -il se servait pour étaler la nourriture, la couper et la porter à sa bouche. Ses anciens maître aussi en avait mais cette fois la.. Tooka aussi !
Elle saisit la fourchette d'une main d'une manière plutot rustre... ainsi que le couteau. Elle posa ses yeux sur le sgeste de Mehen et tente de l'imiter avec plusieurs echecs. Il y avait une révélation dans tout ça. Quelqu'un qui ne sais pas tenir une fourchette, ne sai pas tenir un stylo. Quelqu'un qui ne sais pas tenir de stylo..ne sais pas écrire. Et, fatalement, quelqu'un qui ne sais pas écrire, sais difficilement lire.
Un simple geste et on pouvait deviner l' illetrisme de la personne en face de nous.
C'était touchant, voir amusant de la voir tenter moulte position des doigts pour tenir sa fourchette alors que c'était si simple. Elle réussit à attraper un bout de bacon en plantant sa fouchette dedans et en portant le bout entier directement à sa bouche. Evidament, c'était trop gros alros elle le rattrape avec ses doigts et dévore le morceaux.
Elle leva les yeux sur son Maître.
Tooka mange mal...?
Elle posa sa question mais ne pu s'empêcher de prendre un bout de pain pour le mâcher comme une biquette mâcherait son foin.
Invité
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(pas de soucis, on s'enlise un peut toute façon la vu qu'il faut passer par la case "miam miam")
Tooka avait été assez surprise d'avoir tant de nourriture dans son assiette. Ses anciens maîtres n'avait vraiment pas du la nourrir correctement mais avoir avaler la semence chaude de son maître avait du la mettre en appétit car son regard trahissait le bonheur ressentit en voyant toute cette nourriture devant elle. Ce qu'il lui arriva ensuite? Dur a déterminer car Mehen était bien trop concentrer sur son assiette et rien ne l'aurait choquer de la part de sa partenaire sexuelle. Quand il reposa les yeux sur elle, son assiette pratiquement finit, il put voir son esclave peiner avec un bout de bacon et finir par le manger avec les doigts. Elle n'avait vraiment rien de civilisé et lisant sûrement cette forme de déception dans le regarde de son maître, lui demanda si elle mangeait mal.
Non ne t'en fait pas Tooka, dit Mehen sur un ton rassurant, mange comme tu le désire du moment que tu mange
La façon de manger de l'esclave faisait clairement comprendre à Mehen comment il fallait la traiter dans un avenir proche. Lui donner a manger dans une gamelle serait sûrement plus approprié. De plus, il faudrait bien lui trouver une tenue et Mehen s'imaginait déjà avec cette esclave a 4 pattes, mangeant son repas dans une gamelle de chien… C'était sûrement plus approprié et, bien qu'il n'ait pas prévu le coup, il comptait bien faire ceci. De plus, n'avait elle pas dit qu'elle appréciait certaines manières d'être frappée? Son maître pourrait la soumettre comme il le désirait une fois chez lui. Noyé dans ses pensées entre le fantasme et le désir, Mehen regardait d'un air vide son esclave manger son assiette avec les mains, tel un animal. Visiblement la remarque de son maître l'avait mise en confiance et elle mangeait en utilisant ses doigts ou allant chercher directement la nourriture dans l'assiette. Cela ne dégoûtait pas Mehen, il était même plus hypnotisé par le spectacle et quand elle eut finit, il se leva de son siège
J'espère que tu a bien manger, on va rentrer a la maison et te mettre dans une tenue ou tu sera plus a l'aise, attend moi dehors.
Le jeune homme alla au comptoir pour payer son repas, échangeant rapidement quelque mot avec le barman qui lui conseillait quelques médicaments contre ses problèmes intestinaux. Mehen ressortit, interpellant Tooka d'un claquement de doigt et se dirigea vers son appartement. La foule des trottoir était moins dense et comme il ne fallait pas allé trop vite, Mehen marchait d'un pas assez lent et mesuré, regardant Tooka de temps a autre. Il comprenait un peu mieux pourquoi on traiter les esclaves comme des bêtes et ça, aucun livre n'avait sut lui l'expliquer. Il bailla avant de dire a son esclave:
Dit moi Tooka, tu semble ne pas trop connaître les manière des maîtres. Tu préfère manger au sol peut être et dans une gamelle plutôt que dans une assiette? Ca semblerait plus adapté pour toi non?
Tooka avait été assez surprise d'avoir tant de nourriture dans son assiette. Ses anciens maîtres n'avait vraiment pas du la nourrir correctement mais avoir avaler la semence chaude de son maître avait du la mettre en appétit car son regard trahissait le bonheur ressentit en voyant toute cette nourriture devant elle. Ce qu'il lui arriva ensuite? Dur a déterminer car Mehen était bien trop concentrer sur son assiette et rien ne l'aurait choquer de la part de sa partenaire sexuelle. Quand il reposa les yeux sur elle, son assiette pratiquement finit, il put voir son esclave peiner avec un bout de bacon et finir par le manger avec les doigts. Elle n'avait vraiment rien de civilisé et lisant sûrement cette forme de déception dans le regarde de son maître, lui demanda si elle mangeait mal.
Non ne t'en fait pas Tooka, dit Mehen sur un ton rassurant, mange comme tu le désire du moment que tu mange
La façon de manger de l'esclave faisait clairement comprendre à Mehen comment il fallait la traiter dans un avenir proche. Lui donner a manger dans une gamelle serait sûrement plus approprié. De plus, il faudrait bien lui trouver une tenue et Mehen s'imaginait déjà avec cette esclave a 4 pattes, mangeant son repas dans une gamelle de chien… C'était sûrement plus approprié et, bien qu'il n'ait pas prévu le coup, il comptait bien faire ceci. De plus, n'avait elle pas dit qu'elle appréciait certaines manières d'être frappée? Son maître pourrait la soumettre comme il le désirait une fois chez lui. Noyé dans ses pensées entre le fantasme et le désir, Mehen regardait d'un air vide son esclave manger son assiette avec les mains, tel un animal. Visiblement la remarque de son maître l'avait mise en confiance et elle mangeait en utilisant ses doigts ou allant chercher directement la nourriture dans l'assiette. Cela ne dégoûtait pas Mehen, il était même plus hypnotisé par le spectacle et quand elle eut finit, il se leva de son siège
J'espère que tu a bien manger, on va rentrer a la maison et te mettre dans une tenue ou tu sera plus a l'aise, attend moi dehors.
Le jeune homme alla au comptoir pour payer son repas, échangeant rapidement quelque mot avec le barman qui lui conseillait quelques médicaments contre ses problèmes intestinaux. Mehen ressortit, interpellant Tooka d'un claquement de doigt et se dirigea vers son appartement. La foule des trottoir était moins dense et comme il ne fallait pas allé trop vite, Mehen marchait d'un pas assez lent et mesuré, regardant Tooka de temps a autre. Il comprenait un peu mieux pourquoi on traiter les esclaves comme des bêtes et ça, aucun livre n'avait sut lui l'expliquer. Il bailla avant de dire a son esclave:
Dit moi Tooka, tu semble ne pas trop connaître les manière des maîtres. Tu préfère manger au sol peut être et dans une gamelle plutôt que dans une assiette? Ca semblerait plus adapté pour toi non?
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Le Maître ne semblait pas dégouté par la manière de manger de Tooka. Il semblait même ailleur. La jeune femme ignorait complètement qu'il était en train de se dessiner des fantasme dans son esprit. Trop ocupée à manger, elle entnedit juste la réponse qu'il lui donna. Elle ne se fit pas prier et dévora son assiette, en gloutissant les oeufs, masticant le pain et déchiquetant le bacon. Elle s'essui grossièrement la bouche avec sa main. D'ailleurs ses mains étaient du coup pas très propres alors elle les léchats pour enlever le gras de la viande et s'essuie sur sa robe. Après tout cette robe ne lui allait pas alors qu'importe, de plus ce n'était pas une robe choisie par le Maître.
Mehen se leva de sa place, Tooka le regarde avec des yeux exprimant une faim copieusement rassasiée. Il parlait de rentrer " à la maison" La jeune esclave sourit elle allait voir ou et comment vivait son Maître. Il toucha un mot sur sa tenue également, elle secoua la tête pour dire qu'elle était contente, en efet le vêtement qu'elle portait ne lui sciait guère et la serrait trop à la poitrine. Elle le regarda aprtir régler l'addition quand il la rappela en clauant des doigts. Tooka se leva rapidmeent, de manque de tomer par terre avec la laongueur de cette robe. Elle resta derrière le jeune homme. Son regard croisa celui du patron.. elle en frissonna.
Les voilà enfin sorti du bar, Tooka se rapellera toujours de cet endroit pour ce qu'y s'était produit. Elle sourit toute seule avec de sjoeus roses avant de suivre son Maître en trottinant.
La foule encore. La jeune hybride faisait plus attention cette fois quand elle marchait quand Mehen lui posa une question.
Et bien.... T..Mes anciens Maître et mes parents, ne m'aimaient pas... Il me disait que je devais être traiter comme un chien car je vallais moins que ça. Alors je mangeais avec les chiens des Maîtres ou bien dans le foin à la grande de mes parents, par terre... Tooka ne sais pas si c'est bien. Tooka... Je n'ai jamais été traitée autrement, peut être qu'il y a mieux...
Elle baissa la tête devant sa propre ignorance.
Je ne sais pas. Mais Tooka fera comme le Maître veux !
Dit-elle sur un ton plus enjoué. Après tout , elle était soumise et pensait qu'elle n'avait pas son mot à dire. Manger dans au sol était une habitude, cela lui semblait normal alors si Mehen désirait en faire de même il pouvait être assuré qu'elle ne manifestera aucun mécontentement trouvant ça normal.
Tooka avait quand même hâte de voir ou elle allait dormir. Dans un grenier? Ou sur un vieux canapé sentant le chien mouillé? Ou encore dehors à la belle étoile? Elle ne savait rien et cela attisait sa curiosité. Elle aimait bien son nouveau Maître, c'est d'aileurs le premier qu'elle apprécie autant ce qui explique peut être son enthousiasme.
Mehen se leva de sa place, Tooka le regarde avec des yeux exprimant une faim copieusement rassasiée. Il parlait de rentrer " à la maison" La jeune esclave sourit elle allait voir ou et comment vivait son Maître. Il toucha un mot sur sa tenue également, elle secoua la tête pour dire qu'elle était contente, en efet le vêtement qu'elle portait ne lui sciait guère et la serrait trop à la poitrine. Elle le regarda aprtir régler l'addition quand il la rappela en clauant des doigts. Tooka se leva rapidmeent, de manque de tomer par terre avec la laongueur de cette robe. Elle resta derrière le jeune homme. Son regard croisa celui du patron.. elle en frissonna.
Les voilà enfin sorti du bar, Tooka se rapellera toujours de cet endroit pour ce qu'y s'était produit. Elle sourit toute seule avec de sjoeus roses avant de suivre son Maître en trottinant.
La foule encore. La jeune hybride faisait plus attention cette fois quand elle marchait quand Mehen lui posa une question.
Et bien.... T..Mes anciens Maître et mes parents, ne m'aimaient pas... Il me disait que je devais être traiter comme un chien car je vallais moins que ça. Alors je mangeais avec les chiens des Maîtres ou bien dans le foin à la grande de mes parents, par terre... Tooka ne sais pas si c'est bien. Tooka... Je n'ai jamais été traitée autrement, peut être qu'il y a mieux...
Elle baissa la tête devant sa propre ignorance.
Je ne sais pas. Mais Tooka fera comme le Maître veux !
Dit-elle sur un ton plus enjoué. Après tout , elle était soumise et pensait qu'elle n'avait pas son mot à dire. Manger dans au sol était une habitude, cela lui semblait normal alors si Mehen désirait en faire de même il pouvait être assuré qu'elle ne manifestera aucun mécontentement trouvant ça normal.
Tooka avait quand même hâte de voir ou elle allait dormir. Dans un grenier? Ou sur un vieux canapé sentant le chien mouillé? Ou encore dehors à la belle étoile? Elle ne savait rien et cela attisait sa curiosité. Elle aimait bien son nouveau Maître, c'est d'aileurs le premier qu'elle apprécie autant ce qui explique peut être son enthousiasme.
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