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*La magnifique Berline noire roula un bon moment avant de s'arrêter devant la grille d'un immense domaine. Le portail s'ouvrir, automatisé et le véhicule poursuivit sa route à travers un chemin de gravats. Isei regarda par la fenêtre.. c'était grand, non.. immense! Et encore, elle n'avait pas vu l'intérieur de ce Castel qui se dessinait en face de la route. Plus la voiture avançait plus le bâtiment devenait imposant. Finissant enfin sa course devant une entrée ouvragée aux escaliers entretenus le chauffeur sortit et ouvrit la portière à son employeur et sa garde du corps. La jeune femme sortit lentement, une fois dehors ses yeux se posèrent un peu partout. L'architecture des jardins de l'entrée faisaient penser aux châteaux occidentaux.
Magnifique.*
Vous avez un beau domaine.
*Dit-elle en passant son regard sur Soren. Même si cela fut dit avec beaucoup de scincérité, pas un sourire ne parrut sur son visage. Le chauffeur repartit avec la berline et Isei suivit son employeur dans l'enceinte du Castel.
L'entrée était immense, bien significative d'une famille qui devait beaucoup recevoir. Mais Isei ne fit pas vraiment attention à cela. On vient lui proposer de lui hôter son manteau. Elle accepte. Après tout elle n'avait plus rien à cacher maintenant. Elle retira lentement ce gros tissu qui la camoufflait et la donna à une jeune homme souriant. C'était son nouveau "chez elle", le temps que Monsieur Soren désire. Le lieu lui plaisait, il y avait beaucoup de prestance, tout comme le Maître des lieux dira t-on.*
*Soren invita Isei à le suivre de nouveau. Toujours ce doux sourire aux lèvres.. Comment fait-il pour sourire ainsi? Se demanda t-elle, elle n'y arrivait jamais... se demandant bien pourquoi sur l'instant.
Le guide mena sa nouvelle recrue dans un premier salon. Isei eu le réflexe de lever les yeux au plafond qui lui semblait bien lumineux. Il était ouvragé également. Et la taille de la pièce semblait importante. Elle le suivit encore, et une autre grande pièce apparue. Un salon encore? Ou autre chose? Isei ne connaissait rien à l'organisation des maisons et chateaux occidentaux. Elle avait du mal à reconnaitre les pièces. Mais elle aura le temps de tout découvrir plus tard, la visite n'était pas le but de cette première entrée au Castel.*
Il y a de quoi se perdre...
*Murmura t-elle, impresionnée devant la taille du Castel, et elle n'avait rien vu encore surement. Il y avait des étages. Isei soupira, comme fatigué rien que de penser à toutes ces pièces à visiter. Ce n'était pas de la lassitude au contraire? Le lieux était très interesant. A bien se remémorer elle n'avait aucun souvenir d'avoir vu un lieu de résidence aussi grand. Suivant tujours Soren, son nez d'hybride lui indiqua une odeur famillière... La cuisine était proche. Pourquoi vuolait-il l'emmener la bas?*
Magnifique.*
Vous avez un beau domaine.
*Dit-elle en passant son regard sur Soren. Même si cela fut dit avec beaucoup de scincérité, pas un sourire ne parrut sur son visage. Le chauffeur repartit avec la berline et Isei suivit son employeur dans l'enceinte du Castel.
L'entrée était immense, bien significative d'une famille qui devait beaucoup recevoir. Mais Isei ne fit pas vraiment attention à cela. On vient lui proposer de lui hôter son manteau. Elle accepte. Après tout elle n'avait plus rien à cacher maintenant. Elle retira lentement ce gros tissu qui la camoufflait et la donna à une jeune homme souriant. C'était son nouveau "chez elle", le temps que Monsieur Soren désire. Le lieu lui plaisait, il y avait beaucoup de prestance, tout comme le Maître des lieux dira t-on.*
*Soren invita Isei à le suivre de nouveau. Toujours ce doux sourire aux lèvres.. Comment fait-il pour sourire ainsi? Se demanda t-elle, elle n'y arrivait jamais... se demandant bien pourquoi sur l'instant.
Le guide mena sa nouvelle recrue dans un premier salon. Isei eu le réflexe de lever les yeux au plafond qui lui semblait bien lumineux. Il était ouvragé également. Et la taille de la pièce semblait importante. Elle le suivit encore, et une autre grande pièce apparue. Un salon encore? Ou autre chose? Isei ne connaissait rien à l'organisation des maisons et chateaux occidentaux. Elle avait du mal à reconnaitre les pièces. Mais elle aura le temps de tout découvrir plus tard, la visite n'était pas le but de cette première entrée au Castel.*
Il y a de quoi se perdre...
*Murmura t-elle, impresionnée devant la taille du Castel, et elle n'avait rien vu encore surement. Il y avait des étages. Isei soupira, comme fatigué rien que de penser à toutes ces pièces à visiter. Ce n'était pas de la lassitude au contraire? Le lieux était très interesant. A bien se remémorer elle n'avait aucun souvenir d'avoir vu un lieu de résidence aussi grand. Suivant tujours Soren, son nez d'hybride lui indiqua une odeur famillière... La cuisine était proche. Pourquoi vuolait-il l'emmener la bas?*
Invité
Invité
Nous avancions tranquillement vers la cuisine aprés être descendus de voiture. Nos pas claquaient sur le sol tandis que la belle Iseî découvrait l'étendue de mon immense domaine. Je comprenais que cela puisse être impressionnant. Personnellement, j'avais l'habitude de ce genre d'édifice. Aprés tout, c'est dans un endroit similaire que j'avais grandis et vécu avant d'arriver à Migoto. A Or-Azur, je me sentais comme un poisson dans l'eau et c'était bien naturel.
Lorsqu'Isei avait vanté la beauté du domaine alors que nous étions dans la voiture, je lui avais répond simplement par un petit merci. A vrai dire, j'étais un peu dans la lune, perdu dans mes pensées diverses. J'avais à présent le garde du corps que je considérais comme parfait. Il me fallait donc oeuvrer à l'accomplissement du reste, comme par exemple notre rencontre avec Yatsuki Rei. Sûrement Isei pourrait elle me dégoter quelques informations plus fiables que celles que je n'avais déjà. Je lui en parlerais dès demain. Pour l'heure, j'avais envie de me reposer et jouir de sa compagnie. Et peu importerait le sens du terme.
J'avais un petit creux aprés notre passe d'arme. Et aucune envie de dormir seul ce soir. Oh, je pouvais faire appel à l'une de mes esclaves, mais je me devais d'avouer que ce concept était un peu déroutant pour moi. Le terme était peut-être trop cru, tout simplement. Et puis je voulais en savoir plus de mion employée si taciturne. Je n'avais pas l'impression qu'elle soit une habituée du contact humain autre que celui que son métier lui avait jusque là et je voulais comprendre pourquoi. Trop curieux ? Possible. Mais qu'importait ? Je respectais Isei et si elle me faisait sentir d'éventuelles réticences, je cesserais toute enquête.
A vrai dire, l'idée de coucher avec elle me titillait, mais je restais persuadé qu'elle refuserait jusqu'a de simples avance.
Hmmpf.... Que voulez vous ! On ne peut tout contrôler. Et d'un sens, cela n'était absolument pas pour me déplaire.
Finalement, nous avions pénétrer dans la cuisine. Grande sans tomber dans l'excès, elle était de style américain. Une table au beau milieu, alors que les fourneaux étaient face à l'entrée, derrière la table.
- Mettez vous à l'aise, Isei. Je vais mettre le couvert pour deux. J'espère que vous aimez le canard !
Et tandis qu'elle obéissait à ma demande, je farfouillais dans les divers placards pour mettre la table. Comme à son habitude, Seiji avait fait en sorte que tout soit rangé avec ordre et soin, ce qui facilitait la tâche de Soren, qui ne connaissait pas forcément tout de cette immense maison.
Une fois la table mise, j'allumais le feu pour y faire chauffer un peu d'huile d'olive. Ce faisant, je sortais un peu de laitue que je placais dans un saladier pour l'assaisonner tranquillement. Une fois l'huile à température, j'allais chercher un peu de gésiers frais pour les faire revenir à feu doux. Et tandis que je m'investissais dans mon oeuvre culinaire, je parlais à Isei.
- Dites moi, Isei... Vous avez un petit ami, un employé de maison, quelque chose ? Si oui, il -où elle- pourra loger ici même avec vous.
Je fis sauter les gésiers en ajoutant un peu de sel et de poivre avant d'enchainer, tandis que le met crépitait doucement dans la poêle.
- Oh, j'y pense ! Ce domaine vous est ouvert dans son entier. Libre à vous de vous y ballader et de vous y installer, je préviendrais les gens de maison. Ils vous serviront si vous en avez besoin. Mes appartements personel ne font par ailleurs par exception.
Je me tournais vers elle, prenant appui sur le bord du plan de travail. Les bras croisés, je la regardais de pied en cape, la trouvant extremement attirante à la lumière et sans son lourd manteau.
Mon regard en disait d'ailleurs long.
- Pour cette nuit, vous dormirez non loin de moi.... Voulez vous partager mon lit ? Ce serait peut-être plus...Hm... Prudent ?
C'était grossier, n'est ce pas ? Pourtant, je pouvais aisément justifier mes dires. Restait à savoir comment la belle le prendrait, maintenant. Je jouais avec le feu, mais je ne le regrettais pas.
- Si vous avez des questions, n'hésitez pas. Quel que puisse être le sujet.
Lorsqu'Isei avait vanté la beauté du domaine alors que nous étions dans la voiture, je lui avais répond simplement par un petit merci. A vrai dire, j'étais un peu dans la lune, perdu dans mes pensées diverses. J'avais à présent le garde du corps que je considérais comme parfait. Il me fallait donc oeuvrer à l'accomplissement du reste, comme par exemple notre rencontre avec Yatsuki Rei. Sûrement Isei pourrait elle me dégoter quelques informations plus fiables que celles que je n'avais déjà. Je lui en parlerais dès demain. Pour l'heure, j'avais envie de me reposer et jouir de sa compagnie. Et peu importerait le sens du terme.
J'avais un petit creux aprés notre passe d'arme. Et aucune envie de dormir seul ce soir. Oh, je pouvais faire appel à l'une de mes esclaves, mais je me devais d'avouer que ce concept était un peu déroutant pour moi. Le terme était peut-être trop cru, tout simplement. Et puis je voulais en savoir plus de mion employée si taciturne. Je n'avais pas l'impression qu'elle soit une habituée du contact humain autre que celui que son métier lui avait jusque là et je voulais comprendre pourquoi. Trop curieux ? Possible. Mais qu'importait ? Je respectais Isei et si elle me faisait sentir d'éventuelles réticences, je cesserais toute enquête.
A vrai dire, l'idée de coucher avec elle me titillait, mais je restais persuadé qu'elle refuserait jusqu'a de simples avance.
Hmmpf.... Que voulez vous ! On ne peut tout contrôler. Et d'un sens, cela n'était absolument pas pour me déplaire.
Finalement, nous avions pénétrer dans la cuisine. Grande sans tomber dans l'excès, elle était de style américain. Une table au beau milieu, alors que les fourneaux étaient face à l'entrée, derrière la table.
- Mettez vous à l'aise, Isei. Je vais mettre le couvert pour deux. J'espère que vous aimez le canard !
Et tandis qu'elle obéissait à ma demande, je farfouillais dans les divers placards pour mettre la table. Comme à son habitude, Seiji avait fait en sorte que tout soit rangé avec ordre et soin, ce qui facilitait la tâche de Soren, qui ne connaissait pas forcément tout de cette immense maison.
Une fois la table mise, j'allumais le feu pour y faire chauffer un peu d'huile d'olive. Ce faisant, je sortais un peu de laitue que je placais dans un saladier pour l'assaisonner tranquillement. Une fois l'huile à température, j'allais chercher un peu de gésiers frais pour les faire revenir à feu doux. Et tandis que je m'investissais dans mon oeuvre culinaire, je parlais à Isei.
- Dites moi, Isei... Vous avez un petit ami, un employé de maison, quelque chose ? Si oui, il -où elle- pourra loger ici même avec vous.
Je fis sauter les gésiers en ajoutant un peu de sel et de poivre avant d'enchainer, tandis que le met crépitait doucement dans la poêle.
- Oh, j'y pense ! Ce domaine vous est ouvert dans son entier. Libre à vous de vous y ballader et de vous y installer, je préviendrais les gens de maison. Ils vous serviront si vous en avez besoin. Mes appartements personel ne font par ailleurs par exception.
Je me tournais vers elle, prenant appui sur le bord du plan de travail. Les bras croisés, je la regardais de pied en cape, la trouvant extremement attirante à la lumière et sans son lourd manteau.
Mon regard en disait d'ailleurs long.
- Pour cette nuit, vous dormirez non loin de moi.... Voulez vous partager mon lit ? Ce serait peut-être plus...Hm... Prudent ?
C'était grossier, n'est ce pas ? Pourtant, je pouvais aisément justifier mes dires. Restait à savoir comment la belle le prendrait, maintenant. Je jouais avec le feu, mais je ne le regrettais pas.
- Si vous avez des questions, n'hésitez pas. Quel que puisse être le sujet.
Invité
Invité
*La cuisine était la plus petite des pièces qu'elle vit pour l'instant. Mais malgré cela ça restait grand, avec tout le confort que l'on pouvait trouver dans une cuisine équiper... Isei se souvient de sa cuisine, tout simple, petite car elle fait partie intégrante du salon. C'était la première fois qu'on l'invitait d'ailleurs à manger un morceau d'une manière aussi conviviale. Étrangement, elle avait du mal à l'imaginer préparer quoique ce soit. Pourquoi? Peut être à cause de son charisme "princier".
Ce ce fut tout l'inverse, il prépara même la table. La jeune femme le regarde faire, comme si elle était invité... c'était un peu le cas non? Elle le fixe, cherchant ce qu'il fallait à droite, puis à gauche mais de manière précise, traduisant une certaine organisation du lieux., contrairement à Isei qui rangeait la ou elle pouvait, mais plus par souci de place que par réelle flemme.*
*Il proposa alors de cuisiner du canard. Isei était une Ourse et il y avait peu de chose qu'elle n'aimait pas. Cela dis.. elle avait un gros défaut mais ça.. Soren le verra plus tard peut être.. cet "appétit d' Ours" qu'elle avait. Pendant qu'il finissait de préparer la table et les ustensile dont-il aura besoin, Isei s'installa à la table sans dire un mot. Son regard couru un bref instant dans la toute la pièce bien rangée , propre et clinquante. elle se dit qu'elle avait de la chance d'être ici.
Puis, pour ne pas qu'un silence s'installer, Soren fit un peu de conversation débutant avec une étrange question. La jeune femme répondit avec un ton très plat.*
J'ai un serviteur. Mais je pense qu'il est très satisfait de sa condition...
*Et puis si jamais Soren ne la gardait pas ou si son employeur avait besoin d'un endroit sur, Isei devait garder son appartement et le faire entretenir. Elle savait que Danael le ferait très bien. Elle ne s'étend pas plus dans ses propos, cela voulait dire qu'il n'y avait personne d'autre à son domicile, et peut être pas de petit ami.
L'odeur de la viande qui cuit fit fermer les yeux à la jeune femme qui respira un bref instant le parfum avant de les rouvris. Décidément on allait de surprise en surprise... Intelligent, séduisant,combatif et..cuisinier? Manquait plus qu'il sache bricoler et c'était l'homme idéal.... L'homme idéal? Mais à quoi pensait-elle? Elle ronchonna contre elle même, qu'elle idées vraiment...
Soren lui expliqua par la suite que ce domaine lui était ouvert, tout comme ses appartements privé. Et heureusement car elle ne pourrais pas bine faire sont travail si elle ne pouvait pas aller ou bon lui semble, surtout dans les espace privé. Elle hocha la tête pour montrer qu'elle avait bine comprit en posant celle-ci sur sa main droite, le bras accoudé à la table. *
*Quand Soren lui demanda de dormir non loin de lui, tout allait bien. Elle acquiesça même. Mais... Quand il proposa sa couche, Isei leva un sourcil avec de la surprise dans son regard. Son argument tombais sous le sens mais.. Non ce n'était pas professionnel ce genre de méthode, et puis..et puis.. Elle n'avait jamais partagé sa couche avec qui que ce soit.*
Je.. Veillerais sur votre sommeil. Je n'ai pas besoin de dormir avec vous, ni de dormir plus de 5h.
*Dit-elle pour essayer de le dérouter dans son idée. Mais avait-elle réussie?
Lui poser des questions? Hmm pourquoi pas, elle se mit à réfléchir et demanda des choses qui semblait un peu étrange:*
Vous dormez avec des esclaves?
*Question qui visait surtout à savoir si elle devait parfois regarder les débat sexuel de son employé car elle le protégeait non loin.. Ca lui était arrivé très souvent et ca la..gênait. Mais si il répondait positivement qu'importe, elle ne fait que son travail.*
Avez-vous des choses à me proscrire? Des choses à ne pas faire ou a ne pas utiliser.
Puis elle termina sur:
Avez-vous déjà eu des menaces directe ou indirecte de la part de personnes voyant dans votre ambition un potentiel danger pour eux..?
*Une question plus professionnel pour lui rappeler à lui comme à elle même, ce pourquoi elle le protégeait.*
Ce ce fut tout l'inverse, il prépara même la table. La jeune femme le regarde faire, comme si elle était invité... c'était un peu le cas non? Elle le fixe, cherchant ce qu'il fallait à droite, puis à gauche mais de manière précise, traduisant une certaine organisation du lieux., contrairement à Isei qui rangeait la ou elle pouvait, mais plus par souci de place que par réelle flemme.*
*Il proposa alors de cuisiner du canard. Isei était une Ourse et il y avait peu de chose qu'elle n'aimait pas. Cela dis.. elle avait un gros défaut mais ça.. Soren le verra plus tard peut être.. cet "appétit d' Ours" qu'elle avait. Pendant qu'il finissait de préparer la table et les ustensile dont-il aura besoin, Isei s'installa à la table sans dire un mot. Son regard couru un bref instant dans la toute la pièce bien rangée , propre et clinquante. elle se dit qu'elle avait de la chance d'être ici.
Puis, pour ne pas qu'un silence s'installer, Soren fit un peu de conversation débutant avec une étrange question. La jeune femme répondit avec un ton très plat.*
J'ai un serviteur. Mais je pense qu'il est très satisfait de sa condition...
*Et puis si jamais Soren ne la gardait pas ou si son employeur avait besoin d'un endroit sur, Isei devait garder son appartement et le faire entretenir. Elle savait que Danael le ferait très bien. Elle ne s'étend pas plus dans ses propos, cela voulait dire qu'il n'y avait personne d'autre à son domicile, et peut être pas de petit ami.
L'odeur de la viande qui cuit fit fermer les yeux à la jeune femme qui respira un bref instant le parfum avant de les rouvris. Décidément on allait de surprise en surprise... Intelligent, séduisant,combatif et..cuisinier? Manquait plus qu'il sache bricoler et c'était l'homme idéal.... L'homme idéal? Mais à quoi pensait-elle? Elle ronchonna contre elle même, qu'elle idées vraiment...
Soren lui expliqua par la suite que ce domaine lui était ouvert, tout comme ses appartements privé. Et heureusement car elle ne pourrais pas bine faire sont travail si elle ne pouvait pas aller ou bon lui semble, surtout dans les espace privé. Elle hocha la tête pour montrer qu'elle avait bine comprit en posant celle-ci sur sa main droite, le bras accoudé à la table. *
*Quand Soren lui demanda de dormir non loin de lui, tout allait bien. Elle acquiesça même. Mais... Quand il proposa sa couche, Isei leva un sourcil avec de la surprise dans son regard. Son argument tombais sous le sens mais.. Non ce n'était pas professionnel ce genre de méthode, et puis..et puis.. Elle n'avait jamais partagé sa couche avec qui que ce soit.*
Je.. Veillerais sur votre sommeil. Je n'ai pas besoin de dormir avec vous, ni de dormir plus de 5h.
*Dit-elle pour essayer de le dérouter dans son idée. Mais avait-elle réussie?
Lui poser des questions? Hmm pourquoi pas, elle se mit à réfléchir et demanda des choses qui semblait un peu étrange:*
Vous dormez avec des esclaves?
*Question qui visait surtout à savoir si elle devait parfois regarder les débat sexuel de son employé car elle le protégeait non loin.. Ca lui était arrivé très souvent et ca la..gênait. Mais si il répondait positivement qu'importe, elle ne fait que son travail.*
Avez-vous des choses à me proscrire? Des choses à ne pas faire ou a ne pas utiliser.
Puis elle termina sur:
Avez-vous déjà eu des menaces directe ou indirecte de la part de personnes voyant dans votre ambition un potentiel danger pour eux..?
*Une question plus professionnel pour lui rappeler à lui comme à elle même, ce pourquoi elle le protégeait.*
Invité
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Derrière moi, les gésiers crépitaient doucement dans le léger filet d'huile d'olive. Un petit son fort sympathique, qui dégageait un fumet des plus envoûtants. J'étais affamé aprés cette soirée riches en émotions et en dépense physique et cette petite odeur qui embaumait l'air avec délice était promesse d'un regal, croyez le bien !
Vous savez, j'étais un grand amateur de cuisine en général. Quoi qu'on en dise, la nourriture est la meilleure des maîtresse. Quand on sait y mettre correctement la main, elle nous offre des plaisirs à partir de parfois rien. Et d'aprés moi, valait mieux un bon repas préparé avec soins plutôt qu'un coup tiré à la va-vite, si vous me pardonnez l'expression.
Entendant donc la matière grasse crépiter, je me mis doucement au reste de l'ouvrage en me détournant d'Iseï, envers laquelle je m'excusais. Et tandis que je remuais les gésiers et que j'atteignais une planche à découper, un éminceur et quelques magrets de canard que je découpais finiment tranche aprés tranche, j'accordais à ma garde du corps une oreille attentive.
Elle me confirma avoir un esclave, qu'elle considéra comme étant satisfait de sa condition. Lui accordant un regard par dessus mon épaule, je lui répondis du tac-au-tac.
- Je ne crois pas que qui ce soit se satisfasse d'une condition si basse. Enfin.... Si vous le désirez, sachez qu'il est libre de venir vivre içi. Chose que j'encouragerais plus vivement encore si votre esclave est humain.
Je constatais son hochement de tête quant à mes paroles concernant son libre accès à l'ensemble du Castel. Je ne doutais pas qu'elle juge ceci indispensable et j'avais décidé de lui accorder suffisamment de confiance pour qu'elle puisse jouir de mes appartements personel à sa convenance, chose dont mes esclaves les plus proches ne pouvaient se vanter.
Mon couteau de cuisine tranchait parfaitement les chairs du canard et rapidement j'eu le compte nécéssaire. Une fois les magrets mit de côtés dans une assiette placée au frigo, je lavais la planche à découper pour pouvoir y couper quelques pomme de terre douces en petits dés que j'allais faire revenir avec les gésiers. Je baissais le feu sous ceux-çi, en répondant volontairement aux questions d'Iseï sur mon couchage.
Amusé par ce que je pourrais faire d'elle en quelques mots bien choisis, je décidais donc d'éluder l'air de rien, pour me concentrer sur ses autres demandes.
On sentait bien le professionalisme de la belle ourse à travers ses questions. Ce qui me fit partiellement retrouver mon air sérieux. J'aimais qu'on me pose les bonnes questions au bon moment, chose qui semblait être la spécialité de Kuma. J'avais comme l'impression que notre relation serait placée sous la franchise pleine et totale. Soit, j'aimais cet esprit et je comptais bien l'entrenir.
Coupant toujours mes patates, je lui répondis en la regardant par à-coup pour éviter de me blesser sous la lame aiguisée qui fendait le féculent avec aisance.
- Des choses à vous proscrire ? Certes oui, vous posez une question fort judicieuse. Je vous interdis formellement de porter la main sur un seul des esclaves de ce domaine, qu'elle qu'en soit la raison. Je suis içi seul maître et seul mon jugement importe. Bien évidemment, si vous rencontrez des soucis, n'hésitez pas à venir me trouver. De plus, je ne cautionne pas l'obeissance trop aveugle. N'étant pas mon esclave, je vous donne le droit de contester un de mes choix si vous le considérez comme stupide. Qui sait si cette franchise ne nous sauvera pas un jour la vie ? Ah, oui... Si vous avez besoin de temps libre où de repos, demandez le moi. Je ne suis pas un tortionnaire et je sais pertimment que tout le monde à besoin d'intimité. Et puis je saurais me défendre seul quelques jours durant.
A cette dernière remarque de ma part, j'accordais un regard malicieux à ma belle Ourse. Aprés tout, elle avait constaté de visu mes talents guerriers, non ? Même si j'avais la trés nette impression qu'elle ne me dirait jamais ouvertement si sa vie personelle nécéssitait un peu de temps libre. Je gageais de savoir le voir et de lui offrir de moi-même. A sa question sur d'éventuelles menaces, il ne me fût pas difficile de répondre.
Tout en mêlant dés de pomme de terre et gésiers dans la poêle, je répondis.
- Des menaces ? Non. Pas encore, du moins. Mais je avoue être resté encore dans l'ombre, ce qui explique peut-être cela. J'ai commencé à placer mes premiers pions, et je pense que les foudres des Kakons seront les premières qui chercheront à me frapper. Oh, j'y pense ! Nous rencontrerons une certaine Yatsuki Rei d'içi à quelques jours. Faites une recherche approfondies sur elle, je vous prie. Les informations que j'ai ne sont ni plus ni moins que les bruits courant le long des rues, et on ne livre pas une guerre à l'aide de rumeurs. Mettez moi en main les cartes qui me seront utiles. Disons dans trois jours. De plus, il serait bon de trouver quelqu'un à infiltrer chez les Kakons. Je n'aime pas qu'on me devance, alors faisons en sorte de prendre les rênes. Libre à vous d'user des moyens et des fonds nécéssaires.
Des pions, hein ? Pour transposer tout cela à la hauteur d'un jeu d'échec, j'aurais considéré Isei comme la reine. Mobile et puissante, rempart du Roi... J'allais pouvoir voir si mon envie de l'engager était justifiée. Si elle était aussi performante et sûre que je le soupsconnais, ses capacités seraient un atout de taille dans mon camp. Isei...
Tiens, en parlant de capacités... Il était temps que je titille un peu la sublime hybride. Croyait elle s'être tirée des questions génantes ? Alors que j'avais fini de remuer le contenu de ma poêle, je posais sur elle un regard perçant et pétillant de malice. Et sûrement un peu d'envie, aussi.
- Et pour en revenir à mes nuits, sachez que vous n'aurez aucunement à être jalouse. Je dors seul et je ne vous imposerais pas mes ébats, si ébats il devait y avoir. Et puis de toutes façons, une de mes esclaves pourrait vouloir me tuer durant l'acte, alors que la place à mes côtés était laissée libre par ma protectrice trop détachée....
Un sourire plein et franc, alors que je réprimais un éclat de rire pour continuer d'un ton léger.
- ...Il serait fâcheux que j'agonise parce que vous avez refusé mon invitation à partager mes draps, non ?
Je persistais et signais sur le ton de l'humour, oui. En avait elle ?
Vous savez, j'étais un grand amateur de cuisine en général. Quoi qu'on en dise, la nourriture est la meilleure des maîtresse. Quand on sait y mettre correctement la main, elle nous offre des plaisirs à partir de parfois rien. Et d'aprés moi, valait mieux un bon repas préparé avec soins plutôt qu'un coup tiré à la va-vite, si vous me pardonnez l'expression.
Entendant donc la matière grasse crépiter, je me mis doucement au reste de l'ouvrage en me détournant d'Iseï, envers laquelle je m'excusais. Et tandis que je remuais les gésiers et que j'atteignais une planche à découper, un éminceur et quelques magrets de canard que je découpais finiment tranche aprés tranche, j'accordais à ma garde du corps une oreille attentive.
Elle me confirma avoir un esclave, qu'elle considéra comme étant satisfait de sa condition. Lui accordant un regard par dessus mon épaule, je lui répondis du tac-au-tac.
- Je ne crois pas que qui ce soit se satisfasse d'une condition si basse. Enfin.... Si vous le désirez, sachez qu'il est libre de venir vivre içi. Chose que j'encouragerais plus vivement encore si votre esclave est humain.
Je constatais son hochement de tête quant à mes paroles concernant son libre accès à l'ensemble du Castel. Je ne doutais pas qu'elle juge ceci indispensable et j'avais décidé de lui accorder suffisamment de confiance pour qu'elle puisse jouir de mes appartements personel à sa convenance, chose dont mes esclaves les plus proches ne pouvaient se vanter.
Mon couteau de cuisine tranchait parfaitement les chairs du canard et rapidement j'eu le compte nécéssaire. Une fois les magrets mit de côtés dans une assiette placée au frigo, je lavais la planche à découper pour pouvoir y couper quelques pomme de terre douces en petits dés que j'allais faire revenir avec les gésiers. Je baissais le feu sous ceux-çi, en répondant volontairement aux questions d'Iseï sur mon couchage.
Amusé par ce que je pourrais faire d'elle en quelques mots bien choisis, je décidais donc d'éluder l'air de rien, pour me concentrer sur ses autres demandes.
On sentait bien le professionalisme de la belle ourse à travers ses questions. Ce qui me fit partiellement retrouver mon air sérieux. J'aimais qu'on me pose les bonnes questions au bon moment, chose qui semblait être la spécialité de Kuma. J'avais comme l'impression que notre relation serait placée sous la franchise pleine et totale. Soit, j'aimais cet esprit et je comptais bien l'entrenir.
Coupant toujours mes patates, je lui répondis en la regardant par à-coup pour éviter de me blesser sous la lame aiguisée qui fendait le féculent avec aisance.
- Des choses à vous proscrire ? Certes oui, vous posez une question fort judicieuse. Je vous interdis formellement de porter la main sur un seul des esclaves de ce domaine, qu'elle qu'en soit la raison. Je suis içi seul maître et seul mon jugement importe. Bien évidemment, si vous rencontrez des soucis, n'hésitez pas à venir me trouver. De plus, je ne cautionne pas l'obeissance trop aveugle. N'étant pas mon esclave, je vous donne le droit de contester un de mes choix si vous le considérez comme stupide. Qui sait si cette franchise ne nous sauvera pas un jour la vie ? Ah, oui... Si vous avez besoin de temps libre où de repos, demandez le moi. Je ne suis pas un tortionnaire et je sais pertimment que tout le monde à besoin d'intimité. Et puis je saurais me défendre seul quelques jours durant.
A cette dernière remarque de ma part, j'accordais un regard malicieux à ma belle Ourse. Aprés tout, elle avait constaté de visu mes talents guerriers, non ? Même si j'avais la trés nette impression qu'elle ne me dirait jamais ouvertement si sa vie personelle nécéssitait un peu de temps libre. Je gageais de savoir le voir et de lui offrir de moi-même. A sa question sur d'éventuelles menaces, il ne me fût pas difficile de répondre.
Tout en mêlant dés de pomme de terre et gésiers dans la poêle, je répondis.
- Des menaces ? Non. Pas encore, du moins. Mais je avoue être resté encore dans l'ombre, ce qui explique peut-être cela. J'ai commencé à placer mes premiers pions, et je pense que les foudres des Kakons seront les premières qui chercheront à me frapper. Oh, j'y pense ! Nous rencontrerons une certaine Yatsuki Rei d'içi à quelques jours. Faites une recherche approfondies sur elle, je vous prie. Les informations que j'ai ne sont ni plus ni moins que les bruits courant le long des rues, et on ne livre pas une guerre à l'aide de rumeurs. Mettez moi en main les cartes qui me seront utiles. Disons dans trois jours. De plus, il serait bon de trouver quelqu'un à infiltrer chez les Kakons. Je n'aime pas qu'on me devance, alors faisons en sorte de prendre les rênes. Libre à vous d'user des moyens et des fonds nécéssaires.
Des pions, hein ? Pour transposer tout cela à la hauteur d'un jeu d'échec, j'aurais considéré Isei comme la reine. Mobile et puissante, rempart du Roi... J'allais pouvoir voir si mon envie de l'engager était justifiée. Si elle était aussi performante et sûre que je le soupsconnais, ses capacités seraient un atout de taille dans mon camp. Isei...
Tiens, en parlant de capacités... Il était temps que je titille un peu la sublime hybride. Croyait elle s'être tirée des questions génantes ? Alors que j'avais fini de remuer le contenu de ma poêle, je posais sur elle un regard perçant et pétillant de malice. Et sûrement un peu d'envie, aussi.
- Et pour en revenir à mes nuits, sachez que vous n'aurez aucunement à être jalouse. Je dors seul et je ne vous imposerais pas mes ébats, si ébats il devait y avoir. Et puis de toutes façons, une de mes esclaves pourrait vouloir me tuer durant l'acte, alors que la place à mes côtés était laissée libre par ma protectrice trop détachée....
Un sourire plein et franc, alors que je réprimais un éclat de rire pour continuer d'un ton léger.
- ...Il serait fâcheux que j'agonise parce que vous avez refusé mon invitation à partager mes draps, non ?
Je persistais et signais sur le ton de l'humour, oui. En avait elle ?
Invité
Invité
*Isei le regarde cuisiner avec un regard qui semblait dénué de vie tant il était froid. Mais ce n'était pas une marque de dégoût non, elle était comme ça, semblant dure, lisse et froide. Soren fit une réflexion sur son esclave, sur ce qu'elle en vait dit. Elle aprtagait son idée la dessus mais la jeune femme avait dit cela pour une raison bien précise et n'avait pas envie de s'étendre sur le sujet. Toutefois elle devait lui répondre car il se demandait surement si il était humain, cet esclave.*
Il est libre... Il a juste beosin de mon nom pour faire ce qu'il veux... Et c'est un Ainoko. J'ai besoin de lui à mon domicile...
*Pourquoi donc? Elle ne le dira pas. Isei était propriétaire de son apaprtement, elle ne voulait pas le vendre, et le garder pour des raisons de sécurité. Mais si il désirait en savoir plus elle lui répondra honnetement.
Isie nota que son employeur était très doué pour la cuisine, un véritable chef qui suivait une recette. Elle ne pouvait pas en dire autant, se nourrissant de plats instantané, surtout de Ramens, la base de son alimentation. Pourtant la jeune femme avait un gros faible pour les viandes cuisiné. Mais elle n'avait jamais apprit et n'était peut être pas assez curieuse pour s'y mettre... ou plus plausible: personne ne lui à donné envie de s'y interesser.
La suite des réponses aux questions de l'Ourse arrivèrent enfin. Isei écoute et ne semble pas rochigner une seconde, répondant ou affirmant petit à petit.*
Je ne toucherais jamais à vos esclaves, ni à personne d'autre.. c'est vous que je protège, donc vous seul que je toucherais...
*Elle voulait dire "normalement" mais avait peur que cela soit mal interprété. Pour ce qui est du repos.. Isei haussa les épaules comme si elle n'était pas interessée.*
Un garde du corps ne prend pas de jour de congé. Ou bien ce son les mêmes que son employeur au même endroit... Le seul moment où je me séparerais de vous ce sera sous votre ordre. Uniquement.
*Voilà une détermination et un profesionnalisme solide. Il fallait avoir une certaine motivation pour refuser des jours de repos. Mais elle était ainsi. Se reposer? Pourquoi faire? Et puis si un accident intervenait durant cette période elle s'en voudra à vie. On à beau savoir se battre.. perosnne n'est plus malin qu'une balle ou un poison.
Soren poursuivit. Les Kakons.. Isei le pensait aussi, c'était pas le genre de famille à laisser un humain monter les échellons avec des idéaux opposées aux leurs.*
Je ne suis pas espionne, ni spécialisée dans l'information.. Mais je saurais faire en sorte que vous ayez ce que vous demandez Monsieur Soren.
*Isei était garde du corps mais si besoin, elle pouvait se montrer très polyvalente. Le jeune homme eu un sourire étrange, come si il préparait quelque chose... En efet, il revient sur un sujet "sensible" pour Isei. On aurait dit qu'il voulait la convaincre de dormir dans ses draps. La jeune Ourse se sentit... prise au dépourvue par ce changement de sujet où elle n'était pas à l'aise.*
Je... J'ai l'habitude de regarder...
*Oh oui et elle s'en vouvient de ça... Notament ses employeurs ayant énorément d'esclaves, savoir qu'on les regardaientt les excitaient encore plus... Isei chasse ce mauvais souvenir comme à l'habitude de faire.*
L'habitude de surveiller la nuit... mais pas comme vous l'enttendez.
*Dit-elle pour éviter que Soren s'imagine des choses perverses. Mais il avait des arguments qui tenaient la route, de plus c'était lui le patron.. Elle ne savait pas quoi dire ni quoi faire. Accepter? Refuser? On sentait une certaine gêne chez elle quand on abordait ce type de sujet.*
Vos...vos arguments se tiennent Monsieur. Et puis si c'est votre désir...
*Elle semblait résigner, comme si elle savait qu'elle ne pouvait lutter contre de tel argument qui touchaient directement sa fonction. Il avait raison. Mais étant naive, elle ignorait qu'on pouvait profiter de al situation en tant qu'homme*
Je n'ai juste pa l'habitude de partager am couche avec qui que ce soit.
Il est libre... Il a juste beosin de mon nom pour faire ce qu'il veux... Et c'est un Ainoko. J'ai besoin de lui à mon domicile...
*Pourquoi donc? Elle ne le dira pas. Isei était propriétaire de son apaprtement, elle ne voulait pas le vendre, et le garder pour des raisons de sécurité. Mais si il désirait en savoir plus elle lui répondra honnetement.
Isie nota que son employeur était très doué pour la cuisine, un véritable chef qui suivait une recette. Elle ne pouvait pas en dire autant, se nourrissant de plats instantané, surtout de Ramens, la base de son alimentation. Pourtant la jeune femme avait un gros faible pour les viandes cuisiné. Mais elle n'avait jamais apprit et n'était peut être pas assez curieuse pour s'y mettre... ou plus plausible: personne ne lui à donné envie de s'y interesser.
La suite des réponses aux questions de l'Ourse arrivèrent enfin. Isei écoute et ne semble pas rochigner une seconde, répondant ou affirmant petit à petit.*
Je ne toucherais jamais à vos esclaves, ni à personne d'autre.. c'est vous que je protège, donc vous seul que je toucherais...
*Elle voulait dire "normalement" mais avait peur que cela soit mal interprété. Pour ce qui est du repos.. Isei haussa les épaules comme si elle n'était pas interessée.*
Un garde du corps ne prend pas de jour de congé. Ou bien ce son les mêmes que son employeur au même endroit... Le seul moment où je me séparerais de vous ce sera sous votre ordre. Uniquement.
*Voilà une détermination et un profesionnalisme solide. Il fallait avoir une certaine motivation pour refuser des jours de repos. Mais elle était ainsi. Se reposer? Pourquoi faire? Et puis si un accident intervenait durant cette période elle s'en voudra à vie. On à beau savoir se battre.. perosnne n'est plus malin qu'une balle ou un poison.
Soren poursuivit. Les Kakons.. Isei le pensait aussi, c'était pas le genre de famille à laisser un humain monter les échellons avec des idéaux opposées aux leurs.*
Je ne suis pas espionne, ni spécialisée dans l'information.. Mais je saurais faire en sorte que vous ayez ce que vous demandez Monsieur Soren.
*Isei était garde du corps mais si besoin, elle pouvait se montrer très polyvalente. Le jeune homme eu un sourire étrange, come si il préparait quelque chose... En efet, il revient sur un sujet "sensible" pour Isei. On aurait dit qu'il voulait la convaincre de dormir dans ses draps. La jeune Ourse se sentit... prise au dépourvue par ce changement de sujet où elle n'était pas à l'aise.*
Je... J'ai l'habitude de regarder...
*Oh oui et elle s'en vouvient de ça... Notament ses employeurs ayant énorément d'esclaves, savoir qu'on les regardaientt les excitaient encore plus... Isei chasse ce mauvais souvenir comme à l'habitude de faire.*
L'habitude de surveiller la nuit... mais pas comme vous l'enttendez.
*Dit-elle pour éviter que Soren s'imagine des choses perverses. Mais il avait des arguments qui tenaient la route, de plus c'était lui le patron.. Elle ne savait pas quoi dire ni quoi faire. Accepter? Refuser? On sentait une certaine gêne chez elle quand on abordait ce type de sujet.*
Vos...vos arguments se tiennent Monsieur. Et puis si c'est votre désir...
*Elle semblait résigner, comme si elle savait qu'elle ne pouvait lutter contre de tel argument qui touchaient directement sa fonction. Il avait raison. Mais étant naive, elle ignorait qu'on pouvait profiter de al situation en tant qu'homme*
Je n'ai juste pa l'habitude de partager am couche avec qui que ce soit.
Invité
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Dans la poêle, tout allait bien. La cuisson était parfaite, que ce soit celle des gésiers à l'odeur envoûtante où les pommes de terre à présent dorées et croustillantes. Délaissant quelque peu Iseï, je me retournais vers les fourneaux. Otant les aliments de la poêle, je versais le tout dans la salde déjà assaisonnée. Quelques coups de cuillière pour mélanger le tout et ma salade de gésiers était enfin prête. Plus qu'a prendre les magrets au frais pour les mettre sur talbe et le repas était enfin servi. C'était heureux, l'odeur de ma propre cuisine avait réveillé ma propre faim. Ah, il manquait quelque chose.
J'allais ouvrir une nouvelle fois le frigidaire pour aller chercher une bouteille de vin blanc légèrement rafraîchi. Un Sauterne quatre-vingt dix que je débouchais aprés avoir amené le saladier devant Isei.
- Servez vous, je vous en prie. Je vais vous servir un petit Sauterne dont vous me direz des nouvelles !
Dans un "plop" sonore, j'ouvrais la bouteille. Une petite rasade à ma protectrice puis à moi-même, avant que je ne m'assoies enfin, faisant face à la belle. Mes yeux la dévisagèrent, découvrant son regard froid et tranchant. Je n'arrivais pas à la cerner, enfin de compte. Se donnait elle un masque de circonstance, où se fichait elle de la situation trop classique pour elle ? Hmm... Peut-être m'étais-je trop emporté envers elle, voyant quelques ouvertures ? Je commençais à le penser, et cela commençait à m'ennuyer. Il n'avait pas été trés avisé de jetter mon dévolu sur elle alors qu'elle ne me regardais d'un oeil purement professionel. Les hormones devraient parfois veiller à ne pas trop parler. Mais c'était tout moi, cela. J'aimais les femmes et je devais avouer qu'Iseï me plaisait tant physiquement que moralement.
- Arrêtez moi si je me trompe, mais vous ne souhaitez pas vous séparer de votre appartement, n'est ce pas ? Ne vous en faites pas, je ne vous en demanderais pas tant. D'ailleurs, si vous avez besoin d'en changer, dites le moi.... Quant à votre esclave, il est à sa place içi auprés de vous. Je vous laisse seule juge de tout cela, je ne vous imposerais rien.
Je le pensais. Pourquoi tout prendre à Kuma sous prétexte qu'elle était mon employée ? Elle avait une vie en dehors de ma protection, me si elle semblait prête à me sacrifier bien des choses. Cet état de fait m'était déplaisant par ailleurs. Nous allions vivre ensemble, mais pas en tant que couple.
Pourquoi en venais-je à me dire que c'était... Dommage ?
Je secouais doucement ma tête, comme pour chasser cette pensée. Doucement, je commençais à manger, entrainant du regard Iseï à m'imiter.
- Vous me toucherez, uniquement moi ? Ma foi, l'idée est fort plaisante.... Je suis ravi de vous l'avoir entendu dire. J'ai hâte de voir ça...
Je lancais un regard follement amusé à ma compagne de tablée. Je n'avais pas pûs m'en empêcher, c'était bien trop tentant ! Ceci dit, j'enchaînais sur autre chose assez rapidement, pour ne pas trop pencher dans un registre grivois qui finirait sûrement par lui déplaire.
Je me servais en magret en continuant.
- Plus sérieusement, j'entends à ce que vous vous reposiez. C'est un ordre, si c'est la seule chose qui puisse vous décider. Mais nous en reparlerons plus tard, il est vrai que notre programme des prochaines semaines est chargé et je vais avoir besoin de toute votre présence.
Mon ton de voix montrait bien que j'étais sérieux et que mes derniers mots n'étaient pas des sous-entendus quelconque, mais bel et bien les termes exacts. Mes prochains rendez-vous promettaient d'être un peu plus dangereux que celui que j'avais eu avec Ankoku Suzu. Sans compter les Kakon, qui risquaient de ne pas apprécier que je veuille m'associer avec Yatsuki Rei. Bref, les talents d'Isei serait vite mis à contribution.
D'ailleurs, je compris à ses paroles que je mélangeais un peu tout. Je pensais qu'elle avait des connexions dans certains milieux, ce qui avait motivé ma demande quant aux informations et services demandés. Peut-être avais-je fais fausse route, mais elle semblait toutefois prête à obéir.
- Merci de vous impliquer autant. Demain, je vous fournirais liquide et carte de crédit, ainsi que véhicule et tout ce dont vous pourriez avoir besoin à mon service. N'hésitez pas à faire quelques demandes, je n'ai jamais eu de garde du corps et j'ignore tout simplement tout ce dont vous pourriez juger utilie.
Il ne fallait pas qu'elle hésite à demander. Aprés tout, cela faisait partie de son travail, non ? Et si je pouvais l'aider à assurer notre protection mutuelle, c'était vraiment le moins que je pouvais faire.
Tout en mangeant, je l'écoutais attentivement. Et voilà qu'elle revenait sur le sujet de nos nuits éventuelles, comme si elle avait le besoi impérieux de se justifier. J'arrivais vite à en conclure qu'elle n'était pas à l'aise dans les relations sociales, ma superbe gardienne. Tandis que je l'évoutais, je posais sur elle un regard calme et tranquille.
Hum.
Apparement, ses ex-employeurs aimaient abuser de la naîveté et du zèle d'Iseï lors de leurs propres ébats. Avaient ils cherché à lui faire comprendre qu'ils voulaient qu'elle prenne part ? Je n'en aurais absolument pas été étonné, même si je trouvais la façon de faire tout bonnement odieuse. Il me fallait rectifier ces abus d'autorité, qui n'étaient somme toute pas mon style. Certes, je n'aurais absolument pas refusé de coucher avec elle (l'envie me tenaillait par ailleurs toujours) mais je ne l'y forcerais pas et ce d'aucune façon. Si elle avait été mon esclave, ma réaction aurait elle été différente ?
- "Habituée à regarder", c'est cela ? Soyez tranquille, je ne vous imposerais pas cela. Si vous deviez voir mes ébats, c'est parce qu'ils se dérouleraient avec vous, Isei. Pour le reste, je vous libérerais de mon service.
J'avais bien volontairement fait l'allusion à d'hypothétiques ébats entre nous. Arriverais-je à la titiller en tant soit peu, brisant la carapace de glace ? Le défi était lancé, du moins en mon for intérieur. Ma voix était restée tranquille, légèrement amusée.
Par contre, ce fût elle qui me surprit. Elle n'avait pas l'habitude de coucher avec qui que ce fût ? Donc, si je comprenais bien.... Iseï était..... Enfin... Immaculée ? Comment une femme pareille.... Comment était ce seulement possible ?
Je me râclais la gorge, tentant de reprendre la contenance qu'elle m'avait fait perdre, sûrement bien involontairement. Continuer sur une note sérieuse allait être difficile aprés cette révélation. Car la perspective de la mettre dans mon lit était encore plus prenante maintenant.
- Hm... Vous pourriez prendre cette douce habitude avec moi, je me ferais un plaisir de vous initier.
Je dois avouer que pour le coup, cela m'avait parfaitement échappé, même si c'était sorti de façon naturelle. Et la phrase était pétrie autant de bonnes intentions que de sous-entendus. Décidément, la finesse tendait à me faire défaut, ce soir. J'avalais une gorgée de vin avant d'enchainer. Vite, me reprendre.
- Je suppose que c'est à vous de juger. Ecoutez, voilà ce que je vous propose : Soit je vous fais installer une couche dans ma chambre, soit vous partagez mon lit. A vous de voir, je ne vous blâmerais aucunement selon votre décision. Même si vous veniez à désierer une chambre à part.
J'allais ouvrir une nouvelle fois le frigidaire pour aller chercher une bouteille de vin blanc légèrement rafraîchi. Un Sauterne quatre-vingt dix que je débouchais aprés avoir amené le saladier devant Isei.
- Servez vous, je vous en prie. Je vais vous servir un petit Sauterne dont vous me direz des nouvelles !
Dans un "plop" sonore, j'ouvrais la bouteille. Une petite rasade à ma protectrice puis à moi-même, avant que je ne m'assoies enfin, faisant face à la belle. Mes yeux la dévisagèrent, découvrant son regard froid et tranchant. Je n'arrivais pas à la cerner, enfin de compte. Se donnait elle un masque de circonstance, où se fichait elle de la situation trop classique pour elle ? Hmm... Peut-être m'étais-je trop emporté envers elle, voyant quelques ouvertures ? Je commençais à le penser, et cela commençait à m'ennuyer. Il n'avait pas été trés avisé de jetter mon dévolu sur elle alors qu'elle ne me regardais d'un oeil purement professionel. Les hormones devraient parfois veiller à ne pas trop parler. Mais c'était tout moi, cela. J'aimais les femmes et je devais avouer qu'Iseï me plaisait tant physiquement que moralement.
- Arrêtez moi si je me trompe, mais vous ne souhaitez pas vous séparer de votre appartement, n'est ce pas ? Ne vous en faites pas, je ne vous en demanderais pas tant. D'ailleurs, si vous avez besoin d'en changer, dites le moi.... Quant à votre esclave, il est à sa place içi auprés de vous. Je vous laisse seule juge de tout cela, je ne vous imposerais rien.
Je le pensais. Pourquoi tout prendre à Kuma sous prétexte qu'elle était mon employée ? Elle avait une vie en dehors de ma protection, me si elle semblait prête à me sacrifier bien des choses. Cet état de fait m'était déplaisant par ailleurs. Nous allions vivre ensemble, mais pas en tant que couple.
Pourquoi en venais-je à me dire que c'était... Dommage ?
Je secouais doucement ma tête, comme pour chasser cette pensée. Doucement, je commençais à manger, entrainant du regard Iseï à m'imiter.
- Vous me toucherez, uniquement moi ? Ma foi, l'idée est fort plaisante.... Je suis ravi de vous l'avoir entendu dire. J'ai hâte de voir ça...
Je lancais un regard follement amusé à ma compagne de tablée. Je n'avais pas pûs m'en empêcher, c'était bien trop tentant ! Ceci dit, j'enchaînais sur autre chose assez rapidement, pour ne pas trop pencher dans un registre grivois qui finirait sûrement par lui déplaire.
Je me servais en magret en continuant.
- Plus sérieusement, j'entends à ce que vous vous reposiez. C'est un ordre, si c'est la seule chose qui puisse vous décider. Mais nous en reparlerons plus tard, il est vrai que notre programme des prochaines semaines est chargé et je vais avoir besoin de toute votre présence.
Mon ton de voix montrait bien que j'étais sérieux et que mes derniers mots n'étaient pas des sous-entendus quelconque, mais bel et bien les termes exacts. Mes prochains rendez-vous promettaient d'être un peu plus dangereux que celui que j'avais eu avec Ankoku Suzu. Sans compter les Kakon, qui risquaient de ne pas apprécier que je veuille m'associer avec Yatsuki Rei. Bref, les talents d'Isei serait vite mis à contribution.
D'ailleurs, je compris à ses paroles que je mélangeais un peu tout. Je pensais qu'elle avait des connexions dans certains milieux, ce qui avait motivé ma demande quant aux informations et services demandés. Peut-être avais-je fais fausse route, mais elle semblait toutefois prête à obéir.
- Merci de vous impliquer autant. Demain, je vous fournirais liquide et carte de crédit, ainsi que véhicule et tout ce dont vous pourriez avoir besoin à mon service. N'hésitez pas à faire quelques demandes, je n'ai jamais eu de garde du corps et j'ignore tout simplement tout ce dont vous pourriez juger utilie.
Il ne fallait pas qu'elle hésite à demander. Aprés tout, cela faisait partie de son travail, non ? Et si je pouvais l'aider à assurer notre protection mutuelle, c'était vraiment le moins que je pouvais faire.
Tout en mangeant, je l'écoutais attentivement. Et voilà qu'elle revenait sur le sujet de nos nuits éventuelles, comme si elle avait le besoi impérieux de se justifier. J'arrivais vite à en conclure qu'elle n'était pas à l'aise dans les relations sociales, ma superbe gardienne. Tandis que je l'évoutais, je posais sur elle un regard calme et tranquille.
Hum.
Apparement, ses ex-employeurs aimaient abuser de la naîveté et du zèle d'Iseï lors de leurs propres ébats. Avaient ils cherché à lui faire comprendre qu'ils voulaient qu'elle prenne part ? Je n'en aurais absolument pas été étonné, même si je trouvais la façon de faire tout bonnement odieuse. Il me fallait rectifier ces abus d'autorité, qui n'étaient somme toute pas mon style. Certes, je n'aurais absolument pas refusé de coucher avec elle (l'envie me tenaillait par ailleurs toujours) mais je ne l'y forcerais pas et ce d'aucune façon. Si elle avait été mon esclave, ma réaction aurait elle été différente ?
- "Habituée à regarder", c'est cela ? Soyez tranquille, je ne vous imposerais pas cela. Si vous deviez voir mes ébats, c'est parce qu'ils se dérouleraient avec vous, Isei. Pour le reste, je vous libérerais de mon service.
J'avais bien volontairement fait l'allusion à d'hypothétiques ébats entre nous. Arriverais-je à la titiller en tant soit peu, brisant la carapace de glace ? Le défi était lancé, du moins en mon for intérieur. Ma voix était restée tranquille, légèrement amusée.
Par contre, ce fût elle qui me surprit. Elle n'avait pas l'habitude de coucher avec qui que ce fût ? Donc, si je comprenais bien.... Iseï était..... Enfin... Immaculée ? Comment une femme pareille.... Comment était ce seulement possible ?
Je me râclais la gorge, tentant de reprendre la contenance qu'elle m'avait fait perdre, sûrement bien involontairement. Continuer sur une note sérieuse allait être difficile aprés cette révélation. Car la perspective de la mettre dans mon lit était encore plus prenante maintenant.
- Hm... Vous pourriez prendre cette douce habitude avec moi, je me ferais un plaisir de vous initier.
Je dois avouer que pour le coup, cela m'avait parfaitement échappé, même si c'était sorti de façon naturelle. Et la phrase était pétrie autant de bonnes intentions que de sous-entendus. Décidément, la finesse tendait à me faire défaut, ce soir. J'avalais une gorgée de vin avant d'enchainer. Vite, me reprendre.
- Je suppose que c'est à vous de juger. Ecoutez, voilà ce que je vous propose : Soit je vous fais installer une couche dans ma chambre, soit vous partagez mon lit. A vous de voir, je ne vous blâmerais aucunement selon votre décision. Même si vous veniez à désierer une chambre à part.
Invité
Invité
(hj: j'ai eu des problèmes ave cle forum dsl dur etard ='( )
*L'odeur dans la cuisine éveillait l'appétit de Isei. La salade de gésier semblait parfaite et ne pas y goûter serait un véritable crime. Soren sortit en plus du frigo, un bouteille de vin blanc. La jeune femme leva un sourcil, pourquoi faisait-il tout ça? Par aimabilité? courtoisie? Pour fêter la signature de leur accord? Ah, qu'importe donc, ecla sentait terriblement bon et il ne fallait pas s'en privé.
Il l'invita à se servir. Elle ne dit rien et tendit ses mains vers les couverts du saladier. Prenant fermement celui de sa main droite et l'autre... comme si il s'agissait d'un objet fragile. C'était un pesctacle un peu étrange, entre fermeté et la peur d'être maladroite. Elle se servit en 3 fois, donnant l'impression d'avoir peur de plier le couvert dans sa main gauche. Soren pensait ne pas arriver à la cerner, et elle donc! Trop figée sur des stéréotype, la jeune femme ne savait pas vraiment quoi penser de cet home qui bon cuisinier, sérieux maus aussi..séducteur. La grande Ourse n'avait pas pour habitude de se faire courtiser ainsi même si c'était très léger.
Il reprit le sujet de l'esclave. *
Je verrais...
*Cela ne semblait pas être sa priorité. Tout du moins elle ne voulait pas y réfléchir maintenant, le saladier était bien plus interessant. Peut être proposera t-elle à Danael de venir ici mais dans ce cas... non elle devait garder son appartement, son père lui avait toujours dit d'avoir deux toits en cas de coup dur. Soren commence à manger en l'invitant à faire de même, ce qu'elle fit sans se faire prier. Prenant la fourchette de la main droite, on sentait qu'elle était un peu mal à l'aise. Etait-elle gauchère? Si oui c'était embêtant car elle ne pouvait presque rien faire de sa main déformée, pas même tenir un couvert correctement.
Mais le jeune Soren dit une chose qui semblait la perturber sur l'instant " j'ai hâte de voir ça..3 Voir quoi? A quoi faisait-il hallusion? Elle le regarda dans les yeux sans rine dire le temps de se servir et saisir ses couverts.*
Vous avez hâte de voir quoi exactement? La manière dont je vais vous protéger? Ou bien vous faites un sous entendu que je n'ai pas comprit?
*Ca avait le mérite d' être direct. Une vraie porte de frigo, sa facade semblait impénétrable mais on sentait qu'aborder ce genre de sujet l'ébranlait plus qu'elle ne le pensait elle même. Puis il reprit "plus sérieusement" comme il dit, ah ce n'était que de l'humour?... vraiment à quoi pouvait-elle bien penser. Prendre des jours de repos ne l'interessait vraiment pas, et effectivmeent le seul moyen de lui dire de se reposer était de lui en donner l'ordre. Elle fit un signe de la tête pour dire qu'elle approuvait.
Elle prit une première bouchée du plat. C'étaut...succulent! On lisait dans son regard un interêt pour al cuisine que venait de préparer Soren. Les yeux dans son assiette, L' Ourse avait un appétit... plutôt grand pour une femme de sa ligne.*
C'est... très bon.
*Dit-elle timidement. Puis elle reprit encore une fourchette bine pleine, ouvrant sa bouche sulfureuse et y engouffrer la garniture sur le couvert. Mais elle avala subitement de travers et cassa le couvert de la main gauche quand Soren lui dit que les seuls ébats qu'il pourais avoir dans sa chambre et en sa présence ce serait avec elle. Isei toussa un peu, rien de grave. Il y eu un long silence un temps.*
Je... je ne m'interesse pas à ça.
* Dit-elle séchement, trop gênée . Elle n'avait vraiment pas l'habitude et se sentait sans défense sans trop savoir pourquoi. Puisn elle réalisa qu'elle avait tordue le couvert malgré elle. ELle prit un moue désolé, défigeant un peu cete facade lisse qu'était son visage. Mais une telle réaction ne faisait qu'illustrer le droit au coeur des propos du bel homme...*
Désolé...
*Elle posa doucement le couvert sur al table, un peu loin d'elle. Elle ne savait aps ou se mettre... C'était al première fois qu'elle se sentait aussi embarrassée de sa vie.. pour avoir tordue un couvert? Hmmm.. plutôt par peur. La peur d'une situation qu'elle n'a jamais connue.*
Hum... Pour la nuit je... Une couche à aprt dans la même pièce m'ira parfaitement...
*L'odeur dans la cuisine éveillait l'appétit de Isei. La salade de gésier semblait parfaite et ne pas y goûter serait un véritable crime. Soren sortit en plus du frigo, un bouteille de vin blanc. La jeune femme leva un sourcil, pourquoi faisait-il tout ça? Par aimabilité? courtoisie? Pour fêter la signature de leur accord? Ah, qu'importe donc, ecla sentait terriblement bon et il ne fallait pas s'en privé.
Il l'invita à se servir. Elle ne dit rien et tendit ses mains vers les couverts du saladier. Prenant fermement celui de sa main droite et l'autre... comme si il s'agissait d'un objet fragile. C'était un pesctacle un peu étrange, entre fermeté et la peur d'être maladroite. Elle se servit en 3 fois, donnant l'impression d'avoir peur de plier le couvert dans sa main gauche. Soren pensait ne pas arriver à la cerner, et elle donc! Trop figée sur des stéréotype, la jeune femme ne savait pas vraiment quoi penser de cet home qui bon cuisinier, sérieux maus aussi..séducteur. La grande Ourse n'avait pas pour habitude de se faire courtiser ainsi même si c'était très léger.
Il reprit le sujet de l'esclave. *
Je verrais...
*Cela ne semblait pas être sa priorité. Tout du moins elle ne voulait pas y réfléchir maintenant, le saladier était bien plus interessant. Peut être proposera t-elle à Danael de venir ici mais dans ce cas... non elle devait garder son appartement, son père lui avait toujours dit d'avoir deux toits en cas de coup dur. Soren commence à manger en l'invitant à faire de même, ce qu'elle fit sans se faire prier. Prenant la fourchette de la main droite, on sentait qu'elle était un peu mal à l'aise. Etait-elle gauchère? Si oui c'était embêtant car elle ne pouvait presque rien faire de sa main déformée, pas même tenir un couvert correctement.
Mais le jeune Soren dit une chose qui semblait la perturber sur l'instant " j'ai hâte de voir ça..3 Voir quoi? A quoi faisait-il hallusion? Elle le regarda dans les yeux sans rine dire le temps de se servir et saisir ses couverts.*
Vous avez hâte de voir quoi exactement? La manière dont je vais vous protéger? Ou bien vous faites un sous entendu que je n'ai pas comprit?
*Ca avait le mérite d' être direct. Une vraie porte de frigo, sa facade semblait impénétrable mais on sentait qu'aborder ce genre de sujet l'ébranlait plus qu'elle ne le pensait elle même. Puis il reprit "plus sérieusement" comme il dit, ah ce n'était que de l'humour?... vraiment à quoi pouvait-elle bien penser. Prendre des jours de repos ne l'interessait vraiment pas, et effectivmeent le seul moyen de lui dire de se reposer était de lui en donner l'ordre. Elle fit un signe de la tête pour dire qu'elle approuvait.
Elle prit une première bouchée du plat. C'étaut...succulent! On lisait dans son regard un interêt pour al cuisine que venait de préparer Soren. Les yeux dans son assiette, L' Ourse avait un appétit... plutôt grand pour une femme de sa ligne.*
C'est... très bon.
*Dit-elle timidement. Puis elle reprit encore une fourchette bine pleine, ouvrant sa bouche sulfureuse et y engouffrer la garniture sur le couvert. Mais elle avala subitement de travers et cassa le couvert de la main gauche quand Soren lui dit que les seuls ébats qu'il pourais avoir dans sa chambre et en sa présence ce serait avec elle. Isei toussa un peu, rien de grave. Il y eu un long silence un temps.*
Je... je ne m'interesse pas à ça.
* Dit-elle séchement, trop gênée . Elle n'avait vraiment pas l'habitude et se sentait sans défense sans trop savoir pourquoi. Puisn elle réalisa qu'elle avait tordue le couvert malgré elle. ELle prit un moue désolé, défigeant un peu cete facade lisse qu'était son visage. Mais une telle réaction ne faisait qu'illustrer le droit au coeur des propos du bel homme...*
Désolé...
*Elle posa doucement le couvert sur al table, un peu loin d'elle. Elle ne savait aps ou se mettre... C'était al première fois qu'elle se sentait aussi embarrassée de sa vie.. pour avoir tordue un couvert? Hmmm.. plutôt par peur. La peur d'une situation qu'elle n'a jamais connue.*
Hum... Pour la nuit je... Une couche à aprt dans la même pièce m'ira parfaitement...
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Alors que mon regard n'était aucunement instigateur, je l'avais regardé manger. Au départ, ce n'était que pour savoir si le met lui plaisit, point sur lequel je fûs rassuré assez rapidement. Visiblement, tout cela lui convenait et cela me faisait plaisir au plus haut point.
Et puis mon observation dériva rapidement sur le mal qu'elle avait à utiliser le couvert qu'elle tenait de sa main gauche. J'avais compris que cette même main n'avait rien d'ordinaire, mais j'ignorais à quel point encore.
Pour ne pas gêner ma belle, je ne laissais rien paraître. Elle semblait déjà si peu à l'aise, autant que je lui évite regards insistants et questions qu'elle aurait pût mal prendre. Pour sembler détaché, je concentrais mon regard sur le sien et mon attention sur ses paroles.
- Je faisais un sous-entendu que vous ne semblez ne pas avoir compris. Mais cela était déplacé de ma part, je vous prie de m'excuser.
La franchise était tout autant mienne. Et puis la situation qu'elle vivait avec sa main devait déjà bien la déranger, alors autant ne pas lui donner une raison supplémentaire de se soucier de quoi que ce soit.
Mon regard plongé dans le sien, je lisais aisément qu'elle appréciait ma cuisine ! J'en étais ravi, il me fallait l'avouer. D'ailleurs, mon sourire exprima mieux ma satisfaction que ne l'auraient fait mes mots. Elle avait fini par baisser le regard sur son assiette, peut-être dérangée par le mien, mais ne manqua pas de me complimenter sur ma cuisine.
- Merci. J'aime cuisiner quelques plats moi-même mais je mange rarement accompagné. Si cela vous plait, nous rééditerons l'expérience !
Là, ce fût un peu le drame de notre petite soirée. Choquée par mes derniers propos elle avala de travers, et sous la surprise cassa le couvert qu'elle tenait de sa main armurée. Apparement, elle était fort honteuse car elle n'osait plus toucher à ses couverts et avait céssé même de manger. Je m'en voulais vraiment... J'ignorais que quelques mots un peu salés feraient sur elle un tel effet. Piteusement, elle s'excusa puis enchaina sur sa préférence quant à une couche à l'écart de la mienne, mais dans la même pièce.
Je terminais ma bouchée.
- Ne vous excusez pas pour un couvert. Et si vous préférez dormir à part, vous serez exaucée. Je vais être franc avec vous : j'aurais voulu vous avoir contre moi pour la nuit. Mais cela dépasse le cadre de votre contrat, puisque c'est une demande personelle. .Libre à vous donc de choisir votre couchage, Isei.
J'avais décidé d'abandonner les sous-entendus avec elle. A vrai dire, je n'avais pas saisi à quel point j'avais pût l'indisposer par mes petites piques innocentes et je m'en mordais à présent les doigts. Doucement, je me levais de ma place, fourchette à la main pour aller m'installer à côté d'elle. Du bout de mon couvert, je piquais salade et gésiers pour les lui mettre à portée de lèvres.
- Je vous procurerais de meilleurs couverts dès demain. En attendant, je serais votre main. Ouvrez donc ces jolie lèvres, Isei. Allez !
Un petit ordre d'une voix douce qui n'en était pas un. Je ne voulais ni la rabaisser ni me moquer. Pour preuve, mon visage aux traits neutres et mon regard empreint de douceur. J'étais tellement absorbé par Isei que je n'avais pas réalisé que ma main s'était naturellement posée sur sa cuisse, tandis que je lui proposais la bécquée...
Et puis mon observation dériva rapidement sur le mal qu'elle avait à utiliser le couvert qu'elle tenait de sa main gauche. J'avais compris que cette même main n'avait rien d'ordinaire, mais j'ignorais à quel point encore.
Pour ne pas gêner ma belle, je ne laissais rien paraître. Elle semblait déjà si peu à l'aise, autant que je lui évite regards insistants et questions qu'elle aurait pût mal prendre. Pour sembler détaché, je concentrais mon regard sur le sien et mon attention sur ses paroles.
- Je faisais un sous-entendu que vous ne semblez ne pas avoir compris. Mais cela était déplacé de ma part, je vous prie de m'excuser.
La franchise était tout autant mienne. Et puis la situation qu'elle vivait avec sa main devait déjà bien la déranger, alors autant ne pas lui donner une raison supplémentaire de se soucier de quoi que ce soit.
Mon regard plongé dans le sien, je lisais aisément qu'elle appréciait ma cuisine ! J'en étais ravi, il me fallait l'avouer. D'ailleurs, mon sourire exprima mieux ma satisfaction que ne l'auraient fait mes mots. Elle avait fini par baisser le regard sur son assiette, peut-être dérangée par le mien, mais ne manqua pas de me complimenter sur ma cuisine.
- Merci. J'aime cuisiner quelques plats moi-même mais je mange rarement accompagné. Si cela vous plait, nous rééditerons l'expérience !
Là, ce fût un peu le drame de notre petite soirée. Choquée par mes derniers propos elle avala de travers, et sous la surprise cassa le couvert qu'elle tenait de sa main armurée. Apparement, elle était fort honteuse car elle n'osait plus toucher à ses couverts et avait céssé même de manger. Je m'en voulais vraiment... J'ignorais que quelques mots un peu salés feraient sur elle un tel effet. Piteusement, elle s'excusa puis enchaina sur sa préférence quant à une couche à l'écart de la mienne, mais dans la même pièce.
Je terminais ma bouchée.
- Ne vous excusez pas pour un couvert. Et si vous préférez dormir à part, vous serez exaucée. Je vais être franc avec vous : j'aurais voulu vous avoir contre moi pour la nuit. Mais cela dépasse le cadre de votre contrat, puisque c'est une demande personelle. .Libre à vous donc de choisir votre couchage, Isei.
J'avais décidé d'abandonner les sous-entendus avec elle. A vrai dire, je n'avais pas saisi à quel point j'avais pût l'indisposer par mes petites piques innocentes et je m'en mordais à présent les doigts. Doucement, je me levais de ma place, fourchette à la main pour aller m'installer à côté d'elle. Du bout de mon couvert, je piquais salade et gésiers pour les lui mettre à portée de lèvres.
- Je vous procurerais de meilleurs couverts dès demain. En attendant, je serais votre main. Ouvrez donc ces jolie lèvres, Isei. Allez !
Un petit ordre d'une voix douce qui n'en était pas un. Je ne voulais ni la rabaisser ni me moquer. Pour preuve, mon visage aux traits neutres et mon regard empreint de douceur. J'étais tellement absorbé par Isei que je n'avais pas réalisé que ma main s'était naturellement posée sur sa cuisse, tandis que je lui proposais la bécquée...
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*Soren répondit à son interrogation. Un sous entendu donc... Non vraiment elle ne comrpenait pas... Vraiment? cnocrètement, elle ne voulait pas comprendre car c'était surement pas "professionnel". Le sourire du jeune homme était très touchant, il lisait sur elle qu'elle aimait son plat. Isei n'avait pas l'habitude qu'on la comprenne elle qui était si peu expressive. Mais cela se voyait tellement à sa manière de manger et de savourer chaque bouchée si maladroitement conduite à sa bouche par sa main inverse.
Après s'être éttoufée suite aux propos qu'elle entendit, le couvert était en piteux état. Comprenant toute sa maladresse, Soren ne semblait en aucun cas faché. Il lui fit alors part de sa préfèrence, la sentir contre lui... et c'était bien ce que Isei avait peur de comprendre: c'était une demande personelle. Vierge de tout ce genre d'idée et de contact, cela lui faisait plus peur qu'autre chose. N'était-ce pas son père qui disait " Une femme ne peux être ausi efficace qu'un homme car elle est source de désir. " être source de désir n'était "professionnel". C'était une pensée bien archaique que l'on pouvais facilement contredire, mais Isei à été élevée uniquement par cet homme et ses propos étaient sa bible.*
*Mais revenons à la situation actuelle, la jeune femme embarassée par sa force brute et les propos de Soren... Et pourquoi se sentait-elle si perturbé? Se pourrait-il qu'elle le trouve séduisant au point de laisser son coeur s'ébranler? *
Je... Je.. verrais mais dans un cadre professionnel... je ne suis pas interessé.
*Allons donc... Pouruqoi avait-elle ausis l'impression de mentir? Elle le pensait non? Elle n'était pas interessé n'est-ce pas? Elle réussit à se convaincre qu'elle avait répondu en toute franchise.
Soren se leva en prenant une fourchette. Isei le suivit des yeux ne sachant pas ce qu'il comptait faire. Puis il s'assit à ses cotés, piquant le couvert et lui porta à ses lèvres la garniture. Isei avai un air surprit... mais les yeux bleu de Soren était envoûtant et le geste empreint d'une attention touchant... Elle ouvrit lentement ses lèvres généreuses et happe le contenu de la fourchette. *
*Qu'elle étrange situation non? Elle était tellement envoutée qu'elle ne sentit pas dessuite le contat sur sa cuisse. Elle mache en prenant son temps, puis avale sans dire un mot. Elle avait un peu chaud d'ailleurs, pourtant il faisait bon dans la cuisine. Elle réalise alors que la main du jeune homme en face d'elle était posé sur sa cuisse. Même si elle portait un pantalon, sa peau vierge de caresse le ressentit comme si elle était à nue. So ncoeur se mit à battre à un rythme irrégulier. cela énervait Isei quand elle n'avait pas le contrôle de son propre corps..trahissant ses émotions profonde. La chaleur ressentit lui rosèrent légèrement les joues. Elle ne s'en rendait pas compte.*
Vous.. n'être pas obliger... c'est gentil.
*Vraiment jamais elle n'avait eu face à elle une personne come Soren, réveillant en elle quelque chose que elle même semblait ignorer.*
Après s'être éttoufée suite aux propos qu'elle entendit, le couvert était en piteux état. Comprenant toute sa maladresse, Soren ne semblait en aucun cas faché. Il lui fit alors part de sa préfèrence, la sentir contre lui... et c'était bien ce que Isei avait peur de comprendre: c'était une demande personelle. Vierge de tout ce genre d'idée et de contact, cela lui faisait plus peur qu'autre chose. N'était-ce pas son père qui disait " Une femme ne peux être ausi efficace qu'un homme car elle est source de désir. " être source de désir n'était "professionnel". C'était une pensée bien archaique que l'on pouvais facilement contredire, mais Isei à été élevée uniquement par cet homme et ses propos étaient sa bible.*
*Mais revenons à la situation actuelle, la jeune femme embarassée par sa force brute et les propos de Soren... Et pourquoi se sentait-elle si perturbé? Se pourrait-il qu'elle le trouve séduisant au point de laisser son coeur s'ébranler? *
Je... Je.. verrais mais dans un cadre professionnel... je ne suis pas interessé.
*Allons donc... Pouruqoi avait-elle ausis l'impression de mentir? Elle le pensait non? Elle n'était pas interessé n'est-ce pas? Elle réussit à se convaincre qu'elle avait répondu en toute franchise.
Soren se leva en prenant une fourchette. Isei le suivit des yeux ne sachant pas ce qu'il comptait faire. Puis il s'assit à ses cotés, piquant le couvert et lui porta à ses lèvres la garniture. Isei avai un air surprit... mais les yeux bleu de Soren était envoûtant et le geste empreint d'une attention touchant... Elle ouvrit lentement ses lèvres généreuses et happe le contenu de la fourchette. *
*Qu'elle étrange situation non? Elle était tellement envoutée qu'elle ne sentit pas dessuite le contat sur sa cuisse. Elle mache en prenant son temps, puis avale sans dire un mot. Elle avait un peu chaud d'ailleurs, pourtant il faisait bon dans la cuisine. Elle réalise alors que la main du jeune homme en face d'elle était posé sur sa cuisse. Même si elle portait un pantalon, sa peau vierge de caresse le ressentit comme si elle était à nue. So ncoeur se mit à battre à un rythme irrégulier. cela énervait Isei quand elle n'avait pas le contrôle de son propre corps..trahissant ses émotions profonde. La chaleur ressentit lui rosèrent légèrement les joues. Elle ne s'en rendait pas compte.*
Vous.. n'être pas obliger... c'est gentil.
*Vraiment jamais elle n'avait eu face à elle une personne come Soren, réveillant en elle quelque chose que elle même semblait ignorer.*
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Et voila que je donnais la becquée à mon employée... Pourtant, la situation ne me déplaisait pas. J'avais fais naturellement le premier pas vers elle, pour jouir de davantage de proximité. Etaient-ce ses refus qui me motivaient ainsi ? Possible, mais il y avait autre chose qui m'attirait vers ma belle Isei, qui se voulait pourtant si froide. Son côté renfermé caché sûrement mille trésors qui me rendraient bien plus riche que je ne l'étais, mais d'une tout autre façon.
Sur sa cuisse, mes doigts se laissaient aller à des caresses. Imperceptibles au départ, elles se faisaient de plus en plus ardies, sans toutefois devenir grossières où obscène. Au contraire, beaucoup de mon ressenti pour elle passait dans ces gestes lents et ô combien doux.
- Ne vous en faites pas, Isei. Dans un cadre professionel, je ne vous forcerais pas la main. Je veux que si vous acceptez, ce soit parce que vous en avez tout simplement envie.
La forcer en usant de mon autorité sur elle ? Allons, quel interet ? Je voulais mon ourse tout entière, de coeur et de corps. Et pour cela, il fallait qu'elle se donne naturellement à moi. Pour se faire, je ne pouvais que l'aiguiller de mon mieux sur des chemins qu'elle ne semblait pas connaitre : ceux du jeu de la séduction.
En attendant, elle se prêtait tout de même à ce curieux repas qu'elle prenait sans avoir l'air de se forcer, même si il était possible que la situation la gêne. Doucement, je lui procurais de nouvelles bouchée tandis que mes caresses sur sa cuisses continuaient comme un geste parfaitement naturel dont je ne m'étais toujours pas rendu compte, trop absorbé par le spectacle de ce si joli visage qui à présent se teintait d'une pointe délicate de rouge sur les pomettes. Cette vision me fit ressentir une bouffée de chaleur et me pinca agréablement le coeur. Que m'arrivait'il ? Rien que je n'arrive vraiment à cerner. Pourtant mon coeur battait curieusement et mon regard se fit plus... Plus doux et romantique.
- Mais... Vous n'êtes pas plus obligée d'accepter de me laisser faire, Isei....
Un petit ton taquin dans le fond de ma gorge, tandis que mon visage s'approchait du sien, pour n'être qu'a quelques millimêtres à peine.
Pourquoi ? Pourquoi hésitais-je à l'embrasser, alors que je n'attendais que ça ?
Sur sa cuisse, mes doigts se laissaient aller à des caresses. Imperceptibles au départ, elles se faisaient de plus en plus ardies, sans toutefois devenir grossières où obscène. Au contraire, beaucoup de mon ressenti pour elle passait dans ces gestes lents et ô combien doux.
- Ne vous en faites pas, Isei. Dans un cadre professionel, je ne vous forcerais pas la main. Je veux que si vous acceptez, ce soit parce que vous en avez tout simplement envie.
La forcer en usant de mon autorité sur elle ? Allons, quel interet ? Je voulais mon ourse tout entière, de coeur et de corps. Et pour cela, il fallait qu'elle se donne naturellement à moi. Pour se faire, je ne pouvais que l'aiguiller de mon mieux sur des chemins qu'elle ne semblait pas connaitre : ceux du jeu de la séduction.
En attendant, elle se prêtait tout de même à ce curieux repas qu'elle prenait sans avoir l'air de se forcer, même si il était possible que la situation la gêne. Doucement, je lui procurais de nouvelles bouchée tandis que mes caresses sur sa cuisses continuaient comme un geste parfaitement naturel dont je ne m'étais toujours pas rendu compte, trop absorbé par le spectacle de ce si joli visage qui à présent se teintait d'une pointe délicate de rouge sur les pomettes. Cette vision me fit ressentir une bouffée de chaleur et me pinca agréablement le coeur. Que m'arrivait'il ? Rien que je n'arrive vraiment à cerner. Pourtant mon coeur battait curieusement et mon regard se fit plus... Plus doux et romantique.
- Mais... Vous n'êtes pas plus obligée d'accepter de me laisser faire, Isei....
Un petit ton taquin dans le fond de ma gorge, tandis que mon visage s'approchait du sien, pour n'être qu'a quelques millimêtres à peine.
Pourquoi ? Pourquoi hésitais-je à l'embrasser, alors que je n'attendais que ça ?
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*pourquoi ne lui demandait-elle pas de retirer sa main de sa jambe? Tout d'abord elle ne le remarqua pas dessuite, trop absorbé par le regard de Soren et surprise aussi de son initiative. Puis, ces caresses annodines se firent connaitre. Isei fut prise d'un frisson assez "violent" cela ne dura qu'une seconde mais son corps semblait avoir subit un tremblement de terre à lui seul. La jeune femme réalisa une chose qui la troubla énormméent... c'était très.. très très agréable.
Mais quoi? juste cette main qui la caresse sur sa cuisse alors qu'elle n'est même pas à nue? C'était stupide pensait-ele.. mais voilà , on corps avait réagit et son coeur aussi. Et la suite des propos tenus par Soren n'allait pas l'aider. Mais la jeune femme semblait aovir une très grande maitrise d'elle même, hormi ses pomettes roses rien d'autre ne trahisait son trouble intérieur.*
Si j'ai envie...
*Elle ne semblait pas vraiment comprendre à qui il faisait allusion. Pour une vierge ignorant toute chose de l'amour et de la séduction c'était compréhensible, même son esprit semblait vierge car seul son corps réagisait à tout ça. Il y avait quelque chose en fond qui voulait sortir d'elle. Mais bien trop enfuit, il en faudra certainement plus pour... la faire éclore.*
je verrais.
*Dit-elle pour ne pas parraitre ignorante grâce àcette réponse un peu "fourre-tout". Soren lui offrit une autre fouchette remplie de cette délicieuse salade. Elle ferma le syeux et ouvrit la bouche, happant avec plus d'appétit que al dernière. C'était vraiment trop bon pour se priver, et puis.. même si c'était gênant comme situation, se faire servir ainsi lui évitait de faire des effort incommensurable pour ne pas briser un couvert. Elle rouvrit le syeux quand elle avala le met encore une fois. C'était étrange.;ce regard si doux qui la fixait tendrement. A son souvenir aucun homme ne l'avait jamais regardé ainsi.. cela avait une signification aprticulière? Elle ne savait pas et prit ca pour de la simple gentilesse.
Tout semblait bien se passer entre eux, l' Ourse se demande si il allait la garder à durée indéterminé... il était très différent de ses autres patrons et elle ne réalisait vraiment pas qu'il lui plaisait beaucoup.
Su un ton taquin, Soren lui fit remarquer qu'elle n'était pas bligée de se laisser faire alors que son visage se rapprocha du sien. ouvrant grand ses yeux de jade, Isei ne comprenait pas ce rapprochement soudain et son coeur fut prit d'une panique comme si lui le savait... Il ne fit pourtant rien...*
Je... J'ai mal à la main alors je n'ai pas refuser votre service.
*Elle détourna al tête sur le coté, il la troublait bien trop, elle se sentait en situation de faiblese alors qu'elle savait qu'il n'était pas son ennemi alros pourquoi le fuir du regard à ce point? Redoutait-elle qu'lque chose? Qui sais... une chose est sure c'est en tournant sa tête son coeur se calma un peu,, même si cette douce cavale était douce elle avait... peur... mais mit toute ses forces pour ne pas le laisser percevoir, nanmoins, ses yeux la trahirront toujours...*
Mais quoi? juste cette main qui la caresse sur sa cuisse alors qu'elle n'est même pas à nue? C'était stupide pensait-ele.. mais voilà , on corps avait réagit et son coeur aussi. Et la suite des propos tenus par Soren n'allait pas l'aider. Mais la jeune femme semblait aovir une très grande maitrise d'elle même, hormi ses pomettes roses rien d'autre ne trahisait son trouble intérieur.*
Si j'ai envie...
*Elle ne semblait pas vraiment comprendre à qui il faisait allusion. Pour une vierge ignorant toute chose de l'amour et de la séduction c'était compréhensible, même son esprit semblait vierge car seul son corps réagisait à tout ça. Il y avait quelque chose en fond qui voulait sortir d'elle. Mais bien trop enfuit, il en faudra certainement plus pour... la faire éclore.*
je verrais.
*Dit-elle pour ne pas parraitre ignorante grâce àcette réponse un peu "fourre-tout". Soren lui offrit une autre fouchette remplie de cette délicieuse salade. Elle ferma le syeux et ouvrit la bouche, happant avec plus d'appétit que al dernière. C'était vraiment trop bon pour se priver, et puis.. même si c'était gênant comme situation, se faire servir ainsi lui évitait de faire des effort incommensurable pour ne pas briser un couvert. Elle rouvrit le syeux quand elle avala le met encore une fois. C'était étrange.;ce regard si doux qui la fixait tendrement. A son souvenir aucun homme ne l'avait jamais regardé ainsi.. cela avait une signification aprticulière? Elle ne savait pas et prit ca pour de la simple gentilesse.
Tout semblait bien se passer entre eux, l' Ourse se demande si il allait la garder à durée indéterminé... il était très différent de ses autres patrons et elle ne réalisait vraiment pas qu'il lui plaisait beaucoup.
Su un ton taquin, Soren lui fit remarquer qu'elle n'était pas bligée de se laisser faire alors que son visage se rapprocha du sien. ouvrant grand ses yeux de jade, Isei ne comprenait pas ce rapprochement soudain et son coeur fut prit d'une panique comme si lui le savait... Il ne fit pourtant rien...*
Je... J'ai mal à la main alors je n'ai pas refuser votre service.
*Elle détourna al tête sur le coté, il la troublait bien trop, elle se sentait en situation de faiblese alors qu'elle savait qu'il n'était pas son ennemi alros pourquoi le fuir du regard à ce point? Redoutait-elle qu'lque chose? Qui sais... une chose est sure c'est en tournant sa tête son coeur se calma un peu,, même si cette douce cavale était douce elle avait... peur... mais mit toute ses forces pour ne pas le laisser percevoir, nanmoins, ses yeux la trahirront toujours...*
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Hm.
Alors que je me décidais enfin à l'embrasser, elle détourna la tête au dernier moment. Je crois que j'aurais été un peu moins éduqué, j'aurais dis que je m'étais pris un vent, et un beau. Pour ne pas perdre la face, je reculais la tête doucement tandis qu'elle ne me regardait pas et me râclait la gorge, un peu géné. Je fûs bien tenter de lui prendre le menton pour lui faire lever les yeux sur moi, mais j'abandonnais rapidement mon idée. Si Isei et sa facade de froideur s'était un peu fissurées, je risquais de l'ennuyer, voir même de la blesser.
C'est alors que je vis enfin ma main sur sa cuisse. Pourtant, je ne parvins pas à l'enlever. C'était notre seul contact qui ne soit pas "dans le cadre du contrat" et je réchignais à le rompre. Pourquoi ? Ce n'était qu'une femme aprés tout, j'en avais connu et en connaitrais bien d'autre ! Mais non, c'était pour elle que mon coeur semblait battre à présent que je daignais accepter cette idée. Isei... Dans mon coeur ? Même si c'était encore bien nébuleux, ça me semblait une évidence.
Mon regard et mon visage se troublèrent un peu face à cette constatation.
- Je... Oui... Suis-je bête, j'aurais dû m'en douter, évidemment...
Je pensais qu'elle était franche et je savais que c'était le cas. Non, Isei ne s'interessait pas à moi, du moins pas comme moi je commencais à éveiller mon interet pour elle. Il me fallait admettre l'évidence, je ne lui plaisait pas et n'arrivais pas à y faire comme il le fallait. Et croyez moi, ce fût plus dur à avaler que je ne l'aurais cru de prime abord. Dignement, je me levais pour aller à ma place, avalant mon verre de vin d'un seul trait. Je n'avais plus faim, du moins pas mon estomac. C'est lorsque je posais mes yeux sur elle que je compris que j'avais faim de son corps mais encore plus de sa présence. Faim de la découvrir et de la faire mienne. Egoîsme aveugle mais tellement vrai....
Je me levais pour débarasser mon assiette lorsqu'a nouveau je posais mes yeux sur elle. Et puis je reposais l'assiette sur la table et m'approchais une fois de plus de son visage, que j'eu délicatement saisi par la suite par le menton. Et lorsque nos regards se croisèrent, j'appliquais mes lèvres sur les siennes, profitant de ce moment honteusement volé à la belle.
Puis aprés quelques instants trop courts à mon goût, je reculais doucement, un peu rouge.
- Pardon...
Alors que je me décidais enfin à l'embrasser, elle détourna la tête au dernier moment. Je crois que j'aurais été un peu moins éduqué, j'aurais dis que je m'étais pris un vent, et un beau. Pour ne pas perdre la face, je reculais la tête doucement tandis qu'elle ne me regardait pas et me râclait la gorge, un peu géné. Je fûs bien tenter de lui prendre le menton pour lui faire lever les yeux sur moi, mais j'abandonnais rapidement mon idée. Si Isei et sa facade de froideur s'était un peu fissurées, je risquais de l'ennuyer, voir même de la blesser.
C'est alors que je vis enfin ma main sur sa cuisse. Pourtant, je ne parvins pas à l'enlever. C'était notre seul contact qui ne soit pas "dans le cadre du contrat" et je réchignais à le rompre. Pourquoi ? Ce n'était qu'une femme aprés tout, j'en avais connu et en connaitrais bien d'autre ! Mais non, c'était pour elle que mon coeur semblait battre à présent que je daignais accepter cette idée. Isei... Dans mon coeur ? Même si c'était encore bien nébuleux, ça me semblait une évidence.
Mon regard et mon visage se troublèrent un peu face à cette constatation.
- Je... Oui... Suis-je bête, j'aurais dû m'en douter, évidemment...
Je pensais qu'elle était franche et je savais que c'était le cas. Non, Isei ne s'interessait pas à moi, du moins pas comme moi je commencais à éveiller mon interet pour elle. Il me fallait admettre l'évidence, je ne lui plaisait pas et n'arrivais pas à y faire comme il le fallait. Et croyez moi, ce fût plus dur à avaler que je ne l'aurais cru de prime abord. Dignement, je me levais pour aller à ma place, avalant mon verre de vin d'un seul trait. Je n'avais plus faim, du moins pas mon estomac. C'est lorsque je posais mes yeux sur elle que je compris que j'avais faim de son corps mais encore plus de sa présence. Faim de la découvrir et de la faire mienne. Egoîsme aveugle mais tellement vrai....
Je me levais pour débarasser mon assiette lorsqu'a nouveau je posais mes yeux sur elle. Et puis je reposais l'assiette sur la table et m'approchais une fois de plus de son visage, que j'eu délicatement saisi par la suite par le menton. Et lorsque nos regards se croisèrent, j'appliquais mes lèvres sur les siennes, profitant de ce moment honteusement volé à la belle.
Puis aprés quelques instants trop courts à mon goût, je reculais doucement, un peu rouge.
- Pardon...
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*La tête tournée sur le coté, Isei se sentait étrange, comme prise de remorts. Mais à quel propos? C'était normal de rester "professionnel".... non? Alros pourquoi avait-elle se sentiment très désagréable de regretter quelque chose...
Il y eu un lourd silence. Il semblait bien trop long, durant une éternité. Ce n'était qu'une apparence mais la situation ralentissait le temps perçut. Soren était désapointé, il y avait de quoi. Mais il n'avait pas retiré sa main de sa cuisse et elle ne disait rien, cela illustrait aprfaitement son conflit intérieur, sa tête se détourne du jeune homme mais son corps le laisse l'approcher. Pourtant, cette semblance d'attirance naissante en elle n'était pas que physique, elle était juste têtue et ancrée dans ses principes.
Le jeune homme balbutia quelques mots, trahissant quelque peu sa déception et semblait s'en vouloir à lui même. Isei ne dit rien, elle était bien trop perturbée pour le regarder à nouveau tel une vierge éffarouchée... en fait l'expression était exacte.*
*Il se leva, et se deplaca jusqu'a sa place.. Le silence semblait difficile à supporter pour isie alors qu'elle était habitué aux situations tendues. Mais là, ca n'avait rien avoir et elle le savait bien. Elle se remit bien sur sa chaise, lentement, levant timidement les yeux vers Soren buvant d'une traite son verre. Quand il reposa ses yeux sur elle, elle détourna son regard, chose inhabituel. Il n'avait plus faim et commença à débarrasser son assiette. Isei se sentit... triste. Vraiment c'était nouveau pour elle de ressentir de la tristesse ou du regret... c'était douloureux , ça torturait le coeur remarqua t-elle. Elle aurait préférer rester de marbre comme à son habitude mais elle n'y arrivait pas.
Soren reposa finalement l'assiette et se rapprocha d'elle. Isei avait le regard détournée et ne le vit pas venir de si prêt. Elle sentit sa main se poser sur son menton, ouvrant grand ses yeux d'amande par al surprise elle n'eu le temps de réalise quoi que ce soit quand elle sentit les lèvres de Soren se poser sur les siennes.*
*Ce bref étant fut presque éternel. Le temps semblait s'être arreter. Elle ne bougeait plus, figé par la surprise. Son rythme cardiaque calme se mit à valdinguer au fil des secondes rechauffant ses joues encore une fois de ce rose qui colorait son teint pâle. Les premières secondes de surprises laissèrent place aux dernières secondes de l'instant.. Les lèvres de SOren étaient douce, le sentir prêt d'elle fut encore plus agréable qu'elle ne pouvait l'imaginer.
Un belle fissure profonde dans la glace...*
*Il se recula lentement et s'excusa. Isei ne savait pas comment réagir, ni quoi dire. Sa bouche était vierge de tout baiser, la sensation était indescriptible pour elle. Son premier baisé.... On aurait dis une jeune fille à ce moment la plutôt qu'une femme qui devrait - normalement - déjà connaitre ce sentiment.
Elle ne disait rien, elle ne pouvait pas parler. elle baissa un peu la tête les yeux perdus dans le vague portant à ses lèvres sa mains droite. Effleurant sa bouche du bout de ses doigts, comme si elle cherchait à comprendre ce qu'il s'était passé et ce qu'il lui avait fait pour qu'elle puisse se sentir tant en émoi. Elle resta un moment ainsi, coupé de la réalité de longues secondes quand enfin son esprit revint sur terre après tant d'émotion en si peu de temps.*
J... Je ne sais pas.. quoi dire... ni faire....
*Dit-elle sans arriver a le regarder une fois dans les yeux. Il lui plaisit, c'était agréable.. mais elle ressentait un véritable blocage en son sein, paralysé tant physiquement que dans sa tête.*
Il y eu un lourd silence. Il semblait bien trop long, durant une éternité. Ce n'était qu'une apparence mais la situation ralentissait le temps perçut. Soren était désapointé, il y avait de quoi. Mais il n'avait pas retiré sa main de sa cuisse et elle ne disait rien, cela illustrait aprfaitement son conflit intérieur, sa tête se détourne du jeune homme mais son corps le laisse l'approcher. Pourtant, cette semblance d'attirance naissante en elle n'était pas que physique, elle était juste têtue et ancrée dans ses principes.
Le jeune homme balbutia quelques mots, trahissant quelque peu sa déception et semblait s'en vouloir à lui même. Isei ne dit rien, elle était bien trop perturbée pour le regarder à nouveau tel une vierge éffarouchée... en fait l'expression était exacte.*
*Il se leva, et se deplaca jusqu'a sa place.. Le silence semblait difficile à supporter pour isie alors qu'elle était habitué aux situations tendues. Mais là, ca n'avait rien avoir et elle le savait bien. Elle se remit bien sur sa chaise, lentement, levant timidement les yeux vers Soren buvant d'une traite son verre. Quand il reposa ses yeux sur elle, elle détourna son regard, chose inhabituel. Il n'avait plus faim et commença à débarrasser son assiette. Isei se sentit... triste. Vraiment c'était nouveau pour elle de ressentir de la tristesse ou du regret... c'était douloureux , ça torturait le coeur remarqua t-elle. Elle aurait préférer rester de marbre comme à son habitude mais elle n'y arrivait pas.
Soren reposa finalement l'assiette et se rapprocha d'elle. Isei avait le regard détournée et ne le vit pas venir de si prêt. Elle sentit sa main se poser sur son menton, ouvrant grand ses yeux d'amande par al surprise elle n'eu le temps de réalise quoi que ce soit quand elle sentit les lèvres de Soren se poser sur les siennes.*
*Ce bref étant fut presque éternel. Le temps semblait s'être arreter. Elle ne bougeait plus, figé par la surprise. Son rythme cardiaque calme se mit à valdinguer au fil des secondes rechauffant ses joues encore une fois de ce rose qui colorait son teint pâle. Les premières secondes de surprises laissèrent place aux dernières secondes de l'instant.. Les lèvres de SOren étaient douce, le sentir prêt d'elle fut encore plus agréable qu'elle ne pouvait l'imaginer.
Un belle fissure profonde dans la glace...*
*Il se recula lentement et s'excusa. Isei ne savait pas comment réagir, ni quoi dire. Sa bouche était vierge de tout baiser, la sensation était indescriptible pour elle. Son premier baisé.... On aurait dis une jeune fille à ce moment la plutôt qu'une femme qui devrait - normalement - déjà connaitre ce sentiment.
Elle ne disait rien, elle ne pouvait pas parler. elle baissa un peu la tête les yeux perdus dans le vague portant à ses lèvres sa mains droite. Effleurant sa bouche du bout de ses doigts, comme si elle cherchait à comprendre ce qu'il s'était passé et ce qu'il lui avait fait pour qu'elle puisse se sentir tant en émoi. Elle resta un moment ainsi, coupé de la réalité de longues secondes quand enfin son esprit revint sur terre après tant d'émotion en si peu de temps.*
J... Je ne sais pas.. quoi dire... ni faire....
*Dit-elle sans arriver a le regarder une fois dans les yeux. Il lui plaisit, c'était agréable.. mais elle ressentait un véritable blocage en son sein, paralysé tant physiquement que dans sa tête.*
Invité
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Non, rien de rien.
Non, je ne regrettais rien. Ce baiser volé, je l'avais obtenu par un moyen déloyal mais je m'en moquais. Les lèvres d'Iseï... Elle l'ignorait sûrement, mais ses lèvres avaient un goût sucré. Et puis elles étaient pulpeuse, un régal que d'embrasser cette bouche finement dessinée et encore vierge de tout contact similaire. J'avais toutefois pris soin d'être aussi doux que possible, pour ne pas la brusquer davantage. Avec un regard aussi interrogateur que protecteur et curieux, je la vis porter ses doigts à sa bouche pour en effleurer les lèvres charnues, comme si elle voulait s'assurer de la sensation nouvelle que je lui avait procuré. A ce moment là, j'aurais aimé lire dans ses pensées, savoir ce qu'elle pouvait ressentir devant ma hardiesse et plus simplement devant le baiser que je lui avais tout bonnement imposé.
Curieusement, je n'étais pas fier de moi. J'avais certes profité de l'occassion et de cette "ouverture" dans sa défense à mes avances avec opportunité, mais je me rendais compte que je pouvais la bloquer de façon définitive face à moi, purement et simplement. Et ça, ce n'était vraiment pas malin. Mon empressement risquait fort de tout gâcher entre nous, même si il n'y avait absolument rien. Disons que j'avais peut-être sapé le peu de fondations que j'avais établi....
La regardant toujours, je la vis sortir de ses pensées, comme si elle avait été dans un autre monde le temps de mes reflexions. C'était d'ailleurs sûrement ça. Et puis sa voix un peu grave s'éleva avec une douceur et un trouble bien naturel. Ceci étant, Iseï ne leva pas une fois son regard évitant le mien. Sa gêne allait donc jusque là ?
Elle ne savait pas quoi dire où faire ? Moi qui pensait qu'elle me donnerait la gifle que je méritais.... Je restais silencieux un instant, avant de venir vers elle et m'accroupir devant elle qui était toujours assise. Il fallait que je fasse quelque chose pour qu'elle ne reste pas cdans cet émoi qui ne lui allait pas, même si il la rendait encore plus craquante.....
Ma voix monta alors, sur une note douce et rassurante.
- Vous avez plusieurs choix, à vrai dire... Soit me gifler en me traitant de salaud, soit vous lever et m'ignorer superbement.... Soit me rendre le baiser..... Les possibilités sont multiples, Iseï. A vous de savoir ce que vous dis votre coeur.
Il battait plus fort qu'il n'aurait dû, le mien. La belle Ourse me faisait elle donc tant d'effet pour que j'attende impatiemment sa réponse ?
Non, je ne regrettais rien. Ce baiser volé, je l'avais obtenu par un moyen déloyal mais je m'en moquais. Les lèvres d'Iseï... Elle l'ignorait sûrement, mais ses lèvres avaient un goût sucré. Et puis elles étaient pulpeuse, un régal que d'embrasser cette bouche finement dessinée et encore vierge de tout contact similaire. J'avais toutefois pris soin d'être aussi doux que possible, pour ne pas la brusquer davantage. Avec un regard aussi interrogateur que protecteur et curieux, je la vis porter ses doigts à sa bouche pour en effleurer les lèvres charnues, comme si elle voulait s'assurer de la sensation nouvelle que je lui avait procuré. A ce moment là, j'aurais aimé lire dans ses pensées, savoir ce qu'elle pouvait ressentir devant ma hardiesse et plus simplement devant le baiser que je lui avais tout bonnement imposé.
Curieusement, je n'étais pas fier de moi. J'avais certes profité de l'occassion et de cette "ouverture" dans sa défense à mes avances avec opportunité, mais je me rendais compte que je pouvais la bloquer de façon définitive face à moi, purement et simplement. Et ça, ce n'était vraiment pas malin. Mon empressement risquait fort de tout gâcher entre nous, même si il n'y avait absolument rien. Disons que j'avais peut-être sapé le peu de fondations que j'avais établi....
La regardant toujours, je la vis sortir de ses pensées, comme si elle avait été dans un autre monde le temps de mes reflexions. C'était d'ailleurs sûrement ça. Et puis sa voix un peu grave s'éleva avec une douceur et un trouble bien naturel. Ceci étant, Iseï ne leva pas une fois son regard évitant le mien. Sa gêne allait donc jusque là ?
Elle ne savait pas quoi dire où faire ? Moi qui pensait qu'elle me donnerait la gifle que je méritais.... Je restais silencieux un instant, avant de venir vers elle et m'accroupir devant elle qui était toujours assise. Il fallait que je fasse quelque chose pour qu'elle ne reste pas cdans cet émoi qui ne lui allait pas, même si il la rendait encore plus craquante.....
Ma voix monta alors, sur une note douce et rassurante.
- Vous avez plusieurs choix, à vrai dire... Soit me gifler en me traitant de salaud, soit vous lever et m'ignorer superbement.... Soit me rendre le baiser..... Les possibilités sont multiples, Iseï. A vous de savoir ce que vous dis votre coeur.
Il battait plus fort qu'il n'aurait dû, le mien. La belle Ourse me faisait elle donc tant d'effet pour que j'attende impatiemment sa réponse ?
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* Il y eu un long silence avant que Soren ne s'accroupisse devant-elle. Ce n'était pas vraiment à lui de donner une réponse, mais il semblait vouloir l'aider à sortir de son émois dans lequel elle semblait se noyer. Isei posa ses yeux sur lui, ses yeux de jade aviaent perdus un peu de leur froideur , c'était remarquable car ils semblaient plus vivant qu'il y a quelques instants.
Le Giffler... Non jamais elle oserait proter sa main sur lui, et il y avait moultes raisons, la première étant que c'était la personne qu'elle devait protéger, la seconde car c'était trop tard pour le faire et la troisième... car elle n'en avait pas envie, son coeur n'aurait pu se résoudre à le frapper... Son coeur? Allons bon depuis quand l'écoute t-elle?
Elle regarda Soren dans ses yeux azur et lui répondit simplement: *
Vous me troublez...
* Pour ne pas dire "vous me plaisez " ou bien "c'était agréable" car ces deux idées étaient vraies... mais elle n'était pas prête à livrer ses sentiments. C'était un apprentissage qu'elle devait faire encore. Il est vraie qu'elle avait un blocage, mais cela était surtout el résultat de la découverte et de sa vierginité dans tout les domaines de al relation homme/femme.
Son coeur battait très fort, peut être aussi vite que celui de Soren et ses joues ne eprdaient aps cette couleur de rosé fraiche sur sa peau. *
Restons en la..pour aujourdh'ui. Aucun de vos choix ne me convient, sans vouloir vous vexer.
* Elle avait trouvé cette réponse un peu simple mais c'était le seul choix qu'elle arrivait à faire. Mais Soren lui allait-il en rester la? Elle ne se posa pas la question. Tout ce qui al préocuppait était de ne plus se sentir à pied perdu. Elle n'avait ni envie de le blesser, ni envie de l'ignorer et l'idée de répondre àson baiser lui était improbable tout simplement.
Elle ne dis rien un moment, tournant la tête vers la table. *
Je vous ai coupé l'appétit...
* Isei n'aimait pas la tention qu'elle ressentait, car elle pensait que c'était entièrement de sa faute.. Dans ce cas comment aurait-elle du réagir? Elle n'en savait rien. On sentait qu'elle était un peu désemparée face à al situation, ne sachant pas quoi faire... Elle décida alors de se lever de table, Soren était surement décut d'avoir face à lui une femme frigide... c'est ce qu'elle pensait. *
Je ne suis pas une agréable compagnie pour..ça..
Le Giffler... Non jamais elle oserait proter sa main sur lui, et il y avait moultes raisons, la première étant que c'était la personne qu'elle devait protéger, la seconde car c'était trop tard pour le faire et la troisième... car elle n'en avait pas envie, son coeur n'aurait pu se résoudre à le frapper... Son coeur? Allons bon depuis quand l'écoute t-elle?
Elle regarda Soren dans ses yeux azur et lui répondit simplement: *
Vous me troublez...
* Pour ne pas dire "vous me plaisez " ou bien "c'était agréable" car ces deux idées étaient vraies... mais elle n'était pas prête à livrer ses sentiments. C'était un apprentissage qu'elle devait faire encore. Il est vraie qu'elle avait un blocage, mais cela était surtout el résultat de la découverte et de sa vierginité dans tout les domaines de al relation homme/femme.
Son coeur battait très fort, peut être aussi vite que celui de Soren et ses joues ne eprdaient aps cette couleur de rosé fraiche sur sa peau. *
Restons en la..pour aujourdh'ui. Aucun de vos choix ne me convient, sans vouloir vous vexer.
* Elle avait trouvé cette réponse un peu simple mais c'était le seul choix qu'elle arrivait à faire. Mais Soren lui allait-il en rester la? Elle ne se posa pas la question. Tout ce qui al préocuppait était de ne plus se sentir à pied perdu. Elle n'avait ni envie de le blesser, ni envie de l'ignorer et l'idée de répondre àson baiser lui était improbable tout simplement.
Elle ne dis rien un moment, tournant la tête vers la table. *
Je vous ai coupé l'appétit...
* Isei n'aimait pas la tention qu'elle ressentait, car elle pensait que c'était entièrement de sa faute.. Dans ce cas comment aurait-elle du réagir? Elle n'en savait rien. On sentait qu'elle était un peu désemparée face à al situation, ne sachant pas quoi faire... Elle décida alors de se lever de table, Soren était surement décut d'avoir face à lui une femme frigide... c'est ce qu'elle pensait. *
Je ne suis pas une agréable compagnie pour..ça..
Invité
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Les femmes sont de merveilleuses créatures, même si certaines sont vraiment des égnimes auquelles je n'aimais pas me frotter. Certes, je n'appréciais aucunement les femmes faciles qui n'avaient rien à m'apporter. Mais je devais avouer qu'Iseï devenait une sorte de "défi". Pour mon orgueuil mais aussi pour mes propres envies. Oui, mon coeur la désirait. Et je commencais que mes sentiments prenaient largement le pas sur mes hormones... Drôle de pensée, que je n'avais encore jamais éprouvée pour qui que ce soit. Et par le fait, j'ignorais tout simplement comment m'y prendre. Au final, j'avais l'impression de n'être pas vraiment plus expérimenté que ma garde du corps.
- Je.... Je comprends, oui. Ne vous en faites pas, je comprends.
Bien sûr, je comprenais sa volonté de ne pas user d'un des choix que je lui avais innocemment proposé, mais prendre ce refus catégorique d'agir de quelque façon que ce soit.... Dur à avaler. Je sentais sur ma langue un goût amer et je tentais de ne rien en montrer. Inutile de rajouter une couche supplémentaire, n'est ce pas ? Pff. Je me sentais minable pour le coup. Enfin bref, je ne devais pas chercher à me dévaloriser davantage et je ne devais pas plus la trainer plus bas qu'elle ne semblait se mettre.
- Ne vous souciez pas de mon appétit, j'ai simplement eu les yeux plus gros que le ventre. Et ne doutez plus de votre compagnie. Moi je l'apprécie, même si nous avosn visiblement du mal à nous.... Nous comprendre sur certains points.
Je me décidais finalement à la rejoindre, à pas penauds. Comment prendrait elle le fait que je "m'acharne" à la recherche de sa présence ? Je n'en avais aucune idée et à vrai dire, je ne pensais pas arpenter le bon chemin. Mais de toutes façons, maintenant que j'y étais je n'avais plus à reculer. Doucement, je passais derrière elle et l'enlacait au niveau de la taille, posant ma tête sur son épaule. Comme un couple, tout simplement.
- Deuxième essai.
Et sans plus attendre, je la fis pivoter dans mes bras, pour que nous nous retrouvions face à face. Et sans hésiter, je posais une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes, dans un baiser bine plus passionné et appliqué que le précédent. Ressentait elle tout ce que je faisais passer au moment où ma langue forca légèrement le passage pour venir caresser la sienne avec une tendresse infinie.
Comment réagirait elle, cette fois là ?
- Je.... Je comprends, oui. Ne vous en faites pas, je comprends.
Bien sûr, je comprenais sa volonté de ne pas user d'un des choix que je lui avais innocemment proposé, mais prendre ce refus catégorique d'agir de quelque façon que ce soit.... Dur à avaler. Je sentais sur ma langue un goût amer et je tentais de ne rien en montrer. Inutile de rajouter une couche supplémentaire, n'est ce pas ? Pff. Je me sentais minable pour le coup. Enfin bref, je ne devais pas chercher à me dévaloriser davantage et je ne devais pas plus la trainer plus bas qu'elle ne semblait se mettre.
- Ne vous souciez pas de mon appétit, j'ai simplement eu les yeux plus gros que le ventre. Et ne doutez plus de votre compagnie. Moi je l'apprécie, même si nous avosn visiblement du mal à nous.... Nous comprendre sur certains points.
Je me décidais finalement à la rejoindre, à pas penauds. Comment prendrait elle le fait que je "m'acharne" à la recherche de sa présence ? Je n'en avais aucune idée et à vrai dire, je ne pensais pas arpenter le bon chemin. Mais de toutes façons, maintenant que j'y étais je n'avais plus à reculer. Doucement, je passais derrière elle et l'enlacait au niveau de la taille, posant ma tête sur son épaule. Comme un couple, tout simplement.
- Deuxième essai.
Et sans plus attendre, je la fis pivoter dans mes bras, pour que nous nous retrouvions face à face. Et sans hésiter, je posais une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes, dans un baiser bine plus passionné et appliqué que le précédent. Ressentait elle tout ce que je faisais passer au moment où ma langue forca légèrement le passage pour venir caresser la sienne avec une tendresse infinie.
Comment réagirait elle, cette fois là ?
Invité
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* Soren se disait compréhensif. Mais la jeune femme ne semblait pas vraiment se comprendre elle même,la situation pourtant simple était d'une complexité aîgue et inconnue pour elle, la mettant dans un mal être qu'elle avait du mal à maitriser.
Soren aussi ne semblait pas à l'aise, ou tout du moins c'est la tension qui planait qui en donnait l'impression. Même si il disait avoir le syeux plus gros que le ventre, Isei était persuadé qu'elle était la cause de sa perte d'appétit. L' ourse restait sans rien dire, l'écoutant et tentant de calmer cette peur qui l'agaçait. Il était clair qu'ils ne se comprennaient pas sur certains point de vu..non.. plutôt que "elle" ne comprenait pas, ni ce qu'il voulait lui faire ni le bien qu'il pouvait lui donner. Isei était une garde du corps, son but et de garder les gens loin d'elle... Soren ne savait pas qu'il était le seul a se tenir aussi prêt de la grande Ourse, à la toucher comme il le fit.*
*Perdu dans son brouillard, celui-ci se dissipa lentement et non plus brutalement. Il venait de la prendre dans ses bras, posant sa tête sur son épaule comme un mari attentionné. L'image fint la frapper. Son coeur repartit galoper à folle allure, le jeune homme pouvait sentir que son corps tremblait un peu comme si il ébranlait quelque chose de profond. Isei ouvrit la bouche pour esseyer de dire quelque chose... Mais rien ne sortit tout dessuite.
Un bruit de métal tremblant se fit entendre, Isei ne faisait trahir par sa propre armure .
Mais au fond était-ce si insuportable que ça? Non.. Bien sur que non! C'était même tellement agréable de sentir cet homme contre elle, de sentir ses bras l'envelopper que l' Ourse perdait tout ses moyens et l'envie de le repousser.*
Personne.... Personne ne m'a autant approché...
*Oui c'est vrai.. Le premier homme à la toucher ainsi, à lui adresser des gestes chaleureux et tendres.... Allons donc qu'était-ce ce picotement? Ses yeux lui brûlaient un peu.
"Deuxieme essai" ces mots la firent trembler, Soren guida son corps en la mettant face à lui, découvrant le visage d'une femme perdue, noyée dans ses propres émotions: le visage chaud, le pouls rapide et l'inquiétude. Sans attendre une seconde de plus, il l'embrassa. Et d'une manière bien plus innatendue que la première fois.
Isei fut prise d'une raideur dans tout son corps, paralysée au contact de la langue de Soren sur la sienne. Une bouffé incroyable de chaleur lui fit tourner le sang en un tour, sa tête tournait et ses grand yeux verts grand ouvert fixaient le vide.
Le masque de Kuma s'était brisé... découvrant un visage expressif.*
*Son odeur, la douceur de sa langue et de ses lèvres, la virilité de ses bras, sa tendresse... C'était une étrange agonie, l'agonie ou Isei quittait le monde réel pour se sentir transporter ailleurs... sa raideur disparait, et ses jambes tremblent. Soren pouvait sentir que si il ne la serrait pas contre lui, elle tomberait.
Un simple baiser emplit de passion pour la mettre dans cet état? Qu'en serait-il du reste? Si suite il y a bien sur... Mais dire cela était une évidence, ils se plaisent, mais l'un et l'autre l'ignoraient. Cela prendra surement un bout de chemin avant que cela ne soit une évidence plus que palpable.*
*Isei se laissait faire. C'était...délicieux. Ses yeux finissent pas se clore lentement. Etrangement, elle se sentit de plus en plus en paix, apréciant ce baiser et sa saveur suave et sensuelle. Ce n'est pas professionnel... pensa t-elle... Mais c'était trop tard. Quel mal y avait-il d'avoir une vie pour soit? Avoir une vie...privé... Elle n'y avait jamais songé.
Le souffle saccadé de Isei était étoufé apr ce baiser mais des soupires arrivèrent à se faire entendre.. Ce n'était pas des soupires de lassitude, ou encore d'énervement, bien au contraire et Soren était-il apte a comprendre leur signification? Qui sait, l' Ourse est une barrière de glace qui vient à peine de s'ouvrir. Quand à elle , elle découvrait cet homme un peu plus et ce ne fut pas pour lui déplaire.
Etant vierge et éduquée dans la droiture, ce n'était pas le sexe qui l'attirait vers lui mais des sentiments bien plus nobles....
Quand Soren se recula, Isei reprenait son souffle et n'osait plus le regarder en face*
Pourquoi... Vous faites cela...? Pourquoi ça me trouble autant...
*Toutes ces interrogations n'étaient pas un reproche, cela s'entednait dans sa voix tremblante. C'était les questions d'une femme qui avait peur de se qu'elle ressentait car tout était nouveau. Son visage de marbre était méconnaissable par ses rougeurs et les traits expressif qu'il arborait désormais.*
Soren aussi ne semblait pas à l'aise, ou tout du moins c'est la tension qui planait qui en donnait l'impression. Même si il disait avoir le syeux plus gros que le ventre, Isei était persuadé qu'elle était la cause de sa perte d'appétit. L' ourse restait sans rien dire, l'écoutant et tentant de calmer cette peur qui l'agaçait. Il était clair qu'ils ne se comprennaient pas sur certains point de vu..non.. plutôt que "elle" ne comprenait pas, ni ce qu'il voulait lui faire ni le bien qu'il pouvait lui donner. Isei était une garde du corps, son but et de garder les gens loin d'elle... Soren ne savait pas qu'il était le seul a se tenir aussi prêt de la grande Ourse, à la toucher comme il le fit.*
*Perdu dans son brouillard, celui-ci se dissipa lentement et non plus brutalement. Il venait de la prendre dans ses bras, posant sa tête sur son épaule comme un mari attentionné. L'image fint la frapper. Son coeur repartit galoper à folle allure, le jeune homme pouvait sentir que son corps tremblait un peu comme si il ébranlait quelque chose de profond. Isei ouvrit la bouche pour esseyer de dire quelque chose... Mais rien ne sortit tout dessuite.
Un bruit de métal tremblant se fit entendre, Isei ne faisait trahir par sa propre armure .
Mais au fond était-ce si insuportable que ça? Non.. Bien sur que non! C'était même tellement agréable de sentir cet homme contre elle, de sentir ses bras l'envelopper que l' Ourse perdait tout ses moyens et l'envie de le repousser.*
Personne.... Personne ne m'a autant approché...
*Oui c'est vrai.. Le premier homme à la toucher ainsi, à lui adresser des gestes chaleureux et tendres.... Allons donc qu'était-ce ce picotement? Ses yeux lui brûlaient un peu.
"Deuxieme essai" ces mots la firent trembler, Soren guida son corps en la mettant face à lui, découvrant le visage d'une femme perdue, noyée dans ses propres émotions: le visage chaud, le pouls rapide et l'inquiétude. Sans attendre une seconde de plus, il l'embrassa. Et d'une manière bien plus innatendue que la première fois.
Isei fut prise d'une raideur dans tout son corps, paralysée au contact de la langue de Soren sur la sienne. Une bouffé incroyable de chaleur lui fit tourner le sang en un tour, sa tête tournait et ses grand yeux verts grand ouvert fixaient le vide.
Le masque de Kuma s'était brisé... découvrant un visage expressif.*
*Son odeur, la douceur de sa langue et de ses lèvres, la virilité de ses bras, sa tendresse... C'était une étrange agonie, l'agonie ou Isei quittait le monde réel pour se sentir transporter ailleurs... sa raideur disparait, et ses jambes tremblent. Soren pouvait sentir que si il ne la serrait pas contre lui, elle tomberait.
Un simple baiser emplit de passion pour la mettre dans cet état? Qu'en serait-il du reste? Si suite il y a bien sur... Mais dire cela était une évidence, ils se plaisent, mais l'un et l'autre l'ignoraient. Cela prendra surement un bout de chemin avant que cela ne soit une évidence plus que palpable.*
*Isei se laissait faire. C'était...délicieux. Ses yeux finissent pas se clore lentement. Etrangement, elle se sentit de plus en plus en paix, apréciant ce baiser et sa saveur suave et sensuelle. Ce n'est pas professionnel... pensa t-elle... Mais c'était trop tard. Quel mal y avait-il d'avoir une vie pour soit? Avoir une vie...privé... Elle n'y avait jamais songé.
Le souffle saccadé de Isei était étoufé apr ce baiser mais des soupires arrivèrent à se faire entendre.. Ce n'était pas des soupires de lassitude, ou encore d'énervement, bien au contraire et Soren était-il apte a comprendre leur signification? Qui sait, l' Ourse est une barrière de glace qui vient à peine de s'ouvrir. Quand à elle , elle découvrait cet homme un peu plus et ce ne fut pas pour lui déplaire.
Etant vierge et éduquée dans la droiture, ce n'était pas le sexe qui l'attirait vers lui mais des sentiments bien plus nobles....
Quand Soren se recula, Isei reprenait son souffle et n'osait plus le regarder en face*
Pourquoi... Vous faites cela...? Pourquoi ça me trouble autant...
*Toutes ces interrogations n'étaient pas un reproche, cela s'entednait dans sa voix tremblante. C'était les questions d'une femme qui avait peur de se qu'elle ressentait car tout était nouveau. Son visage de marbre était méconnaissable par ses rougeurs et les traits expressif qu'il arborait désormais.*
Invité
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Aprés notre baiser langoureux, je décidais donc de m'écarter. Durant notre échange, je m'étais fait attentif à tout ce qui venait d'elle pour m'assurer de chacun de ses gestes et de chacune de ses réactions. Iseï sembla d'abord vaciller le temps des tout premiers instants et se montrait peu réceptive, du moins le percevais-je ainsi. Je n'abandonnais pas pour autant, me faisant petit à petit plus enflammé encore. Ma langue jouait avec la sienne tandis que mes bras ré-affirmaient leur étreinte sur ma belle protectrice au corps divin. Sa poitrine imposante se pressait contre mon buste et je dûs me retenir de ne pas venir la saisir à pleine main. Avec Iseï, il me faudrait m'armer de patience, mais je ne doutais pas que celle çi vienne à payer.
D'abord droite comme la justice et semblant incapable de faire un geste, Kuma vint à se laisser faire, probablement emportée par la passion du moment. J'ouvrais quelque peu mes yeux pour constater avec bonheur que les siens s'étaient clos. Et peu avant, je l'avais senti baisser sa garde et se relâcher un peu et ma cuisse contre la sienne m'avait informée d'un léger tremblement de ses jambes. Iseï commençait elle à apprécier pour de bon ? Si c'était le cas, je m'en flattais intérieurement. Je la voulais tant physiquement et sentimentalement et si cela n'avait tenu qu'a moi, je lui aurais tout bonnement fait l'amour sur cette table de cuisine.
Soudain, je me rendis qompte que la seule chose qui la maintenait debout était la seule étreinte que je lui infligeait. Doucement je la fis reculer, pour qu'elle puisse poser ses jolies fesses rebondies sur le bord du plan de travail. Alors que j'achevais doucement mon baiser, je me demandais pourquoi cette femme m'attirait tant.... Et aussi pourquoi je ne lui sautais pas simplement dessus.
Finalement, je quittais ses lèvres tout en gardant le reste de sa jolie personne dans mes bras et me prit à l'observer à loisir, sans mot dire. Vraiment, Iseï était craquante sans cette facade de froideur qu'elle avait arboré jusque là. Son visage aux traits harmonieux s'était détendu et avait prit quelques couleurs tendant vers le rosacé, ce qui lui allait à merveille.
Puis j'entendis ses petits soupirs qui montaient doucement dans l'air devenu plus chaud de la cuisine. A vrai dire, j'avais du mal à les interpreter, bien que je fûs persuadé qu'ils n'étaient pas nés de la fatigue où même de l'énervement. De plus, je persistais à croire que si Isei avait voulu me faire payer mon geste, elle ne se serait pas gênée.
Docile, je me décidais à faire quelques pas en arrière pour ne plus entrer dans son espace d'intimité. Bien évidemment, je ne cessais de la regarder et m'aperçus trés rapidement qu'elle gardait les yeux baissés, fuyant mon regard. L'intimidais-je donc à ce point ? Non... Ce baiser et ma hardiesse l'intimidaient donc à ce point ? Possible, oui. Elle disait ne jamais avoir connu de compagnie, aprés tout....
Avant de répondre à sa question sur la justification de mes actes, je me massais un peu la nuque. J'étais un peu mal à l'aise, même si je restais intimement persuadé que tout cela ne lui avait aucunement déplut. Il y avait d'autres façons de faire pour accorder un premier baiser et ma nature animale avait peut-être reprit un peu le dessus.
- Je.... hmmpf.... J'ai fais cela parce que vous me plaisez, tout simplement. Vous avez un corps superbe et un esprit que j'apprécie à sa juste valeur. Vous m'attirez, en somme.
Je laissais planer ces mots quelques secondes avant d'enchainer pour avancer à nouveau vers elle.
- Aprés, j'ignore la raison exacte de la nature de vos troubles. Est ce simplement parce que vous découvrez ces étreintes ? Où parce que je vous plais ? Vous êtes la seule à pouvoir répondre. Que vous dis votre coeur, Iseï ?
A gestes lents et mesurés, je vins passer mes bras autour de sa taille, intimement persuadé qu'elle ne me repousserait pas. Ce n'était pas forcément vrai, mais j'avais envie d'y croire, simplement. Une nouvelle fois, j'appliquais mes lèvres contre les siennes, pour un baiser léger, presque prude comparé à celui que nous avions achevé quelques minutes auparavant.
- ....Que vous dis votre coeur ?
D'abord droite comme la justice et semblant incapable de faire un geste, Kuma vint à se laisser faire, probablement emportée par la passion du moment. J'ouvrais quelque peu mes yeux pour constater avec bonheur que les siens s'étaient clos. Et peu avant, je l'avais senti baisser sa garde et se relâcher un peu et ma cuisse contre la sienne m'avait informée d'un léger tremblement de ses jambes. Iseï commençait elle à apprécier pour de bon ? Si c'était le cas, je m'en flattais intérieurement. Je la voulais tant physiquement et sentimentalement et si cela n'avait tenu qu'a moi, je lui aurais tout bonnement fait l'amour sur cette table de cuisine.
Soudain, je me rendis qompte que la seule chose qui la maintenait debout était la seule étreinte que je lui infligeait. Doucement je la fis reculer, pour qu'elle puisse poser ses jolies fesses rebondies sur le bord du plan de travail. Alors que j'achevais doucement mon baiser, je me demandais pourquoi cette femme m'attirait tant.... Et aussi pourquoi je ne lui sautais pas simplement dessus.
Finalement, je quittais ses lèvres tout en gardant le reste de sa jolie personne dans mes bras et me prit à l'observer à loisir, sans mot dire. Vraiment, Iseï était craquante sans cette facade de froideur qu'elle avait arboré jusque là. Son visage aux traits harmonieux s'était détendu et avait prit quelques couleurs tendant vers le rosacé, ce qui lui allait à merveille.
Puis j'entendis ses petits soupirs qui montaient doucement dans l'air devenu plus chaud de la cuisine. A vrai dire, j'avais du mal à les interpreter, bien que je fûs persuadé qu'ils n'étaient pas nés de la fatigue où même de l'énervement. De plus, je persistais à croire que si Isei avait voulu me faire payer mon geste, elle ne se serait pas gênée.
Docile, je me décidais à faire quelques pas en arrière pour ne plus entrer dans son espace d'intimité. Bien évidemment, je ne cessais de la regarder et m'aperçus trés rapidement qu'elle gardait les yeux baissés, fuyant mon regard. L'intimidais-je donc à ce point ? Non... Ce baiser et ma hardiesse l'intimidaient donc à ce point ? Possible, oui. Elle disait ne jamais avoir connu de compagnie, aprés tout....
Avant de répondre à sa question sur la justification de mes actes, je me massais un peu la nuque. J'étais un peu mal à l'aise, même si je restais intimement persuadé que tout cela ne lui avait aucunement déplut. Il y avait d'autres façons de faire pour accorder un premier baiser et ma nature animale avait peut-être reprit un peu le dessus.
- Je.... hmmpf.... J'ai fais cela parce que vous me plaisez, tout simplement. Vous avez un corps superbe et un esprit que j'apprécie à sa juste valeur. Vous m'attirez, en somme.
Je laissais planer ces mots quelques secondes avant d'enchainer pour avancer à nouveau vers elle.
- Aprés, j'ignore la raison exacte de la nature de vos troubles. Est ce simplement parce que vous découvrez ces étreintes ? Où parce que je vous plais ? Vous êtes la seule à pouvoir répondre. Que vous dis votre coeur, Iseï ?
A gestes lents et mesurés, je vins passer mes bras autour de sa taille, intimement persuadé qu'elle ne me repousserait pas. Ce n'était pas forcément vrai, mais j'avais envie d'y croire, simplement. Une nouvelle fois, j'appliquais mes lèvres contre les siennes, pour un baiser léger, presque prude comparé à celui que nous avions achevé quelques minutes auparavant.
- ....Que vous dis votre coeur ?
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Soren avait sentit sa garde du corps faillir, ne tenant sur ses jambes que grâce à son étreinte. Il la fit reculer doucement, Isei s'assit au bord de la table les jambes tremblantes tel un chevreuil frêle en proie à un doux prédateur. Son coeur battait comme s'il pouvait se rompre à tout moment. Mais.. Cette douleur était agréable.. Comment était-ce possible? Une douleur agréable.. une douce torture qui faisait trembler son corps.
Isei se perdait encore plus à chaque secondes ou ce baiser se prolongeait. Et quand il recula pour séparer ses lèvres des siennes. Les quelques secondes qui suivièrent durèrent un éternel instant, il fit quelques pas en arrière, la jeune femme se sentit plus calme.. Mais pourquoi ce fut avec remord qu'elle regretta cette sérénité qui revenanait?
Plus détendue tout de même, elle se décripa, laissant ses jambes s'ouvrirent montrant sa que sa peur de disipait un peu.
Assise sur la table, les jambes serrées qui pouvaient illustrer sa timidit éprofonde, la jeune femme fuyait le regard de Soren. Qui aurait cru cela...
Les premières phrases de Soren furent des flatteries sur sa personne. Elle lui plaisit. Et isei avait du mal à comprendre le concept de "plaire" et que cela engendrais le désir, l'envie. Elle avait toujours vu ses anciens patrons coucher avec des femmes comme si c'était un besoin naturel comme manger, dénué de sentiments ou de réelle raisons. Un besoin qu'elle n'avait jamais éprouvé et que donc elle trouvait artificiel.. Mais quand elle repensa à ces images, son corp fut prit d'un étrange frison et une étrange sensation de fourmi lui prit le bassin. Elle rougit un peu plus. Vraiment elle n'était plus maitresse de rien, pas même d'elle même.
Etait-ce pour lui déplaire? Bizzarement...Non.
Soren se raprocha lentement d'elle en lui posant des questions simples mais pourtant se refletant d'une extrême complexité dans le regard fuyant de la grand Ourse.
"Que vous dis votre coeur?" cela résonnait dans sa tête, et le fait de ne pas trouver de réponse la paniquait un peu. Elle respirait de plus en plus vite à chaque pas que fit Soren vers elle.
J...Je n'ai jamais apprit à l'écouter...
Il passa ses bras autour d'elle. Il était la.. juste la bientôt contre elle, entre ses jambes à elle qui se remirent à trembler de nouveau alors qu'il n'avait encore rien fait. Ce n'était pas de la peur.. elle le réalisa soudainement... il posa ses lèvres, come une lpume légère sur ses lèvres, avant de lui reponser sa question plus lentement... Elle leva enfin les yeux vers lui. Ils étaient si troublés ces yeux, et brillants
Tout...
Un simple mot.. ce fut tout, pour dire tout. Un seul pour résumer tout ce qu'elle ressentait. Soren avait résumé lui même, mais ce n'était pas un seul de ces éléments cité.. Mais tous. Isei baissa immédiatement les yeux, désemparé par al situation ,elle n'avait plsu d'armes ni d'initiative. Paralysée par ses propres sentiments.
Isei se perdait encore plus à chaque secondes ou ce baiser se prolongeait. Et quand il recula pour séparer ses lèvres des siennes. Les quelques secondes qui suivièrent durèrent un éternel instant, il fit quelques pas en arrière, la jeune femme se sentit plus calme.. Mais pourquoi ce fut avec remord qu'elle regretta cette sérénité qui revenanait?
Plus détendue tout de même, elle se décripa, laissant ses jambes s'ouvrirent montrant sa que sa peur de disipait un peu.
Assise sur la table, les jambes serrées qui pouvaient illustrer sa timidit éprofonde, la jeune femme fuyait le regard de Soren. Qui aurait cru cela...
Les premières phrases de Soren furent des flatteries sur sa personne. Elle lui plaisit. Et isei avait du mal à comprendre le concept de "plaire" et que cela engendrais le désir, l'envie. Elle avait toujours vu ses anciens patrons coucher avec des femmes comme si c'était un besoin naturel comme manger, dénué de sentiments ou de réelle raisons. Un besoin qu'elle n'avait jamais éprouvé et que donc elle trouvait artificiel.. Mais quand elle repensa à ces images, son corp fut prit d'un étrange frison et une étrange sensation de fourmi lui prit le bassin. Elle rougit un peu plus. Vraiment elle n'était plus maitresse de rien, pas même d'elle même.
Etait-ce pour lui déplaire? Bizzarement...Non.
Soren se raprocha lentement d'elle en lui posant des questions simples mais pourtant se refletant d'une extrême complexité dans le regard fuyant de la grand Ourse.
"Que vous dis votre coeur?" cela résonnait dans sa tête, et le fait de ne pas trouver de réponse la paniquait un peu. Elle respirait de plus en plus vite à chaque pas que fit Soren vers elle.
J...Je n'ai jamais apprit à l'écouter...
Il passa ses bras autour d'elle. Il était la.. juste la bientôt contre elle, entre ses jambes à elle qui se remirent à trembler de nouveau alors qu'il n'avait encore rien fait. Ce n'était pas de la peur.. elle le réalisa soudainement... il posa ses lèvres, come une lpume légère sur ses lèvres, avant de lui reponser sa question plus lentement... Elle leva enfin les yeux vers lui. Ils étaient si troublés ces yeux, et brillants
Tout...
Un simple mot.. ce fut tout, pour dire tout. Un seul pour résumer tout ce qu'elle ressentait. Soren avait résumé lui même, mais ce n'était pas un seul de ces éléments cité.. Mais tous. Isei baissa immédiatement les yeux, désemparé par al situation ,elle n'avait plsu d'armes ni d'initiative. Paralysée par ses propres sentiments.
Invité
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A la réponse de ma belle ourse, je souriais tendrement. Iseï avait un côté tellement touchant de par ses manières tellement à l'opposé de sa façon d'être ! Une parfaite facade qui finalement s'écroulait pour dévoiler son "moi" profond. Je supposais que personne avant moi ne s'était attardé sur ce terrain quelque peu glissant et destabilisant, pour elle... Comme pour moi. Et oui, j'étais loin d'être habitué à ces sensations nouvelles pour moi. Cette attirance brute et indistincte que j'avais pour elle, au delà du sexe et de ses à-côté était nouvelle pour moi. Jamais aucune femme n'avait sut éveiller cela en mon for intérieur et quelque part, j'étais persuadé que cela n'arriverait pas. Pas à moi, jamais. Visiblement j'étais dans l'erreur et l'arrivée d'Iseï Kuma dans ma vie tendait à me le démontrer.
Amour ? Le mot est encore bien trop fort pour être juste. Mais je n'étais pas assez bête pour nier que quelque chose s'installait doucement en moi, une chaleur qui me prenait le coeur et que me donnait envie d'être avec elle tout simplement.
Doucement, je lui fis relever le menton une nouvelle fois espérant qu'elle ne tenterait pas de fuir mon regard. Ma voix était douce et tranquille, basse mais suffissante pour qu'elle saisisse le moindre de mes mots.
- Je me ferais professeur, en ce cas. Je vous enseignerais l'écoute de votre coeur et de vos envies.... Cela ne peut vous être que bénéfique.
Se conformer à une image n'était jamais trés bon. La preuve vivante était en face de moi. Une femme superbe avec un corps de rêve, mais qui pour le sacro-saint paraître avait oublié beaucoup de sa féminité. Surement une histoire de travail et d'éducation à la dure, mais tout de même. Quel gâchis que cette demoiselle ignorante des plus belles choses de la vie qu'étaient l'affection et le sexe. Si d'aventure elle se montrait receptive, je me ferais fort de lui montrer ces chemins encore vierges pour les arpenter à ses côtés.
- Tout ? Alors dites moi oui. Dites moi que vous allez oublier nos rangs et nos obligations. Dites moi que ce soir vous êtes ma compagne.... Et pourquoi pas pour plus qu'un soir....
Mes lèvres frôlerent les siennes en une caresse tandis que je vins finalement embrasser le creux de son cou, laissant mon souffle faire frémir doucement sa peau douce et soyeuse. Ma main vint finalement chercher la sienne et dans un ballet parfaitement orchestré, mes doigts se mêlerent aux siens en une prise bien connue des amoureux. Contre mon torse je sentais son opulente poitrine s'écraser de façon érotique et sans qu'elle ne le cherche vraiment, du moins je le supposais.
Doucement, je calais mon front contre le sien.
- A votre tour, Iseï.
Mon regard plongea une fois encore dans le sien, cherchant à lui insuffler le courage qui lui manquerait peut-être à la suite de ce que j'allais lui demander.
- ....Embrassez moi.
Amour ? Le mot est encore bien trop fort pour être juste. Mais je n'étais pas assez bête pour nier que quelque chose s'installait doucement en moi, une chaleur qui me prenait le coeur et que me donnait envie d'être avec elle tout simplement.
Doucement, je lui fis relever le menton une nouvelle fois espérant qu'elle ne tenterait pas de fuir mon regard. Ma voix était douce et tranquille, basse mais suffissante pour qu'elle saisisse le moindre de mes mots.
- Je me ferais professeur, en ce cas. Je vous enseignerais l'écoute de votre coeur et de vos envies.... Cela ne peut vous être que bénéfique.
Se conformer à une image n'était jamais trés bon. La preuve vivante était en face de moi. Une femme superbe avec un corps de rêve, mais qui pour le sacro-saint paraître avait oublié beaucoup de sa féminité. Surement une histoire de travail et d'éducation à la dure, mais tout de même. Quel gâchis que cette demoiselle ignorante des plus belles choses de la vie qu'étaient l'affection et le sexe. Si d'aventure elle se montrait receptive, je me ferais fort de lui montrer ces chemins encore vierges pour les arpenter à ses côtés.
- Tout ? Alors dites moi oui. Dites moi que vous allez oublier nos rangs et nos obligations. Dites moi que ce soir vous êtes ma compagne.... Et pourquoi pas pour plus qu'un soir....
Mes lèvres frôlerent les siennes en une caresse tandis que je vins finalement embrasser le creux de son cou, laissant mon souffle faire frémir doucement sa peau douce et soyeuse. Ma main vint finalement chercher la sienne et dans un ballet parfaitement orchestré, mes doigts se mêlerent aux siens en une prise bien connue des amoureux. Contre mon torse je sentais son opulente poitrine s'écraser de façon érotique et sans qu'elle ne le cherche vraiment, du moins je le supposais.
Doucement, je calais mon front contre le sien.
- A votre tour, Iseï.
Mon regard plongea une fois encore dans le sien, cherchant à lui insuffler le courage qui lui manquerait peut-être à la suite de ce que j'allais lui demander.
- ....Embrassez moi.
Invité
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*L'embarras de la situation mettait Isei dos au mur, lui donnant l'impression qu'elle ne pouvais plus fuir devant cet homme mais surtout devant ses propres sentiments. Cela lui donnait l'étrange impression d'avoir raté quelque chose durant toute sa vie jusque ici. Il lui releva délicatement lementon, affronter le regard du bel homme fut difficile mais i létait très tendre et se voulait rassurer... Elle ne le connaisai depuis qu'un seul jour, comment opuvait-il tomber aussi vite dans ses bras?
Est-ce ce qu'on nomme "coup de foudre?" ou est-ce juste une attirance?... Quelquu'n qui n'a jamais aimé ne peux pas se donner de réponse à soit même, elle devait tout découvrir pour trouver le vrai. Mais cet éclat dans le syeux de Soren lui montrait que cette atirance qu'il éprouvait pour elle dépassait l'attraction charnelle. Il la désirait également,certe, mais Isei ne sais aps ce que veux dire "avoir envie de quelqu'un"*
- N...Ne peut être que bénéfique...?
*Dit-il pour reprendre ses mots. Elle avait du mal à se faire une idée sur ce que tout cela pouvait lui apporter.. En y réfléchissant un peu c'était... agréable d'être prêt de lui.. cette sensation n'était que fort apréciable devait-elle s'avouer.
Dans tout les cas, si Isei accpete elle devra remettre en cause son éducation spartiate de son enfance auquel elle croyait depuis toujours. Au final que lui à apporter son père? un métier qui lui permet de vivre dans un appartemente t de manquer de rien.. Et après? Etre efficace et recommandé... Isei se rendit compte qu'il manquait quelque chose dans sa vie trop morne malgré l'action de ses missions. Soren la retira de ses pensée de sa voix sensuelle, le moindre de ses mots semblaient prononcés pour la rassurer mais aussi tenter d'attiser sa curiosité, son envie dissimulée au fond de son coeur de glace.
Ses lèvres frôlèrent celle de l'Ourse qui frémit et fermait déjà ses yeux de serpentine. Se resserant contre elle, il déposa ses lèvrse douces à son cou avant de lui prendre tendrement sa main droite pour la serrer. une simple étreinte mais qui fit soupirer l' Ourse semblant fondre sous le souffle de Soren dans son coup.
C'était bon... Erotique et délcieusement bon ...
Il cessa lentement ses attentions pour poser son front au sien. Isei rouvrit doucement ses yeux pour le regarder. Son regard était vif et doux à la fois, Isei ne s'attendait pas à ce qu'l lui demande ... de l'embrasser. La jeune femme semblait paniquer sans pour autant bouger, ses yeux l'exprimait clairement. Sa poitrine posée contre le torse de Soren gonflait sous une respiration de plus profonde: elle tentait de se calmer, de ne pas céder à la peur.*
- Je..ne pourrais ...
*Elle baissa ses yeux, mais non pas pour fuir... elle regardait ses lèvres masculine, plenes de sensualité et capable de la faire frisonner... elle repensa aux baisé passioné qu'ils ont échangé... Etait-elle capable de faire de même?
Fixant toujours ces lèvres et après un instant sans bouger qui semblait trop long, elle approcha son visage de Soren.
Ses lèvres effleurèrent les siennes suivit d'un frémissement qui parcourru tout son corps.*
- ..pourrais pas...
Elle éffleura encore ses lèvres et finit par fermer les yeux. Leur souffle se mêlaient et la belle ourse sentait ces étranges papilons frémissant en elle au niveau de ses reins.
Enfin elle posa concrètement ses lèvres , délicatement, comme une plume. Mais... que doit-elle faire maintenant?
Est-ce ce qu'on nomme "coup de foudre?" ou est-ce juste une attirance?... Quelquu'n qui n'a jamais aimé ne peux pas se donner de réponse à soit même, elle devait tout découvrir pour trouver le vrai. Mais cet éclat dans le syeux de Soren lui montrait que cette atirance qu'il éprouvait pour elle dépassait l'attraction charnelle. Il la désirait également,certe, mais Isei ne sais aps ce que veux dire "avoir envie de quelqu'un"*
- N...Ne peut être que bénéfique...?
*Dit-il pour reprendre ses mots. Elle avait du mal à se faire une idée sur ce que tout cela pouvait lui apporter.. En y réfléchissant un peu c'était... agréable d'être prêt de lui.. cette sensation n'était que fort apréciable devait-elle s'avouer.
Dans tout les cas, si Isei accpete elle devra remettre en cause son éducation spartiate de son enfance auquel elle croyait depuis toujours. Au final que lui à apporter son père? un métier qui lui permet de vivre dans un appartemente t de manquer de rien.. Et après? Etre efficace et recommandé... Isei se rendit compte qu'il manquait quelque chose dans sa vie trop morne malgré l'action de ses missions. Soren la retira de ses pensée de sa voix sensuelle, le moindre de ses mots semblaient prononcés pour la rassurer mais aussi tenter d'attiser sa curiosité, son envie dissimulée au fond de son coeur de glace.
Ses lèvres frôlèrent celle de l'Ourse qui frémit et fermait déjà ses yeux de serpentine. Se resserant contre elle, il déposa ses lèvrse douces à son cou avant de lui prendre tendrement sa main droite pour la serrer. une simple étreinte mais qui fit soupirer l' Ourse semblant fondre sous le souffle de Soren dans son coup.
C'était bon... Erotique et délcieusement bon ...
Il cessa lentement ses attentions pour poser son front au sien. Isei rouvrit doucement ses yeux pour le regarder. Son regard était vif et doux à la fois, Isei ne s'attendait pas à ce qu'l lui demande ... de l'embrasser. La jeune femme semblait paniquer sans pour autant bouger, ses yeux l'exprimait clairement. Sa poitrine posée contre le torse de Soren gonflait sous une respiration de plus profonde: elle tentait de se calmer, de ne pas céder à la peur.*
- Je..ne pourrais ...
*Elle baissa ses yeux, mais non pas pour fuir... elle regardait ses lèvres masculine, plenes de sensualité et capable de la faire frisonner... elle repensa aux baisé passioné qu'ils ont échangé... Etait-elle capable de faire de même?
Fixant toujours ces lèvres et après un instant sans bouger qui semblait trop long, elle approcha son visage de Soren.
Ses lèvres effleurèrent les siennes suivit d'un frémissement qui parcourru tout son corps.*
- ..pourrais pas...
Elle éffleura encore ses lèvres et finit par fermer les yeux. Leur souffle se mêlaient et la belle ourse sentait ces étranges papilons frémissant en elle au niveau de ses reins.
Enfin elle posa concrètement ses lèvres , délicatement, comme une plume. Mais... que doit-elle faire maintenant?
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