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Elle était prise… Soupirant devant la fatalité et devant les hommes qui lui tenait les bras dans le dos, son destin était scellé. Maudissant son manque d’habileté a se camouflé, elle se laissa entrainer, mais ceci dit, en ne leur laissant pas la chose facile. Ses mains se faisaient allés de droite a gauche pour se libérer tandis que ses pieds tentait d’atteindre les chevilles de ses tortionnaires. Peine perdue. Étant capable de se défaire de ses geôliers, elle se laissa entrainer avec une inquiétante docilité comparé a la sauvagerie qu’elle avait fait pour se défendre il y a de cela même pas quelques minutes. Elle n’était pas cinglée, bien au contraire! Elle calculait les cartes en ses mains qui pourrait l’aider a une prochaine fuite.
*Aller ma grande… je suis capable, je dois m’évader*
Sa… c’était il y a environ une heure déjà. En se moment, je suis dans une salle, humide. J’ignore ou je suis. Mes… kidnappeurs… si on peut les appeler comme sa, m’y ont jeté comme si j’étais un vulgaire sac de déchet. Même si je suis une humaine, je ne mérite pas une telle méprise. Mais pour eux si… qu’ais-je fait pour mériter autant la haine de l’autre race? Était-je hideuse? Impolie? Juste pas née au bon moment? Aucune de mes questions hélas auraient une réponse. Une chaise dans la place avait l’air assez solide pour supporter mon poids et m’y dirigeai avec lassitude, me demandant ce qui allait bien se produire de moi. Allais-je vraiment être vendue comme une esclave a une personne dont je ne connaissais rien pour le servir avec soumission? C’était… incompréhensible. Fouillant dans la poche de mon pantalon, je sortit une photo de ma famille. Caressant la joue de ma mère et frère et sœurs, je ne put que me rendre a l’évidence. Une nouvelle vie commençait pour moi et je n’étais pas sure de l’apprécier pour l’instant. Entendant des pas de l’autre coté de la porte, je camouflai rapidement la photo dans mon soutient-gorge au cas ou ils voudraient me fouiller. Au moins, j’était presque sure de l’a garder encore un peu sur moi. Voyant la porte s’ouvrir, je plissai les yeux sous la lumière qui m’aveugla quelques instant et me mit a détailler ce qui était devant moi.
*Aller ma grande… je suis capable, je dois m’évader*
Sa… c’était il y a environ une heure déjà. En se moment, je suis dans une salle, humide. J’ignore ou je suis. Mes… kidnappeurs… si on peut les appeler comme sa, m’y ont jeté comme si j’étais un vulgaire sac de déchet. Même si je suis une humaine, je ne mérite pas une telle méprise. Mais pour eux si… qu’ais-je fait pour mériter autant la haine de l’autre race? Était-je hideuse? Impolie? Juste pas née au bon moment? Aucune de mes questions hélas auraient une réponse. Une chaise dans la place avait l’air assez solide pour supporter mon poids et m’y dirigeai avec lassitude, me demandant ce qui allait bien se produire de moi. Allais-je vraiment être vendue comme une esclave a une personne dont je ne connaissais rien pour le servir avec soumission? C’était… incompréhensible. Fouillant dans la poche de mon pantalon, je sortit une photo de ma famille. Caressant la joue de ma mère et frère et sœurs, je ne put que me rendre a l’évidence. Une nouvelle vie commençait pour moi et je n’étais pas sure de l’apprécier pour l’instant. Entendant des pas de l’autre coté de la porte, je camouflai rapidement la photo dans mon soutient-gorge au cas ou ils voudraient me fouiller. Au moins, j’était presque sure de l’a garder encore un peu sur moi. Voyant la porte s’ouvrir, je plissai les yeux sous la lumière qui m’aveugla quelques instant et me mit a détailler ce qui était devant moi.
Dernière édition par Caitlin Maya le Mer 15 Oct - 6:23, édité 1 fois
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Mes contacts avec Suzu Ankoku avait enfin porté leurs fruits. Dans la soirée, un de ses envoyés était venu me trouver au Castel, me disant qu'une humaine venait d'être livrée à l'Elden Glittering et que selon les ordres du propriétaire, elle me serait réservée jusqu'au lendemain.
Je ne comptais absolument pas attendre jusque là, ça non. Il y avait un moment que j'attendais aprés une nouvelle de ce genre, croyez le bien ! Hors de question de laisser un seul humain se faire humilier une seconde de trop, à présent que j'étais en ville. Je foncais donc jusqu'a L'elden, aidé de ma puissante voiture. Je m'étais habillé rapidement, avec un simple jean délavé, une chemise noire et une paire de chaussures de la même couleur, le tout complété d'une légère veste de cuir. Arrivé à destination, un des malabars de Suzu me reconnut et m'entraina vers le sous-sol, là où se tenaient les ventes. Je fûs emmené au fond, un peu à l'écart afin de découvrir ma future acquisition.
- Mefiez vous, elle est un peu sauvage, c't'humaine ! M'sieur Ankoku dis que ça vous posera pas d'problèmes, mais gare ! C't'une tigresse, croyez moi !
- Je saurais la dompter, votre tigresse. J'espère pour vous qu'elle est en bon état, l'ami.
- Ouais ouais.... On la même pas cogné, même si ça lui aurait fait du bien ! Bon, j'vous ouvre ! Inspectez moi ça et payez nous, qu'on s'en débarasse.
Il m'ouvrit donc la porte, ce fichu hybride. Je n'aimais pas le ton qu'il employait avec moi, mais je savais que voir un humain tel que moi jouir de certains privilèges pouvait déranger plus d'un ainoko. Cet état de fait me devenait coutumier.
J'entrais donc dans la pièce qui était plongée dans le noir. Derrière moi, l'homme fit jouer l'interrupteur, inondant la pièce d'une lumière crue. Installée sur une chaise à quelques pas à peine de moi, mon acquisition plissait les yeux, gênée par la lumière. Je m'approchais pour lui relever le visage, prenant un air sévère. Jouer la comédie, toujours. J'inspectais la jeune femme. Un joli minois à l'expression lasse et dégoûtée, un corps joliment taillé. Trés jolie, surtout avec cette cascade de cheveux noirs. Je souriais légèrément, et si elle m'avait regardé à ce moment là, elle avait dût trouver mon expression un peu trop douce pour être celle d'un véritable maitre.
Je lui caressais la joue avant de me tourner vers le vendeur.
- Quel prix m'en demande votre maître ?
- Pas cher, surtout pour un lot de ce genre. J'l'aurais faite partir à mille billets, facile. Lui vous la fait à sept cent. Z'êtes bien vu, vous.
- Va pour huit cent, alors. Je vous lance le supplément pour ne pas l'avoir abimée.
- Vous savez parler aux gens, vous !
- L'argent sait parler à tout le monde....Otez lui ses fers.
Le sourire aux lèvres, il s'éxecuta et libéra ma nouvell esclave. Bien que lorsque je parlais d'humains j'évitais ce terme, il était toujours exact. Prenant la belle par la main, je la fis se lever en posant sur elle un regard meurtrier. Il n'y avait pas à dire, je jouais parfaitement mon rôle...
Je me hâtais de sortir de la pièce, entrainant mon esclave à ma suite. Avant de repartir, je m'adressais une nouvelle fois au vendeur.
- Faites parvenir à Suzu mes remerciements. Je lui enverrais un mot dès demain pour cette jolie acquisition. Au plaisir, l'ami.
Sans attendre sa réponse, je me hâtais de quitter l'établissement, saluant les gardes du corps d'Ankoku Suzu qui m'avaient escorté jusque là. J'entrainais ma nouvelle file jusqu'a la voiture, dans laquelle je la fis entrer sans ménagements avant d'y entrer moi-même. Là, nous serions à même de parler sans être dérangés. Glissé dans mon fauteuil, j'ôtais ma veste pour la lui mettre sur les épaules. Vu sa tenue en lambeaux, elle attraperait deux fois la grippe avant d'arriver au Castel...
- Voilà, c'est mieux ainsi. Je me présente, Soren de Scylla. Votre nouveau "maître"... Même si je préfère le terme employeur. Vous n'avez rien à craindre de moi, faites moi confiance. Je ne vous forcerais à rien et ne vous soumettrais nullement. Mais avant toutes choses, commencez par me livrer votre nom, je vous prie.
J'espérais que ma voix tranquille et mes yeux redevenus doux l'aiderait à se laisser un peu aller et à se mettre en confiance. Nous verrions bien.
Je ne comptais absolument pas attendre jusque là, ça non. Il y avait un moment que j'attendais aprés une nouvelle de ce genre, croyez le bien ! Hors de question de laisser un seul humain se faire humilier une seconde de trop, à présent que j'étais en ville. Je foncais donc jusqu'a L'elden, aidé de ma puissante voiture. Je m'étais habillé rapidement, avec un simple jean délavé, une chemise noire et une paire de chaussures de la même couleur, le tout complété d'une légère veste de cuir. Arrivé à destination, un des malabars de Suzu me reconnut et m'entraina vers le sous-sol, là où se tenaient les ventes. Je fûs emmené au fond, un peu à l'écart afin de découvrir ma future acquisition.
- Mefiez vous, elle est un peu sauvage, c't'humaine ! M'sieur Ankoku dis que ça vous posera pas d'problèmes, mais gare ! C't'une tigresse, croyez moi !
- Je saurais la dompter, votre tigresse. J'espère pour vous qu'elle est en bon état, l'ami.
- Ouais ouais.... On la même pas cogné, même si ça lui aurait fait du bien ! Bon, j'vous ouvre ! Inspectez moi ça et payez nous, qu'on s'en débarasse.
Il m'ouvrit donc la porte, ce fichu hybride. Je n'aimais pas le ton qu'il employait avec moi, mais je savais que voir un humain tel que moi jouir de certains privilèges pouvait déranger plus d'un ainoko. Cet état de fait me devenait coutumier.
J'entrais donc dans la pièce qui était plongée dans le noir. Derrière moi, l'homme fit jouer l'interrupteur, inondant la pièce d'une lumière crue. Installée sur une chaise à quelques pas à peine de moi, mon acquisition plissait les yeux, gênée par la lumière. Je m'approchais pour lui relever le visage, prenant un air sévère. Jouer la comédie, toujours. J'inspectais la jeune femme. Un joli minois à l'expression lasse et dégoûtée, un corps joliment taillé. Trés jolie, surtout avec cette cascade de cheveux noirs. Je souriais légèrément, et si elle m'avait regardé à ce moment là, elle avait dût trouver mon expression un peu trop douce pour être celle d'un véritable maitre.
Je lui caressais la joue avant de me tourner vers le vendeur.
- Quel prix m'en demande votre maître ?
- Pas cher, surtout pour un lot de ce genre. J'l'aurais faite partir à mille billets, facile. Lui vous la fait à sept cent. Z'êtes bien vu, vous.
- Va pour huit cent, alors. Je vous lance le supplément pour ne pas l'avoir abimée.
- Vous savez parler aux gens, vous !
- L'argent sait parler à tout le monde....Otez lui ses fers.
Le sourire aux lèvres, il s'éxecuta et libéra ma nouvell esclave. Bien que lorsque je parlais d'humains j'évitais ce terme, il était toujours exact. Prenant la belle par la main, je la fis se lever en posant sur elle un regard meurtrier. Il n'y avait pas à dire, je jouais parfaitement mon rôle...
Je me hâtais de sortir de la pièce, entrainant mon esclave à ma suite. Avant de repartir, je m'adressais une nouvelle fois au vendeur.
- Faites parvenir à Suzu mes remerciements. Je lui enverrais un mot dès demain pour cette jolie acquisition. Au plaisir, l'ami.
Sans attendre sa réponse, je me hâtais de quitter l'établissement, saluant les gardes du corps d'Ankoku Suzu qui m'avaient escorté jusque là. J'entrainais ma nouvelle file jusqu'a la voiture, dans laquelle je la fis entrer sans ménagements avant d'y entrer moi-même. Là, nous serions à même de parler sans être dérangés. Glissé dans mon fauteuil, j'ôtais ma veste pour la lui mettre sur les épaules. Vu sa tenue en lambeaux, elle attraperait deux fois la grippe avant d'arriver au Castel...
- Voilà, c'est mieux ainsi. Je me présente, Soren de Scylla. Votre nouveau "maître"... Même si je préfère le terme employeur. Vous n'avez rien à craindre de moi, faites moi confiance. Je ne vous forcerais à rien et ne vous soumettrais nullement. Mais avant toutes choses, commencez par me livrer votre nom, je vous prie.
J'espérais que ma voix tranquille et mes yeux redevenus doux l'aiderait à se laisser un peu aller et à se mettre en confiance. Nous verrions bien.
Invité
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Voila… mon heure était arrivé. Un homme était entré, suivit d’un autre, et se dirigeais vers moi. Jean délavé, chemise noir, il dégageait de cet homme une aura de richesse ou de je ne sais quoi qui attirait l’attention. Mais je n’aimais pas cette attitude détachée, me traitant comme un objet devant l’ainoko. Mais comment se faisait-il que cet humain osait prétendre vouloir m’acheter? Nous sommes de la même race, c’était… incompréhensible. A moins que se soit mon chevalier blanc en armure venu me secourir de mon triste sort. Un rire se coinça dans ma gorge. Je suis trop naïve... je dois arrêter d’espérer que je vais retrouver ma liberté, je sais que sa n’arrivera jamais plus. Or, une partie de moi tend toujours vers l’espoir. L’Idée de m’enfuir par la porte me traversa l’esprit mais je fus genée du regard que l’homme me porta. En effet, je n’était qu’une future acquisition, il jugeait ma valeur a mon grand mécontentement. Mais pourtant, je put lire un peu de douceur sur ses traits. Au moins, se serait peut-être un homme agréable a servir. La caresse qu’il me fit cependant me laissa de marbre. S’il croyait que j’allais me laisser faire aussi facilement, il se mettait un doit dans l’œil. Ma mère ne m’appelait pas sa petite tempête pour rien.
Il se retourne vers le vendeur… Il n’y a rien pour poignarder ici… Je devais abandonner l’idée alors. Écoutant les deux hommes, je fus… stupéfaite. Elle valait huit cent? C’était plus d’argent qu’elle n’avais jamais vue. Pourquoi cet homme dépensait cette fortune pour elle, une simple gamine vendue? Mais cela n’avais plus d’importance, on allait me détacher. Cependant, avant de pouvoir délier mes muscles endoloris, mon acheteur m’entraina a sa suite assez vivement, et je ne put que le suivre, ignorant ou j’était. Je vis enfin la lumière d’extérieur et une énorme joie s’empara de moi. Il était chanceux que je sois occupé a observer l’extérieur car je ne m’aurais pas fait si facilement enfermée dans une voiture dont je ne voulais pas embarquer. Peut-être que le temps qu’il contourne, je pourrait tourner la poignée et… trop tard. Soupirant en le voyant déjà s’engouffrer dans la voiture, je me tournai vers la fenetre. Une veste sur mon corps me fit sursauté et je dévisageai l’homme a mes cotés. Ce qu’il me dit me fit serrer les poings.
Vous m’avez peut-être acheté mais vous n’avez aucun droit sur moi. Je suis libre et rien ne pourra y changer.
Mais le terme employeur la calma. Il montait légèrement dans son estime, au moins, elle commencait a savoir a quoi s’attendre, bien qu’elle ne comprenait pas pourquoi il l’avait prise elle.
Mais… pourquoi m’avez-vous… acheter… Je vous suis reconnaissante de m’avoir sortie de la mais je peut me débrouiller seule jusqu'à maintenant. Mais je m’appelle Caitlin Maya.
Au moins, il avait l’air calme comparée a plus tot dans la cellule, ce qui me calma légèrement. Mais j’était toujours sur mes gardes, et je le serai tant que je ne saurai pas a quoi m’attendre avec lui.
Il se retourne vers le vendeur… Il n’y a rien pour poignarder ici… Je devais abandonner l’idée alors. Écoutant les deux hommes, je fus… stupéfaite. Elle valait huit cent? C’était plus d’argent qu’elle n’avais jamais vue. Pourquoi cet homme dépensait cette fortune pour elle, une simple gamine vendue? Mais cela n’avais plus d’importance, on allait me détacher. Cependant, avant de pouvoir délier mes muscles endoloris, mon acheteur m’entraina a sa suite assez vivement, et je ne put que le suivre, ignorant ou j’était. Je vis enfin la lumière d’extérieur et une énorme joie s’empara de moi. Il était chanceux que je sois occupé a observer l’extérieur car je ne m’aurais pas fait si facilement enfermée dans une voiture dont je ne voulais pas embarquer. Peut-être que le temps qu’il contourne, je pourrait tourner la poignée et… trop tard. Soupirant en le voyant déjà s’engouffrer dans la voiture, je me tournai vers la fenetre. Une veste sur mon corps me fit sursauté et je dévisageai l’homme a mes cotés. Ce qu’il me dit me fit serrer les poings.
Vous m’avez peut-être acheté mais vous n’avez aucun droit sur moi. Je suis libre et rien ne pourra y changer.
Mais le terme employeur la calma. Il montait légèrement dans son estime, au moins, elle commencait a savoir a quoi s’attendre, bien qu’elle ne comprenait pas pourquoi il l’avait prise elle.
Mais… pourquoi m’avez-vous… acheter… Je vous suis reconnaissante de m’avoir sortie de la mais je peut me débrouiller seule jusqu'à maintenant. Mais je m’appelle Caitlin Maya.
Au moins, il avait l’air calme comparée a plus tot dans la cellule, ce qui me calma légèrement. Mais j’était toujours sur mes gardes, et je le serai tant que je ne saurai pas a quoi m’attendre avec lui.
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Si elle me croyait stupide où aveugle, elle se trompait lourdement. Ses coups d'oeils furtifs vers les issues de sorties où vers les différents objets suscpetibles de lui servir d'arme ne m'avaient aucunement échappé. J'avais feins l'ignorance pour voir quelles seraient ses réactions et je dois avouer que je n'avais pas été déçu. Cette femme n'était clairement pas soumise, et ce à qui que ce fût. Je trouvais cela parfait, en fait. J'aurais trouvé detestable l'idée que ma première humaine soit une créature completement acquise au statut que lui imposait les critères de l'île aux hybrides.
Alors que nous parlions dans la voiture, elle m'arracha un sourire de fierté, sûrement sans qu'elle sache seulement pourquoi. Je me mis en devoir de lui expliquer qui j'étais et ce qui l'attendait.
- Techniquement, j'ai tout les droits sur vous, y compris celui de vie et de mort. Et vous ne devriez pas l'oublier.
Mon ton de voix s'était refroidi. Même si je ne comptais que la liberer, il fallait qu'elle comprenne que son caractère emporté ne serait rien face à moi. J'avais dompté d'autres créatures bien plus retors qu'elle. De plus, elle allait ite comprendre qu'elle était loin, trés loin de mener la danse dans laquelle elle s'était engagée.
Mon regard ne cessait de la fixer intensément.
- Ecoutez attentivement ce que je vais vous dire, miss Maya. Vous n'imaginez pas où vous vous trouvez. Vous avez eu de la chance que j'entre en possession de vous. Je connais peu d'hybrides qui ont le respect que j'ai vis à vis de mes esclaves. Oui, je sais, vous n'en êtes pas une. Pourtant, c'est votre statut en tant qu'humaine sur cette île.
Je soupirais. Si elle faisait l'effort d'écouter mes paroles, nous parviendrons peut-être à quelque chose, elle et moi.
- Je vous l'ai dis, vous n'êtes aucunement mon esclave. Vous êtes même libre de quitter ma voiture et de vous enfuir, je vous l'assure. Maintenant, si on vous reprends pour vous revendre à un autre, votre sort sera bien différent. Je vous offre gîte, argent situation et couvert. Vous n'auriez rien à faire en échange. Absolument rien. Sauf à rester près de moi tant qu'il le faudra. Je crois que c'est peu demander en échange de la perspective de la liberté que je vous offre.
Je me penchais vers elle et ouvrait la porte. Et oui ! Si elle le désirait, elle pouvait sortir et s'en aller, je ne la retiendrais absolument pas. La liberté, c'était aussi le choix volontaire de finir dans la gueule du pire des loups.
Mais elle restait, peut-être voudrait elle en savoir plus. En tout cas, dans mon regard brillaient franchise et détermination. Actes comme mots, rien ne mentait en moi.
Alors que nous parlions dans la voiture, elle m'arracha un sourire de fierté, sûrement sans qu'elle sache seulement pourquoi. Je me mis en devoir de lui expliquer qui j'étais et ce qui l'attendait.
- Techniquement, j'ai tout les droits sur vous, y compris celui de vie et de mort. Et vous ne devriez pas l'oublier.
Mon ton de voix s'était refroidi. Même si je ne comptais que la liberer, il fallait qu'elle comprenne que son caractère emporté ne serait rien face à moi. J'avais dompté d'autres créatures bien plus retors qu'elle. De plus, elle allait ite comprendre qu'elle était loin, trés loin de mener la danse dans laquelle elle s'était engagée.
Mon regard ne cessait de la fixer intensément.
- Ecoutez attentivement ce que je vais vous dire, miss Maya. Vous n'imaginez pas où vous vous trouvez. Vous avez eu de la chance que j'entre en possession de vous. Je connais peu d'hybrides qui ont le respect que j'ai vis à vis de mes esclaves. Oui, je sais, vous n'en êtes pas une. Pourtant, c'est votre statut en tant qu'humaine sur cette île.
Je soupirais. Si elle faisait l'effort d'écouter mes paroles, nous parviendrons peut-être à quelque chose, elle et moi.
- Je vous l'ai dis, vous n'êtes aucunement mon esclave. Vous êtes même libre de quitter ma voiture et de vous enfuir, je vous l'assure. Maintenant, si on vous reprends pour vous revendre à un autre, votre sort sera bien différent. Je vous offre gîte, argent situation et couvert. Vous n'auriez rien à faire en échange. Absolument rien. Sauf à rester près de moi tant qu'il le faudra. Je crois que c'est peu demander en échange de la perspective de la liberté que je vous offre.
Je me penchais vers elle et ouvrait la porte. Et oui ! Si elle le désirait, elle pouvait sortir et s'en aller, je ne la retiendrais absolument pas. La liberté, c'était aussi le choix volontaire de finir dans la gueule du pire des loups.
Mais elle restait, peut-être voudrait elle en savoir plus. En tout cas, dans mon regard brillaient franchise et détermination. Actes comme mots, rien ne mentait en moi.
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J’était sans voix. Il ouvrait la porte, suite a toutes ses paroles pour me convaincre, pour que je puisse partir. Je devrais… j’avais la possibilité de sortir, tout de suite, la porte était ouverte, l’extérieur m’appellait… mais étrangement je ne sortit pas. J’aurais pu, facilement, mais cet homme avait quelque chose qui faisait en sorte que je commencait a me poser des questions. Était-je vraiment dans le champs en affirmant que je n’était pas une esclave? Mais quelque chose clochait… pourquoi était-il venu me chercher, m’offrir tout ce que je voulais sur un plateau d’argent… sans rien attendre en retour? Vraiment, cette situation était vraiment étrange… Je fis cependant ce que jamais je n’aurais crue faire. Retirant la main de Soren de la poignée de porte, je refermai la porte par la suite. Il serait surement surpris, mais je l’était encore plus. Pourquoi ais-je fait sa? Pour avoir surtout des réponses a toutes ses questions qui me trottaient dans la tete.
De un… j’ai refermé la porte mais ce n’est que personnellement que j’en ai fait le choix… Vous devrez répondre a mes questions car… vous etes étranges. Pourquoi tout m’offrir alors que vous, vous ne demander rien en retour. C’est impossible… Vous savez, j’ai appris, ces dernières semaines, a me méfier des hommes. Alors vous faites parti du lot, ne vous inquiéter pas. De plus, je n’ai jamais, de toute ma vie, été une esclave…
Peut-etre avait-je déviée du sujet, mais je voulait lui faire comprendre que je ne comprennait pas du tout ses agissements, ce qu’il attendait de moi. Je voulait aussi lui faire comprendre que se ne serait pas facile avec moi, bien qu’il devait surement s’etre fait une idée la dessus. Mais… je devais avouer qu’il n’avait pas tord… le monde extérieur était remplie de brutes, et je ne voulais pas en etre une victime. Alors la proposition de l’homme a mes cotés dans la voiture était la plus sécuritaire, bien que je ne le connaissais pas du tout. Je devais remettre mon sort entre ses mains, pour le moment du moins.
Bon… soyez honnete, si j’accepte de ne pas faire d’enfantillage et vous écouter, qu’arrivera-t-il de moi?
(Hrp: vraiment mais vraiment désolé du retard... mais mon ordi est réparé maintenant ^^)
De un… j’ai refermé la porte mais ce n’est que personnellement que j’en ai fait le choix… Vous devrez répondre a mes questions car… vous etes étranges. Pourquoi tout m’offrir alors que vous, vous ne demander rien en retour. C’est impossible… Vous savez, j’ai appris, ces dernières semaines, a me méfier des hommes. Alors vous faites parti du lot, ne vous inquiéter pas. De plus, je n’ai jamais, de toute ma vie, été une esclave…
Peut-etre avait-je déviée du sujet, mais je voulait lui faire comprendre que je ne comprennait pas du tout ses agissements, ce qu’il attendait de moi. Je voulait aussi lui faire comprendre que se ne serait pas facile avec moi, bien qu’il devait surement s’etre fait une idée la dessus. Mais… je devais avouer qu’il n’avait pas tord… le monde extérieur était remplie de brutes, et je ne voulais pas en etre une victime. Alors la proposition de l’homme a mes cotés dans la voiture était la plus sécuritaire, bien que je ne le connaissais pas du tout. Je devais remettre mon sort entre ses mains, pour le moment du moins.
Bon… soyez honnete, si j’accepte de ne pas faire d’enfantillage et vous écouter, qu’arrivera-t-il de moi?
(Hrp: vraiment mais vraiment désolé du retard... mais mon ordi est réparé maintenant ^^)
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