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Il devait être aux alentours de 18h quand une voiture simple s'arreta devant la grille du Castel. L'immense portail ne s'ouvrait pourtant pas, pour la simple et bonne raison que la personne n'avait aucun lien avec le Castel... tout du moins pas encore, ou très peu. La portière du passager avant s'ouvre et une étrange créature en sortit, le visage bien pâle par le mal des transports... Le conducteur était un jeune homme. Il sourit à la personne qu'il déposait et repartit.
La voilà seule à présent.
Vêtue d'une jupe noire et d'un pull blanc,, la personne regardait d'un air dubitatif et curieux la caméra de surveillance du portail.
Dans la salle de vidéosurveillance du Castel, l'homme qui était en charge d'ouvrir les grilles noires, avala de travers sa gorgée de café. Il posa la tasse sur sa table et appela un collègue.
Mon dieu, t'as vu ça? C'est quoi...?
L'autre homme s'avance en relevant sa casquette l'air intrigué.
C'est une Ainoko.
Sans blague, j'avais pas remarqué... Elle est bizarre, tu as vu ses jambes? Et ses pieds? on dirait qu'elle est "pas finie" ou un truc dans le genre.
Mouai.. En tout cas elle a un jolie visage.. si on regarde pas ses jambes bizzares.. c'est laid. Bon ouvre lui, elle tient un papier dans sa main c'est surement une nouvelle qui viens pour l' entretient d'embauche.
Sans demander son reste l'homme assit ouvrit le sgrilles.
Tooka devant celles-ci les regarde s'élargir pour lui laisser le passage. Elle sourit, rassurée et se met à marcher sur le gravier qui menait à l'entrée du Castel. Le chemin lui prit au moins 5 bonnes minutes, le jardin qui entourait le Castel était bien immense... Tooka s'émerveillait toute les secondes, même la grande porte lui fit ouvrir grand ses yeux de femme enfant. une femme en tenue de femme de chambre vient lui parler.. un peu perturbé par l'apparence peu commune de la jeune femme.
Vous cherchez quelque chose?
Tooka tourna la tête et dit maladroitement:
Tooka viens pour travail... Je...
Elle avait plus de mal à parler, le stress? Surement. Elle tendit le papier qu'elle avait en main qui saura mieux s'exprimer qu'elle. La femme le saisit, le lit lentement avant de répondre.
Je vois, c'est adressé à Mr Soren. Patientez je vais aller le chercher.
Sans tarder, la femme disparut dans une pièce.
Tooka patiente... Et la connaissant, elle ne pouvait pas rester immobile, enfin on ne lui avait pas donné l' ordre. Alors elle tourna en rond dans l'entrée. Elle examineait tout, le porte manteau, les meubles... et même al plante à l'entrée! D'ailleurs elle lui semblait comestible... Elle en tira une veuille... "non c'est mal" se dit-elle .. mais "c'est juste une feuille" se confia la jeune créature. Elle porta à sa bouche la feuille et la broutta comme une.. Antilope.
La voilà seule à présent.
Vêtue d'une jupe noire et d'un pull blanc,, la personne regardait d'un air dubitatif et curieux la caméra de surveillance du portail.
Dans la salle de vidéosurveillance du Castel, l'homme qui était en charge d'ouvrir les grilles noires, avala de travers sa gorgée de café. Il posa la tasse sur sa table et appela un collègue.
Mon dieu, t'as vu ça? C'est quoi...?
L'autre homme s'avance en relevant sa casquette l'air intrigué.
C'est une Ainoko.
Sans blague, j'avais pas remarqué... Elle est bizarre, tu as vu ses jambes? Et ses pieds? on dirait qu'elle est "pas finie" ou un truc dans le genre.
Mouai.. En tout cas elle a un jolie visage.. si on regarde pas ses jambes bizzares.. c'est laid. Bon ouvre lui, elle tient un papier dans sa main c'est surement une nouvelle qui viens pour l' entretient d'embauche.
Sans demander son reste l'homme assit ouvrit le sgrilles.
Tooka devant celles-ci les regarde s'élargir pour lui laisser le passage. Elle sourit, rassurée et se met à marcher sur le gravier qui menait à l'entrée du Castel. Le chemin lui prit au moins 5 bonnes minutes, le jardin qui entourait le Castel était bien immense... Tooka s'émerveillait toute les secondes, même la grande porte lui fit ouvrir grand ses yeux de femme enfant. une femme en tenue de femme de chambre vient lui parler.. un peu perturbé par l'apparence peu commune de la jeune femme.
Vous cherchez quelque chose?
Tooka tourna la tête et dit maladroitement:
Tooka viens pour travail... Je...
Elle avait plus de mal à parler, le stress? Surement. Elle tendit le papier qu'elle avait en main qui saura mieux s'exprimer qu'elle. La femme le saisit, le lit lentement avant de répondre.
Je vois, c'est adressé à Mr Soren. Patientez je vais aller le chercher.
Sans tarder, la femme disparut dans une pièce.
Tooka patiente... Et la connaissant, elle ne pouvait pas rester immobile, enfin on ne lui avait pas donné l' ordre. Alors elle tourna en rond dans l'entrée. Elle examineait tout, le porte manteau, les meubles... et même al plante à l'entrée! D'ailleurs elle lui semblait comestible... Elle en tira une veuille... "non c'est mal" se dit-elle .. mais "c'est juste une feuille" se confia la jeune créature. Elle porta à sa bouche la feuille et la broutta comme une.. Antilope.
Dernière édition par Tooka Hakuba le Mer 22 Oct - 10:31, édité 1 fois
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J'étais dans mon bureau, en ce tranquille début de soirée. Je réglais quelques affaires pour le compte de mon père resté au pays. En plus de mes projets pour Migoto, il me fallait composer aussi avec mes affaires extérieures à l'île, ce qui m'ajoutait une charge de travail supplémentaire pas forcément agréable. Il y avait environ une heure, j'avais accompagnée Isei au garage du Castel. Ma protectrice avait dû se rendre à un rendez-vous sur ma demande, avec une curieuse voleuse-prostituée qui pourrait s'avérer un allié précieux. Elle était partie tôt, sûrement pour se préparer d'une façon où d'une autre.
C'était aprés cela que je m'étais mis à l'ouvrage, m'inquiétant malgré moi pour mon ourse. Allez comprendre.
Mes doigts pianotaient sur le clavier de mon pc, délivrant des mots à l'aide de pixels entiers, lorsque l'ont frappa à ma porte. Il me fallut plusieurs secondes pour lever la tête et répondre, à la deuxième série de coups contre le battant de bois. Je soupirais. Impossible d'être tranquille, même chez soi. Je me levais donc pour ouvrir la porte pour voir l'une des femmes de ménage du Castel, qui me livra avoir une prétendante pour l'une des places vacantes. D'aprés le mot que l'employée de maison m'avait tendu, c'était une esclave qui cherchait à ramener de l'argent pour son maître. Pourquoi pas ? De toutes façon, je ne vois pas pourquoi on me dérangeait pour ça. N'était ce pas à Seiji de s'occuper de ce genre de demande ?
- La gouvernante s'occupera de cette histoire, Natty. Allez la trouver, pltôt que de me déranger !
- Mais... Monsieur.... Enfin..... Vous devriez venir voir, vraiment ! ....S'il vous plait !
Je levais un sourcil suspicieux. Pourquoi devrais-je m'interesser à tout le petit personel ? Je voulais bien me montrer aimable, mais tout de même.... Bon, soit. J'allais y aller, par curiosité devant le regard curieux de Natty. Finalement, je lui emboitais le pas jusque dans le hall, où de loin, j'assistais à une un curieux spectacle.
Une hybride à la curieuse physionomie et à l'étonnante couleur de peau... Broutait tranquillement la plante qui décorait mon entrée ! Je comprenais mieux pourquoi Natty avait insisté, tandis que je me massais les tempes. Pourquoi fallait il que de toutes les esclaves que comptaient Migoto, je tombe systématiquement sur des cas, hm ?
D'un geste de main, je congédiais Natty. A moi donc de prendre en main cette dévoreuse de ficus... Je fis quelques pas vers elle, qui ne m'avait apparement pas entendue approcher. Accoudé contre un mur, mes yeux rivés sur elle, je fis entendre ma voix tranquille et même un peu amusée.
- Chacun ses goûts, mais je trouve le chocolat blanc plus approprié que les feuilles de ma plante verte quand j'ai une peti creux, en ce qui me concerne.
Je me relevais de contre mon appui pour faire quelques pas vers elle, arrivant non loin. Si je tendais le bras, je pouvais la toucher.
- Commencons par le début. Quel est votre nom ? Que savez vous faire, au juste ?
C'était aprés cela que je m'étais mis à l'ouvrage, m'inquiétant malgré moi pour mon ourse. Allez comprendre.
Mes doigts pianotaient sur le clavier de mon pc, délivrant des mots à l'aide de pixels entiers, lorsque l'ont frappa à ma porte. Il me fallut plusieurs secondes pour lever la tête et répondre, à la deuxième série de coups contre le battant de bois. Je soupirais. Impossible d'être tranquille, même chez soi. Je me levais donc pour ouvrir la porte pour voir l'une des femmes de ménage du Castel, qui me livra avoir une prétendante pour l'une des places vacantes. D'aprés le mot que l'employée de maison m'avait tendu, c'était une esclave qui cherchait à ramener de l'argent pour son maître. Pourquoi pas ? De toutes façon, je ne vois pas pourquoi on me dérangeait pour ça. N'était ce pas à Seiji de s'occuper de ce genre de demande ?
- La gouvernante s'occupera de cette histoire, Natty. Allez la trouver, pltôt que de me déranger !
- Mais... Monsieur.... Enfin..... Vous devriez venir voir, vraiment ! ....S'il vous plait !
Je levais un sourcil suspicieux. Pourquoi devrais-je m'interesser à tout le petit personel ? Je voulais bien me montrer aimable, mais tout de même.... Bon, soit. J'allais y aller, par curiosité devant le regard curieux de Natty. Finalement, je lui emboitais le pas jusque dans le hall, où de loin, j'assistais à une un curieux spectacle.
Une hybride à la curieuse physionomie et à l'étonnante couleur de peau... Broutait tranquillement la plante qui décorait mon entrée ! Je comprenais mieux pourquoi Natty avait insisté, tandis que je me massais les tempes. Pourquoi fallait il que de toutes les esclaves que comptaient Migoto, je tombe systématiquement sur des cas, hm ?
D'un geste de main, je congédiais Natty. A moi donc de prendre en main cette dévoreuse de ficus... Je fis quelques pas vers elle, qui ne m'avait apparement pas entendue approcher. Accoudé contre un mur, mes yeux rivés sur elle, je fis entendre ma voix tranquille et même un peu amusée.
- Chacun ses goûts, mais je trouve le chocolat blanc plus approprié que les feuilles de ma plante verte quand j'ai une peti creux, en ce qui me concerne.
Je me relevais de contre mon appui pour faire quelques pas vers elle, arrivant non loin. Si je tendais le bras, je pouvais la toucher.
- Commencons par le début. Quel est votre nom ? Que savez vous faire, au juste ?
Invité
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Machant la feuille avec aucune élégance, une voix l'interpele. Elle se retourne et vit u ntrès beua jeune homme contre le mur. Elle resta u nmoment à le regarder, le truovant fort séduisant en machant machinalement sa feuille... Oh! Elle réalisa sa bêtise et avale. Tooka rougit un peu gênée. Elle s'excuse a voix basse en faisant une courbette. Le jeune homme avait aprlé de chocolat..blanc?
apparait sur le visage de la créature un intense reflexion.
Chocolat....? choco.....lat...blanc? Chocolat blanc....
Elle connaissait le chocolat juste par nom et n'en avait jamais mangé. Ayant vu que du chocolat de couleur brune, elle se demanda à quoi ca pouvait ressembler et surtout le goût, mettant le doigt sur le bout de son menton, regardant un peu en l'air , Tooka esseyait de s'imaginer la fraindise quand les questions de Soren la ramène sur terre.
Oh! Je m'appelle Tooka.
Elle ne donna pas son nom de famille, pour elle c'était inutile ca lui avait jamais servit et n'avait jamais eu de lien avec sa famille même encore aujourd'hui. il s'était aancé vers elle, perdu dans ses pensés remplies de friandises elle ne s'en était même pa rendue compte. Mais ça ne al gênait pas plus que ça de toute façon.
Tooka sais faire pleins de choses. Tout ce qu'on lui demand de faire.
Elle sourit en penchant la tête sur le coté. pensant qu'elle n'était pas claire dans ses propos elle illustra de quelques exemples.
Tooka sais faire le ménage, Tooka sais un peu cuisiner aussi... je.. je suis une esclave, je sais surtout faire le sexe et le ménage. Le Maître ne m'a pas interdit de quoi que ce soit quand je serais ici, alors Tooka.. alors je vous dis tout.
Ses défauts de communication étaient évident. Elle avait du mal à s'exprimer et n'utilisait pas une très bonne syntaxe. Elle attendait la suite avec une certaine impatience, ce que traduisait sa longue queue qui se balançait derrière elle. Ses yeux à pupille et iris blanc se posèrent partout sur le jeune homme, dévoilant une nature très..curieuse.
apparait sur le visage de la créature un intense reflexion.
Chocolat....? choco.....lat...blanc? Chocolat blanc....
Elle connaissait le chocolat juste par nom et n'en avait jamais mangé. Ayant vu que du chocolat de couleur brune, elle se demanda à quoi ca pouvait ressembler et surtout le goût, mettant le doigt sur le bout de son menton, regardant un peu en l'air , Tooka esseyait de s'imaginer la fraindise quand les questions de Soren la ramène sur terre.
Oh! Je m'appelle Tooka.
Elle ne donna pas son nom de famille, pour elle c'était inutile ca lui avait jamais servit et n'avait jamais eu de lien avec sa famille même encore aujourd'hui. il s'était aancé vers elle, perdu dans ses pensés remplies de friandises elle ne s'en était même pa rendue compte. Mais ça ne al gênait pas plus que ça de toute façon.
Tooka sais faire pleins de choses. Tout ce qu'on lui demand de faire.
Elle sourit en penchant la tête sur le coté. pensant qu'elle n'était pas claire dans ses propos elle illustra de quelques exemples.
Tooka sais faire le ménage, Tooka sais un peu cuisiner aussi... je.. je suis une esclave, je sais surtout faire le sexe et le ménage. Le Maître ne m'a pas interdit de quoi que ce soit quand je serais ici, alors Tooka.. alors je vous dis tout.
Ses défauts de communication étaient évident. Elle avait du mal à s'exprimer et n'utilisait pas une très bonne syntaxe. Elle attendait la suite avec une certaine impatience, ce que traduisait sa longue queue qui se balançait derrière elle. Ses yeux à pupille et iris blanc se posèrent partout sur le jeune homme, dévoilant une nature très..curieuse.
Invité
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Plus je l'écoutais parler et plus je me disais que cette "Tooka" était faite pour définir un mot : esclave. Docile et obéissante, multipliant les talents de bases qui n'étaient certainement pas pour déplaire à son maître. Elle me semblait un peu enfantine aussi, toutefois dans un style différent de celui de ma petite Shin'rin. Limitée mentalement ? Non, le terme aurait été inapproprié et insultant. Ce n'était pas compliqué. Tooka souffrait d'un manque d'éducation, comme en témoignait son parlé sommaire et léger.
Et puis cette façon de me manger du regard, c'était... C'était curieux. Je me sentais observé, mis à nu où presque. Tiens, quelque chose battait l'air dans son dos. Ah oui, sa queue. La tête penchée sur le côté, elle me dévisageait, en core et toujours. Quant à moi, cette cadeur franche me faisait un drôle d'effet.
Pour lui rendre la monnaie de sa pièce, je me mis à parcourir également son corps dans les moindres détails en laissant échapper un petit sourire en coin lorsque je constatais qu'elle avait de fort jolies lignes.
- Je vois, vous êtes plutôt polyvalente.... C'est un atout, c'est vrai.
Du bout du doigt, je lui ôtais un morceau de feuille mâchouillée collée sur le coin de sa bouche avant de continuer.
- Mais par pitié, si vous avez faim, ne mangez plus mes plantes ! Demandez, je vous donnerais ce qui vous fais plaisir.
Ce n'était aucunement un traitement de faveur. Ici au Castel, employés comme esclaves pouvaient se nourrir à leur faim et à leur convenance. Et par le fait, Tooka ne ferait pas exception, surtout si cela m'évitait la déforestation de mon hall d'entrée.
Je lui fis un petit signe de tête afin qu'elle me suive tandis que je me dirigeais vers le bureau que j'avais quitté pour venir à sa rencontre. Natty me suivait du regard, alors que je lui demandais rapidement de faire venir à mon office un goûter à base de cookies, de lait et de chocolat blanc. Rapidement, elle acquiesa et fila pour se mettre à pied d'oeuvre. Tandis que nous marchions en silence Tooka et moi, je laissais la curieuse hybride découvrir les longs couloirs joliment décorés
Puis nous arrivâmes à mon bureau, dans lequel je fis entrer Tooka. Devant ses yeux, la pièce somme toute spacieuse s'étalait. Une moquette épaisse, des étagères remplies d'innombrables livres et dossiers, des meubles d'acajou, comme le solide et grand bureau qui trônait au fond, accompagné de mon fauteuil de cuir. Sur le côté, un petit canapé de cuir marron et une table basse, le tout non loin d'un élégant et discret mini-bar. L'ambiance était cosue et bourgeoise, aux teintes à dominantes bordeaux.
- Bien. Pour votre premier jour, vous oeuvrerez sous ma surveillance. Un petit coup de plumeau sur les divers bibelots, un coup d'aspirateur sur la moquette.... Rien de bien complexe, en somme. Si vous avez des questions, je suis à votre disposition.
J'aurais bien poussé la discussion davantage, d'autant plus que ses propos sur le sexe n'étaient pas tombés dans l'oreille d'un sourd. Mais j'ai de pressantes affaires à regler, ce qui me fit aller m'installer deriière mon bureau pour me remettre au travail. Au bout de quelques instants, j'en avais oublié jusqu'a la présence de Tooka.
Pourtant, quelques minutes plus tard, je m'adressais à elle sans même lever les yeux de mon écran.
- Tooka ? Regardez sur la table basse et amenez moi le dossier "Sous traitance et maintenance des réseaux de vente De Scylla partie Japon", je vous prie.
Je connaissais ce nom par coeur, puisque je travaillais là-dessus depuis une bonne partie de la semaine déjà. Il suffisait à l'hybride de lire le titre correspondant et de me l'amener, rien de bien sorcier...
Et puis le goûter ne tarderait sûrement plus.
Et puis cette façon de me manger du regard, c'était... C'était curieux. Je me sentais observé, mis à nu où presque. Tiens, quelque chose battait l'air dans son dos. Ah oui, sa queue. La tête penchée sur le côté, elle me dévisageait, en core et toujours. Quant à moi, cette cadeur franche me faisait un drôle d'effet.
Pour lui rendre la monnaie de sa pièce, je me mis à parcourir également son corps dans les moindres détails en laissant échapper un petit sourire en coin lorsque je constatais qu'elle avait de fort jolies lignes.
- Je vois, vous êtes plutôt polyvalente.... C'est un atout, c'est vrai.
Du bout du doigt, je lui ôtais un morceau de feuille mâchouillée collée sur le coin de sa bouche avant de continuer.
- Mais par pitié, si vous avez faim, ne mangez plus mes plantes ! Demandez, je vous donnerais ce qui vous fais plaisir.
Ce n'était aucunement un traitement de faveur. Ici au Castel, employés comme esclaves pouvaient se nourrir à leur faim et à leur convenance. Et par le fait, Tooka ne ferait pas exception, surtout si cela m'évitait la déforestation de mon hall d'entrée.
Je lui fis un petit signe de tête afin qu'elle me suive tandis que je me dirigeais vers le bureau que j'avais quitté pour venir à sa rencontre. Natty me suivait du regard, alors que je lui demandais rapidement de faire venir à mon office un goûter à base de cookies, de lait et de chocolat blanc. Rapidement, elle acquiesa et fila pour se mettre à pied d'oeuvre. Tandis que nous marchions en silence Tooka et moi, je laissais la curieuse hybride découvrir les longs couloirs joliment décorés
Puis nous arrivâmes à mon bureau, dans lequel je fis entrer Tooka. Devant ses yeux, la pièce somme toute spacieuse s'étalait. Une moquette épaisse, des étagères remplies d'innombrables livres et dossiers, des meubles d'acajou, comme le solide et grand bureau qui trônait au fond, accompagné de mon fauteuil de cuir. Sur le côté, un petit canapé de cuir marron et une table basse, le tout non loin d'un élégant et discret mini-bar. L'ambiance était cosue et bourgeoise, aux teintes à dominantes bordeaux.
- Bien. Pour votre premier jour, vous oeuvrerez sous ma surveillance. Un petit coup de plumeau sur les divers bibelots, un coup d'aspirateur sur la moquette.... Rien de bien complexe, en somme. Si vous avez des questions, je suis à votre disposition.
J'aurais bien poussé la discussion davantage, d'autant plus que ses propos sur le sexe n'étaient pas tombés dans l'oreille d'un sourd. Mais j'ai de pressantes affaires à regler, ce qui me fit aller m'installer deriière mon bureau pour me remettre au travail. Au bout de quelques instants, j'en avais oublié jusqu'a la présence de Tooka.
Pourtant, quelques minutes plus tard, je m'adressais à elle sans même lever les yeux de mon écran.
- Tooka ? Regardez sur la table basse et amenez moi le dossier "Sous traitance et maintenance des réseaux de vente De Scylla partie Japon", je vous prie.
Je connaissais ce nom par coeur, puisque je travaillais là-dessus depuis une bonne partie de la semaine déjà. Il suffisait à l'hybride de lire le titre correspondant et de me l'amener, rien de bien sorcier...
Et puis le goûter ne tarderait sûrement plus.
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Soren lui donna une première impression sur ce qu'elle savait faire, la trouvant polyvalente il semblait satisfait, au moins un minimum. Tooka fit un autre sourire, le genre de sourire qui plisse les yeux et rend un visage encore plus doux et enfantin que l' âge.
C'est un atout ? Un vrai de vrai? Tooka est contente.
Le jeune homme tendit sa main et lui hôta un bout de feuille sur le coin de sa bouche. Tooka se sentait un peu bête... elle n'aurait pas du succomber à la tentation cela faisait un mauvais point pour elle.
Toutefois cet homme étai très séduisant et ne manquait pas de le regarder à la moindre occasion sous toute ses formes avec un sourire... plutôt coquin mais pas aguicheur du tout, comme si elle savait que c'était mal de détailler les gens ainsi du regard.
Pardonnez T.... moi! J'ai été tenté. Mais j... Je manges pas ça normalement.
Elle se gratta une corne, non pas car ca la grattait, ce n'était qu'une corne mais plus par tic qui trahissait sa gêne face à sa bêtise.
Ne donnez pas ce qu'elle veux à Tooka pour ça, ne vous inquietez pas.
Apparament, elle n'était pas habituée à demander quoi que ce soit pour elle. Et ce n'était pas une impression, c'était vraie. un signe de la t^te suffira pour que Tooka comprennent qu'il fallait le suivre, ce qu' elle fit avec un enthousiasme qui devait peut être contrasté avec toute les autres esclaves quand elle sont arrivés au Castel la première fois. Enfin peut être. En chemin, Soren demanda à la jeune femme de lui ammener quelque chose.. cela résonna dans la tête de Tooka "nourriture nourriture nourriture" ... Oui il fallait la'vouer... l'antilope était la pire gourmande qui pouvait exister.
Marchant dans les couloirs les yeux alerrte de la créature se posaient absolument tout. Et puis cette Antilope avait une mémoire d'éléphant, elle mémorisait tout ce qu'elle voyait. Marcher silencieusement.. c'était facile à dire mais pas à faire pour une personne doté de sabots. Mais la moquette l'aidait bien c'est vrai.
Le bureau s'ouvrit alors à elle. On entendit un petit " waaaah " discrêt. Jamais, ô grand jamais elle n'avait vu ca de sa vie, une immense pièce comme dans les film ! Pensait-elle. Elle se souvenait des films de château qu'elle avait vu dans la boite noire de son Maître. Elle semblait s'émerveiller pour tout et rien. Les paroles de Soren la sortirent de son admiration.
Faire le ménage, je sais faire!
Elle se mit au garde à vous. Tooka était amusante c'est vraie, mais en rien stupide. Assoifé de curiosité, elle avait hâte de nettoyer la salle pour découvrir les moindres recoins.. Et oh! Il y avait peut être des passages secrets! Comme dans les films! pensait-elle encore.
Il lui proposa de commencer en sa présence, elle sourit et chercha des yeux un plumeau qu'elle trouva bien vite dans un coin, posé discrêtement. Elle le prit, le regarde, le secoue un peu, éternue... et commence à épousseter les étagères. Et elle faisait ca très bien, même si elle n'avait jamais utiliser ce genre d'outil pour nettoyer. La salle était très bien entretenue, il y avait donc peu de poussière ce qui facilitait le travail.
Puis, Soren, sans lever ses yeux de son ordinateur, lui demanda de lui porter quelque chose.. Il ne vit pas la mine réjouie de l' Ainoko se déconfire en gêne et tristesse.
Mais ne perdant pas son courage ni sa volonté elle se dirigea vers la table basse et se penche. Le Titre lui semblait long, donc ce n'était pas le premier document, il était trop court... ni le suivant... Il en restait au moins 5 avec un titre assez long. Un dossier avait-il dit? Donc ce n'était pas le troisième qui était un receuil de trois feuilles volantes. Son sens de la déduction prouvait son intelligence malgré son absence totale d'éducation.
Tooka se sentait désemparée.. se forçant à esseyer de comprendre ces signes, ces formes qui ne voulait rien dire pour elle. Elle tomba sur ses genoux, désespérée, regardant les dossiers sur la table basse.
Elle avait honte de ne pas savoir lire car même les esclaves savait un minimum faire cet excercice. Tooka ne voulait pas le dire, ayant peur de pas être gardé au Castel et se faire punir par son Maître.
Comment allait-elle faire? Elle resterait stupide toute sa vie? Les larmes lui montèrent aux yeux, elle se mit à sangloter discrêtement, on ne l'enttendait pas pleurer. A genoux devant la table la tête penchée, Tooka était démunie devant sa propre ignorance.
C'est un atout ? Un vrai de vrai? Tooka est contente.
Le jeune homme tendit sa main et lui hôta un bout de feuille sur le coin de sa bouche. Tooka se sentait un peu bête... elle n'aurait pas du succomber à la tentation cela faisait un mauvais point pour elle.
Toutefois cet homme étai très séduisant et ne manquait pas de le regarder à la moindre occasion sous toute ses formes avec un sourire... plutôt coquin mais pas aguicheur du tout, comme si elle savait que c'était mal de détailler les gens ainsi du regard.
Pardonnez T.... moi! J'ai été tenté. Mais j... Je manges pas ça normalement.
Elle se gratta une corne, non pas car ca la grattait, ce n'était qu'une corne mais plus par tic qui trahissait sa gêne face à sa bêtise.
Ne donnez pas ce qu'elle veux à Tooka pour ça, ne vous inquietez pas.
Apparament, elle n'était pas habituée à demander quoi que ce soit pour elle. Et ce n'était pas une impression, c'était vraie. un signe de la t^te suffira pour que Tooka comprennent qu'il fallait le suivre, ce qu' elle fit avec un enthousiasme qui devait peut être contrasté avec toute les autres esclaves quand elle sont arrivés au Castel la première fois. Enfin peut être. En chemin, Soren demanda à la jeune femme de lui ammener quelque chose.. cela résonna dans la tête de Tooka "nourriture nourriture nourriture" ... Oui il fallait la'vouer... l'antilope était la pire gourmande qui pouvait exister.
Marchant dans les couloirs les yeux alerrte de la créature se posaient absolument tout. Et puis cette Antilope avait une mémoire d'éléphant, elle mémorisait tout ce qu'elle voyait. Marcher silencieusement.. c'était facile à dire mais pas à faire pour une personne doté de sabots. Mais la moquette l'aidait bien c'est vrai.
Le bureau s'ouvrit alors à elle. On entendit un petit " waaaah " discrêt. Jamais, ô grand jamais elle n'avait vu ca de sa vie, une immense pièce comme dans les film ! Pensait-elle. Elle se souvenait des films de château qu'elle avait vu dans la boite noire de son Maître. Elle semblait s'émerveiller pour tout et rien. Les paroles de Soren la sortirent de son admiration.
Faire le ménage, je sais faire!
Elle se mit au garde à vous. Tooka était amusante c'est vraie, mais en rien stupide. Assoifé de curiosité, elle avait hâte de nettoyer la salle pour découvrir les moindres recoins.. Et oh! Il y avait peut être des passages secrets! Comme dans les films! pensait-elle encore.
Il lui proposa de commencer en sa présence, elle sourit et chercha des yeux un plumeau qu'elle trouva bien vite dans un coin, posé discrêtement. Elle le prit, le regarde, le secoue un peu, éternue... et commence à épousseter les étagères. Et elle faisait ca très bien, même si elle n'avait jamais utiliser ce genre d'outil pour nettoyer. La salle était très bien entretenue, il y avait donc peu de poussière ce qui facilitait le travail.
Puis, Soren, sans lever ses yeux de son ordinateur, lui demanda de lui porter quelque chose.. Il ne vit pas la mine réjouie de l' Ainoko se déconfire en gêne et tristesse.
Mais ne perdant pas son courage ni sa volonté elle se dirigea vers la table basse et se penche. Le Titre lui semblait long, donc ce n'était pas le premier document, il était trop court... ni le suivant... Il en restait au moins 5 avec un titre assez long. Un dossier avait-il dit? Donc ce n'était pas le troisième qui était un receuil de trois feuilles volantes. Son sens de la déduction prouvait son intelligence malgré son absence totale d'éducation.
Tooka se sentait désemparée.. se forçant à esseyer de comprendre ces signes, ces formes qui ne voulait rien dire pour elle. Elle tomba sur ses genoux, désespérée, regardant les dossiers sur la table basse.
Elle avait honte de ne pas savoir lire car même les esclaves savait un minimum faire cet excercice. Tooka ne voulait pas le dire, ayant peur de pas être gardé au Castel et se faire punir par son Maître.
Comment allait-elle faire? Elle resterait stupide toute sa vie? Les larmes lui montèrent aux yeux, elle se mit à sangloter discrêtement, on ne l'enttendait pas pleurer. A genoux devant la table la tête penchée, Tooka était démunie devant sa propre ignorance.
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J'avais donc fait ma demande à Tooka et tout le reste m'était rapidement sorti de la tête. Ses airs de soldate simplette et naturelle, son amour pour les feuilles de mes plantes vertes et son emerveillement pour le Castel, qui m'avait amusé tandis que j'avais entendu le bruit de ses sabots étouffés par la grosse moquette de ma demeure.
J'avais fini par me replonger dans mes travaux jusqu'a m'y noyer, vérifiant des montagnes de chiffres qui correspondaient aux diverses action de la société familiale multinationale et tentaculaire qui était la mienne. Rien de franchement excitant et j'avais hâte de me débarasser de cela pour aller me détendre avec une esclave, voir même peut-être deux. Enfin, l'heure n'était pas aux ébats plus où moins enfiévrés, mais plutôt à l'étude migraineuse d'une partie de mes affaires au Japon (dont certains chiffres correspondaient à la traite d'esclaves en direction de Migoto). Mais il me manquait certains documents, que j'avais réclamé à ma nouvelle et délicieuse soubrette. Tiens, peut-être m'amuserais-je avec elle, aprés tout....
Et ce fichu dossier qui ne venait pas, bon sang ! Je levais les yeux vers Tooka, me préparant à lui passer un savon en règle lorsque je m'aperçus qu'elle était à genoux devant la table basse, occupée à sangloter en silence. Je me demandais ce qui avait pût la plonger dans un état semblable lorsque je vis les dossiers divers étalé sur la table, comme fouillés. Hm... Je voyais la couverture de celui qui m'interessait, il était parfaitement à la vue. Tooka pouvait donc s'en saisir et me le donner, alors pourquoi se mettait elle dans de pareils états ?
N'importe quel maitre se serait contenté de lui demander pourquoi elle pleurait, sans même s'y interesser vraiment. Alors pourquoi diable avais je décidé de me lever et d'aller prés d'elle aprés avoir laissé échappé un long soupir ? Allez savoir.
Toujours était il que je m'étais accroupis en face d'elle lui faisant relever le visage vers le mien pour découvrir ses yeux embués par les larmes. Un tableau touchant, vraiment. Pour la rassurer, je lui accordais un petit sourire.
- Allons bon, jolie Tooka... Qu'est ce qui vous mets dans des états pareil ?
Quelques coups à la porte alors qu'elle répondait. Je me levais pour ouvrir et découvrir Natty portant un petit plateau contenant une carafe plein de lait frais, un verre, une assiette de cookies et une tablette de chocolat blanc. D'un sourire je la remerciais et refermais doucement la porte sur elle posait le plateau sur la table basse, face à l'hybride. Tranquillement, je versais un peu de lait dans le verre et cassais un peu de chocolat blanc pour en mettre un morceau dans la main de Tooka avant de tout simplement m'assoir face à elle à même le sol, buvant une gorgée de lait.
- Goutez donc, Tooka. C'est bien meilleur que les feuilles de l'entrée, croyez moi ! Et ça fais oublier toutes les petites contrariétés du quotidien !
Alors que je reposais le verre, je ne savais pas qu'une petite moustache de lait était restée sur ma lèvre supérieure.
J'avais fini par me replonger dans mes travaux jusqu'a m'y noyer, vérifiant des montagnes de chiffres qui correspondaient aux diverses action de la société familiale multinationale et tentaculaire qui était la mienne. Rien de franchement excitant et j'avais hâte de me débarasser de cela pour aller me détendre avec une esclave, voir même peut-être deux. Enfin, l'heure n'était pas aux ébats plus où moins enfiévrés, mais plutôt à l'étude migraineuse d'une partie de mes affaires au Japon (dont certains chiffres correspondaient à la traite d'esclaves en direction de Migoto). Mais il me manquait certains documents, que j'avais réclamé à ma nouvelle et délicieuse soubrette. Tiens, peut-être m'amuserais-je avec elle, aprés tout....
Et ce fichu dossier qui ne venait pas, bon sang ! Je levais les yeux vers Tooka, me préparant à lui passer un savon en règle lorsque je m'aperçus qu'elle était à genoux devant la table basse, occupée à sangloter en silence. Je me demandais ce qui avait pût la plonger dans un état semblable lorsque je vis les dossiers divers étalé sur la table, comme fouillés. Hm... Je voyais la couverture de celui qui m'interessait, il était parfaitement à la vue. Tooka pouvait donc s'en saisir et me le donner, alors pourquoi se mettait elle dans de pareils états ?
N'importe quel maitre se serait contenté de lui demander pourquoi elle pleurait, sans même s'y interesser vraiment. Alors pourquoi diable avais je décidé de me lever et d'aller prés d'elle aprés avoir laissé échappé un long soupir ? Allez savoir.
Toujours était il que je m'étais accroupis en face d'elle lui faisant relever le visage vers le mien pour découvrir ses yeux embués par les larmes. Un tableau touchant, vraiment. Pour la rassurer, je lui accordais un petit sourire.
- Allons bon, jolie Tooka... Qu'est ce qui vous mets dans des états pareil ?
Quelques coups à la porte alors qu'elle répondait. Je me levais pour ouvrir et découvrir Natty portant un petit plateau contenant une carafe plein de lait frais, un verre, une assiette de cookies et une tablette de chocolat blanc. D'un sourire je la remerciais et refermais doucement la porte sur elle posait le plateau sur la table basse, face à l'hybride. Tranquillement, je versais un peu de lait dans le verre et cassais un peu de chocolat blanc pour en mettre un morceau dans la main de Tooka avant de tout simplement m'assoir face à elle à même le sol, buvant une gorgée de lait.
- Goutez donc, Tooka. C'est bien meilleur que les feuilles de l'entrée, croyez moi ! Et ça fais oublier toutes les petites contrariétés du quotidien !
Alors que je reposais le verre, je ne savais pas qu'une petite moustache de lait était restée sur ma lèvre supérieure.
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Toka était emplie de chagrin. Ne pas savoir lire devenait de plus en plus un soucit, elle ne pouvait même pas faire les courses normalement, ni lire une notice ou une recette de cuisine. Tout ces souvenirs lui étaient revenus en tête à cause d'un simple dossier. Elle allait peut être perdre son travail à cause de ça et cela la chagrinait énormément.
Soren se leva de son bureau. Elle l'enttendait se rapprocher. Tooka s'imaignait alors moulte punitions qu'elle pouvait subir, se souvenant comment ses anciens Maîtres la traitaient.La peur au ventre, cete inquiétude se dissipa bien rapidement quand le jeune homme vint s'accroupir en face d'elle et releva son visage. Ce geste était dénué de toute volonté de lui faire du mal et elle l'avait comprit d'un simple regard.
Elle lui répondit calmement pour ne pas que sa voix saute à cause des sanglots.
Tooka... est stupide... bête... Tooka ne sais pas lire ..ni écrire
Dit-elle avec une petite voix, ce qui était un peu étrange carelle avait une belle voix grave de femme. Elle regardait Soren avec un air profondément attristé.
Monsieur.... ne va pas me garder n'est-ce pas? N'importe qui sais lire.. même un esclave.. sauf moi...
Elle essuya ses larmes avec la manche de son pull. Elle ne pleurait plus mais ne perdait pas son air triste. Quelqu'un toqua à la porte pendant qu'elle finisait de parler. C'était la femme du hall d'entrée qu irevenait avec un plateau. Les yeux de la créature se posèrent sur ce qu'il contenait. Le tout fut posé devant elle avant que l'arivante ne reparte. Soren était souriant et versait du lait dans un verre, puis, il cassa le chocolat blanc et mit un morceau dans la main de Tooka.Pendant qu'il buvait et s'installait au mieux devant la crature, celle-ci regarda avec curiosité le chocolat.
Elle le sentit, regarda sa couleur, le renifle encore... donne un petit coup de langue dessus. L'air sur son visage indiquait qu'elle avait aimé le goût.. etla suite aussi car elle mitle morceau dans sa bouche et le laissa fondre. Un beau sourire se dessine sur ses lèvres.
Monsieur à raison, c'est très bon et bien meilleur que les feuilles!
Elle le regarda et mit à rire doucement en voyant la trace de lait sur le visage de Soren.
Monsieur! Vous avez plein de blanc!
"Blanc"? Tooka n'avait pas encore vraiment gouté le lait non plus. Sa connaissance culinaire était extrêment limité, elle décuovrait à peine les joies des saveurs avec Mehen et était loin d'avoir goûté à tout.
Tient... D'ailleurs c'est quoi ce blanc? Se demanda t-elle. Tooka regarde le verre de Soren... et le regarde à nouveau. Elle se redresse, se mit à quatre pattes et s'approche du jeune homme ainsi, lentement.
Là...
Raprochant son visage à quelque milimètre du sien, elle lécha la petite moustache de lait avec douceur... Puis, elle recule et s'assoit à nouveau au sol.
C'est bon ce liquide blanc. Meilleur que la semence des Maîtres de Tooka.
En voilà des propos bien cru! Mais à en juger son air, elle n'était peut être pas si enfantine que ça. Tooka semblait juste ne pas avoir de tabou dans ce domaine tout simplement et disait le schose comme ca lui venait.
Elle lui adressait un large sourire.
Soren se leva de son bureau. Elle l'enttendait se rapprocher. Tooka s'imaignait alors moulte punitions qu'elle pouvait subir, se souvenant comment ses anciens Maîtres la traitaient.La peur au ventre, cete inquiétude se dissipa bien rapidement quand le jeune homme vint s'accroupir en face d'elle et releva son visage. Ce geste était dénué de toute volonté de lui faire du mal et elle l'avait comprit d'un simple regard.
Elle lui répondit calmement pour ne pas que sa voix saute à cause des sanglots.
Tooka... est stupide... bête... Tooka ne sais pas lire ..ni écrire
Dit-elle avec une petite voix, ce qui était un peu étrange carelle avait une belle voix grave de femme. Elle regardait Soren avec un air profondément attristé.
Monsieur.... ne va pas me garder n'est-ce pas? N'importe qui sais lire.. même un esclave.. sauf moi...
Elle essuya ses larmes avec la manche de son pull. Elle ne pleurait plus mais ne perdait pas son air triste. Quelqu'un toqua à la porte pendant qu'elle finisait de parler. C'était la femme du hall d'entrée qu irevenait avec un plateau. Les yeux de la créature se posèrent sur ce qu'il contenait. Le tout fut posé devant elle avant que l'arivante ne reparte. Soren était souriant et versait du lait dans un verre, puis, il cassa le chocolat blanc et mit un morceau dans la main de Tooka.Pendant qu'il buvait et s'installait au mieux devant la crature, celle-ci regarda avec curiosité le chocolat.
Elle le sentit, regarda sa couleur, le renifle encore... donne un petit coup de langue dessus. L'air sur son visage indiquait qu'elle avait aimé le goût.. etla suite aussi car elle mitle morceau dans sa bouche et le laissa fondre. Un beau sourire se dessine sur ses lèvres.
Monsieur à raison, c'est très bon et bien meilleur que les feuilles!
Elle le regarda et mit à rire doucement en voyant la trace de lait sur le visage de Soren.
Monsieur! Vous avez plein de blanc!
"Blanc"? Tooka n'avait pas encore vraiment gouté le lait non plus. Sa connaissance culinaire était extrêment limité, elle décuovrait à peine les joies des saveurs avec Mehen et était loin d'avoir goûté à tout.
Tient... D'ailleurs c'est quoi ce blanc? Se demanda t-elle. Tooka regarde le verre de Soren... et le regarde à nouveau. Elle se redresse, se mit à quatre pattes et s'approche du jeune homme ainsi, lentement.
Là...
Raprochant son visage à quelque milimètre du sien, elle lécha la petite moustache de lait avec douceur... Puis, elle recule et s'assoit à nouveau au sol.
C'est bon ce liquide blanc. Meilleur que la semence des Maîtres de Tooka.
En voilà des propos bien cru! Mais à en juger son air, elle n'était peut être pas si enfantine que ça. Tooka semblait juste ne pas avoir de tabou dans ce domaine tout simplement et disait le schose comme ca lui venait.
Elle lui adressait un large sourire.
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[Comment rester sérieux aprés ça ? XD]
Le désarroi de Tooka était touchant, c'était chose certaine. Il y avait tant de tristesse dans le regard de cette si intriguante créature qu'il était impossible de rester de marbre devant ce spectacle désarmant. Je commençais à m'habituer aux esclaves un peu à part, à force d'en prendre sous mon aile. De ce point de vue, l'hybride grisâtre avait largement sa place au Castel. Bien entendu, elle avait son maître et celui çi avait fait une acquisition hors norme. Cette pensée me fit légèrement sourire. Je n'étais pas le seul à m'entourer de créatures sortant un peu de l'ordinaire.
Quoique je revoyais mon jugement sur Tooka. Elle ne m'avait parue être qu'une simple esclave endoctrinée et obéissante, mais je voyais au travers de ses sanglots quelque chose de plus profond. Elle s'en voulait de ne pas savoir lire et s'estimait bête. A moi de lui faire comprendre qu'elle était dans le tort.
- Ecoutez, Tooka. Penser qu'on est stupide prouve bien qu'on ne l'est pas, vous comprenez ? Se remettre en question de cette façon prouve bien que vous êtes loin d'être stupide.
Je pensais vraiment mes paroles. Se rendre compte de ce genre de chose prouvait simplement qu'on était loin d'être bête. Tooka manquait certes de culture, mais pas d'intelligence. Et c'était là qu'il fallait qu'elle saisisse la nuance. Le problème, c'était qu'elle pensait que cette révélation pouvait lui coûter sa place et donc son salaire. Je lui recoiffais une mêche de cheveux d'un geste doux en lui répondant.
- Monsieur va vous garder, Tooka. Vous n'avez pas besoin de lire pour faire le ménage. Et puis monsieur pourra toujours vous apprendre quelque chose, comme l'alphabet. Les lettres donc, et surtout la façon de les utiliser.
Je n'aurais pas fais cela pour n'importe qui non plus. Pourquoi cette proposition, alors ? Son côté touchant, du moins je le supposais. Et puis j'aimais trop notre langue pour laisser quelqu'un qui était à mon service dans l'ignorance. L'occassion de plus de garder Tooka un peu plus, pour mon plaisir personnel. Elle me plaisait et me divertissait, une véritable bouffée d'air dans mon quotidien étouffant, alors que cela ne faisait que quelques minutes qu'elle était là. Il y avait des connexions parfois inattendues....
Ce fût ma petite cornue qui me tira de ma rêverie. Elle s'extasia comme une enfant devant... ma moustache de lait ! J'allais l'essuyer lorsqu'elle se pencha vers moi pour tout bonnement venir la lécher délicatement du bout de la langue !
Une fois fini, elle recula doucement s'assoir. Quel naturel épatant, vraim.......
............
Ah ça, pour être nature, elle était nature, la bougresse ! La réplique qu'elle m'accorda alors fusa tandis que j'avais saisi à nouveau mon verre pour le porter à mes lèvres. Et lorsque le lait commenca à couler dans ma gorge, l'allusion vint me frapper comme un coup de fouet. Et autant vous dire que l'image qui s'afficha dans mon esprit en vue panoramique manqua de me faire étouffer alors que mes yeux s'écarquillèrent grandement tandis que j'avais mon regard braqué sur ma compagne.
Je toussais, toussais encore, posant mon verre sur la table tandis que je me frappais la poitrine. Tentant de garder un tant soit peu de prestance, j'entamais une phrase rendue difficile. Plus encore que je ne le pensais.....
- ....Ah, vous aimez ça *reuh treuh* le lait... C'est meilleur que la semance, non ? Vous voulez goûter *reuuh reuh* une gorgée comme la mienne ?
Le désarroi de Tooka était touchant, c'était chose certaine. Il y avait tant de tristesse dans le regard de cette si intriguante créature qu'il était impossible de rester de marbre devant ce spectacle désarmant. Je commençais à m'habituer aux esclaves un peu à part, à force d'en prendre sous mon aile. De ce point de vue, l'hybride grisâtre avait largement sa place au Castel. Bien entendu, elle avait son maître et celui çi avait fait une acquisition hors norme. Cette pensée me fit légèrement sourire. Je n'étais pas le seul à m'entourer de créatures sortant un peu de l'ordinaire.
Quoique je revoyais mon jugement sur Tooka. Elle ne m'avait parue être qu'une simple esclave endoctrinée et obéissante, mais je voyais au travers de ses sanglots quelque chose de plus profond. Elle s'en voulait de ne pas savoir lire et s'estimait bête. A moi de lui faire comprendre qu'elle était dans le tort.
- Ecoutez, Tooka. Penser qu'on est stupide prouve bien qu'on ne l'est pas, vous comprenez ? Se remettre en question de cette façon prouve bien que vous êtes loin d'être stupide.
Je pensais vraiment mes paroles. Se rendre compte de ce genre de chose prouvait simplement qu'on était loin d'être bête. Tooka manquait certes de culture, mais pas d'intelligence. Et c'était là qu'il fallait qu'elle saisisse la nuance. Le problème, c'était qu'elle pensait que cette révélation pouvait lui coûter sa place et donc son salaire. Je lui recoiffais une mêche de cheveux d'un geste doux en lui répondant.
- Monsieur va vous garder, Tooka. Vous n'avez pas besoin de lire pour faire le ménage. Et puis monsieur pourra toujours vous apprendre quelque chose, comme l'alphabet. Les lettres donc, et surtout la façon de les utiliser.
Je n'aurais pas fais cela pour n'importe qui non plus. Pourquoi cette proposition, alors ? Son côté touchant, du moins je le supposais. Et puis j'aimais trop notre langue pour laisser quelqu'un qui était à mon service dans l'ignorance. L'occassion de plus de garder Tooka un peu plus, pour mon plaisir personnel. Elle me plaisait et me divertissait, une véritable bouffée d'air dans mon quotidien étouffant, alors que cela ne faisait que quelques minutes qu'elle était là. Il y avait des connexions parfois inattendues....
Ce fût ma petite cornue qui me tira de ma rêverie. Elle s'extasia comme une enfant devant... ma moustache de lait ! J'allais l'essuyer lorsqu'elle se pencha vers moi pour tout bonnement venir la lécher délicatement du bout de la langue !
Une fois fini, elle recula doucement s'assoir. Quel naturel épatant, vraim.......
............
Ah ça, pour être nature, elle était nature, la bougresse ! La réplique qu'elle m'accorda alors fusa tandis que j'avais saisi à nouveau mon verre pour le porter à mes lèvres. Et lorsque le lait commenca à couler dans ma gorge, l'allusion vint me frapper comme un coup de fouet. Et autant vous dire que l'image qui s'afficha dans mon esprit en vue panoramique manqua de me faire étouffer alors que mes yeux s'écarquillèrent grandement tandis que j'avais mon regard braqué sur ma compagne.
Je toussais, toussais encore, posant mon verre sur la table tandis que je me frappais la poitrine. Tentant de garder un tant soit peu de prestance, j'entamais une phrase rendue difficile. Plus encore que je ne le pensais.....
- ....Ah, vous aimez ça *reuh treuh* le lait... C'est meilleur que la semance, non ? Vous voulez goûter *reuuh reuh* une gorgée comme la mienne ?
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[Hj: J'étais pliée en deux xD ]
Tooka dans toute sa candeur écoutait Soren avec une grande attention. Essuyant ses larmes restantes avec son vêtement, elle lui sourit alors qu'il répondait qu'il ne la trouvait pas stupide, et justement ses questionnements sur sa propre incapacité à lire et à comprendre les choses prouvait son intelligence. Tooka réalisa qu'il y avait beaucoup de vrai là dedans. Une personne stupide ne penserait pas qu'elle soit bête, hors elle, s'en rendait compte et voulait même changer cela. Les paroles du jeune homme étaient sincères cela s'entendait parfaitement dans le ton qu'il prit à ce moment là.
D'une main amicale, il lui replaça une mèche de cheveux rebelle, un geste banal mais tendre qui n'échappe pas à la créature peu habituée aux marques de tendresse. Il la rassura par la suite. A ce moment la la jeune femme eu un sourire des plus radieux, rassurée de rester ici malgré son handicap. Il lui proposa même de lui apprendre deux trois choses.
C'est vrai? monsieur veux bien apprendre à Tooka?
Il confirma et l' Ainoko jubilais presque, sa queue remuait sur le sol comme celle d'un chiot tout content. Elle était si contente! Ce monsieur était vraiment gentil en plus d'être fort séduisant pensait-elle, elle avait vraiment beaucoup de chance. Elle voulait le remercier mais ne savait pas trop comment faire.
Après avoir si délicatement léché la moustache de lait sur la peau de Soren, sa réplique le fit s'étouffer alors qu'il buvait à nouveau du lait. Se frappant al poitrine et toussant, Tooka s'approcha de lui et posa sa main sur son épaule, son visage était inquiet, mais il n semblait juste surprit par ce qu'elle venait de dire.
Alors qu'il avait encore la gorge prise par son étouffement, Soren réussit à prononcer une phrase qui semblait avoir du mal à exprimer. Penchant la tête sur le coté et retirant la main de son épaule, Tooka mit quelques secondes avant de comprendre la phrase en entier. Elle se rapproche et lui tapotte le dos doucement.
Puis... il termina sa phrase enfin et elle comprit bien vite. Son sourire changea, il était toujours plein de fraicheur mais il semblait plus coquin cette fois.
Monsieur.... Veux que Tooka le goûte?
Elle rougit mais son regard semblait trouverla chose.. très appétissante. Sa voix prenait même un ton plus sensuel sans vraiment forcer ce qui lui laissait toujours son coté naturel.
Que je vous goûte et vous dise si vous êtes bon?
Elle se mit à quatre patte pour se rapprocher de son visage, très prêt à quelques centimètres. La créature dégageait une sorte d'aura érotique tant ses mots devinrent sulfureux.
Tooka veux bien... goûter...
A cet instant précit, quelque chose glissa sur le pantalon de Soren. Ce ne pouvait pas être ses mains car elle était appuyée dessus. Cette chose était très souple car elle réussit à se glisser sous la chemise de Soren, puis sous sa ceinture. Le regard de Tooka était toujours aussi inonçent, comme une jeune fille qui commetait une bétise sous les yeux de son mentor.
Soren sent alors quelque chose de très doux venir toucher sa virilité encore caché. C'était lisse, doux et très méticuleux, mais ce n'était si petit que ca. Si il avait la curiosité de baisser les yeux, il pouvait voir la queue de la jeune hybride qui passaient entre ses cuisses , puis sous son pantalon à lui.
Voilà une jeune femme pleines de ressources et de surprise....
N'ayez pas peur... Si Monsieur ne veux plus, qu'il le dise...
Lui souffla t-elle avec un ton désireux. Si Tooka disait cela, c'est uniquement à cause de ses anciens maitres qui avaient une immense peur de l'appendice de la jeune femme, craignant qu'elle leur fasse du mal o trouvant ca répugnant alors que c'était encore plus doux que les caresses d'une main.
Tooka enroula sa queue autour de la verge de Soren, s'appuya sur une main pour déboutonner le pantalon du jeune homme. Puis, elle guida sa tête au cou de Soren pour y déposer ses lèvres quelques secondes et lui murmurer à son oreille:
Tooka vous trouve très beau.
Elle revint face à lui et lui sourit timidement alors que son appendice avait saisit très délicatement le sexe du jeune homme pour l'extirper avec douceur de sa cachette.
Tooka dans toute sa candeur écoutait Soren avec une grande attention. Essuyant ses larmes restantes avec son vêtement, elle lui sourit alors qu'il répondait qu'il ne la trouvait pas stupide, et justement ses questionnements sur sa propre incapacité à lire et à comprendre les choses prouvait son intelligence. Tooka réalisa qu'il y avait beaucoup de vrai là dedans. Une personne stupide ne penserait pas qu'elle soit bête, hors elle, s'en rendait compte et voulait même changer cela. Les paroles du jeune homme étaient sincères cela s'entendait parfaitement dans le ton qu'il prit à ce moment là.
D'une main amicale, il lui replaça une mèche de cheveux rebelle, un geste banal mais tendre qui n'échappe pas à la créature peu habituée aux marques de tendresse. Il la rassura par la suite. A ce moment la la jeune femme eu un sourire des plus radieux, rassurée de rester ici malgré son handicap. Il lui proposa même de lui apprendre deux trois choses.
C'est vrai? monsieur veux bien apprendre à Tooka?
Il confirma et l' Ainoko jubilais presque, sa queue remuait sur le sol comme celle d'un chiot tout content. Elle était si contente! Ce monsieur était vraiment gentil en plus d'être fort séduisant pensait-elle, elle avait vraiment beaucoup de chance. Elle voulait le remercier mais ne savait pas trop comment faire.
Après avoir si délicatement léché la moustache de lait sur la peau de Soren, sa réplique le fit s'étouffer alors qu'il buvait à nouveau du lait. Se frappant al poitrine et toussant, Tooka s'approcha de lui et posa sa main sur son épaule, son visage était inquiet, mais il n semblait juste surprit par ce qu'elle venait de dire.
Alors qu'il avait encore la gorge prise par son étouffement, Soren réussit à prononcer une phrase qui semblait avoir du mal à exprimer. Penchant la tête sur le coté et retirant la main de son épaule, Tooka mit quelques secondes avant de comprendre la phrase en entier. Elle se rapproche et lui tapotte le dos doucement.
Puis... il termina sa phrase enfin et elle comprit bien vite. Son sourire changea, il était toujours plein de fraicheur mais il semblait plus coquin cette fois.
Monsieur.... Veux que Tooka le goûte?
Elle rougit mais son regard semblait trouverla chose.. très appétissante. Sa voix prenait même un ton plus sensuel sans vraiment forcer ce qui lui laissait toujours son coté naturel.
Que je vous goûte et vous dise si vous êtes bon?
Elle se mit à quatre patte pour se rapprocher de son visage, très prêt à quelques centimètres. La créature dégageait une sorte d'aura érotique tant ses mots devinrent sulfureux.
Tooka veux bien... goûter...
A cet instant précit, quelque chose glissa sur le pantalon de Soren. Ce ne pouvait pas être ses mains car elle était appuyée dessus. Cette chose était très souple car elle réussit à se glisser sous la chemise de Soren, puis sous sa ceinture. Le regard de Tooka était toujours aussi inonçent, comme une jeune fille qui commetait une bétise sous les yeux de son mentor.
Soren sent alors quelque chose de très doux venir toucher sa virilité encore caché. C'était lisse, doux et très méticuleux, mais ce n'était si petit que ca. Si il avait la curiosité de baisser les yeux, il pouvait voir la queue de la jeune hybride qui passaient entre ses cuisses , puis sous son pantalon à lui.
Voilà une jeune femme pleines de ressources et de surprise....
N'ayez pas peur... Si Monsieur ne veux plus, qu'il le dise...
Lui souffla t-elle avec un ton désireux. Si Tooka disait cela, c'est uniquement à cause de ses anciens maitres qui avaient une immense peur de l'appendice de la jeune femme, craignant qu'elle leur fasse du mal o trouvant ca répugnant alors que c'était encore plus doux que les caresses d'une main.
Tooka enroula sa queue autour de la verge de Soren, s'appuya sur une main pour déboutonner le pantalon du jeune homme. Puis, elle guida sa tête au cou de Soren pour y déposer ses lèvres quelques secondes et lui murmurer à son oreille:
Tooka vous trouve très beau.
Elle revint face à lui et lui sourit timidement alors que son appendice avait saisit très délicatement le sexe du jeune homme pour l'extirper avec douceur de sa cachette.
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Et voilà que je toussais avec un peu plus de violence ! Oui, cette gorgée était vraiment passée au mauvais endroit et je peinais à me rétablir. Les claques de Tooka entre mes omoplates m'y aidèrent toutefois et peu à peu, je respirais normalement. Tant mieux.
Mes yeux se posèrent sur la drôle d'hybride et je discernais sans mal un sourire qui semblait un peu plus "rose" que les précédents. Tooka qui semblait si impatiente d'apprendre à lire et écrire semblait avoir quelques autres idées derrière la tête, sans que je saisisse vraiment pourquoi. Je laissais échapper une dernière quinte de toux tout en l'écoutant parler. Elle me demandait si je voulais qu'elle me goûte ! Et dire que je ne pouvais répondre ! Son ton de voix devint rapidement plus chaud et plus sensuel alors qu'elle me signifiait qu'elle était d'accord. Moi qui ne demandait rien, j'allais visiblement être servi.
J'allais la reprendre pour faire cesser cete succession de malentendu quand quelque chose vint me perturber. Une chose me glissa le long du pantalon, passant rapidement et sans difficultés aucune sous les pans de ma chemise. Je restais un moment interdit, ne sachant que penser. Je fûs vraiment surpris lorsque je constatais que cette douceur exploratrice n'était pas l'une des main de Tooka, étant donné qu'elle conservait son appui sur les deux. Mais alors... Quoi ? Et puis cela vint purement et simplement caresser mon membre, apportant une sensation de douceur nouvelle. Comment l'expliquer ? J'en serais incapable, à vrai dire. Je baissais les yeux pour découvrir sa queue sous les tissus de mes vêtements. Oui, son curieux appendice était entrain de s'approprier ma verge !
Rapidement, mon regard vint croiser le sien. Je devais avouer que cela me dégoûtait un peu, du moins au départ. Mais ce qu'elle commençait à me faire ressentir allait bien au-dessus du dégoût. Et puis cette nouvelle expérience serait loin d'être un mal, visiblement.
- Je n'ai nulle peur... Mais c'est assez.... Particulier.
Alors elle s'approcha et vint me déboutonner tranquillement alors que sa queue continuait d'enserrer mon sexe avec douceur, tandis que ce dernier semblait durcir malgré moi. Puis Tooka se pencha à mon épaule, pour venir murmurer au creux de mon oreille qu'elle me trouvait beau. Trés beau, même.....
Elle ne cessait de me surprendre, cette jolie esclave. D'ailleurs, je n'ajoutais rien tandis que je la laissais sortir mon attribut masculin aux jolies proportions, mais je me repris vite, posant une main sur sa joue pour la caresser en un sourire.
- Monsieur vous trouve superbe, Tooka. Superbe.
Et en quelques gestes parfaitement assuré, je vins lui ôter son pull pour saisir lun de ses seins fermes dans une mains, tentant de lui rendre les caresses qu'elle m'adressait.
Mes yeux se posèrent sur la drôle d'hybride et je discernais sans mal un sourire qui semblait un peu plus "rose" que les précédents. Tooka qui semblait si impatiente d'apprendre à lire et écrire semblait avoir quelques autres idées derrière la tête, sans que je saisisse vraiment pourquoi. Je laissais échapper une dernière quinte de toux tout en l'écoutant parler. Elle me demandait si je voulais qu'elle me goûte ! Et dire que je ne pouvais répondre ! Son ton de voix devint rapidement plus chaud et plus sensuel alors qu'elle me signifiait qu'elle était d'accord. Moi qui ne demandait rien, j'allais visiblement être servi.
J'allais la reprendre pour faire cesser cete succession de malentendu quand quelque chose vint me perturber. Une chose me glissa le long du pantalon, passant rapidement et sans difficultés aucune sous les pans de ma chemise. Je restais un moment interdit, ne sachant que penser. Je fûs vraiment surpris lorsque je constatais que cette douceur exploratrice n'était pas l'une des main de Tooka, étant donné qu'elle conservait son appui sur les deux. Mais alors... Quoi ? Et puis cela vint purement et simplement caresser mon membre, apportant une sensation de douceur nouvelle. Comment l'expliquer ? J'en serais incapable, à vrai dire. Je baissais les yeux pour découvrir sa queue sous les tissus de mes vêtements. Oui, son curieux appendice était entrain de s'approprier ma verge !
Rapidement, mon regard vint croiser le sien. Je devais avouer que cela me dégoûtait un peu, du moins au départ. Mais ce qu'elle commençait à me faire ressentir allait bien au-dessus du dégoût. Et puis cette nouvelle expérience serait loin d'être un mal, visiblement.
- Je n'ai nulle peur... Mais c'est assez.... Particulier.
Alors elle s'approcha et vint me déboutonner tranquillement alors que sa queue continuait d'enserrer mon sexe avec douceur, tandis que ce dernier semblait durcir malgré moi. Puis Tooka se pencha à mon épaule, pour venir murmurer au creux de mon oreille qu'elle me trouvait beau. Trés beau, même.....
Elle ne cessait de me surprendre, cette jolie esclave. D'ailleurs, je n'ajoutais rien tandis que je la laissais sortir mon attribut masculin aux jolies proportions, mais je me repris vite, posant une main sur sa joue pour la caresser en un sourire.
- Monsieur vous trouve superbe, Tooka. Superbe.
Et en quelques gestes parfaitement assuré, je vins lui ôter son pull pour saisir lun de ses seins fermes dans une mains, tentant de lui rendre les caresses qu'elle m'adressait.
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Tooka remarqua une moue exprimant un léger dégoût quand il baissa les yeux et vit cet appendice souple et doux. La jeune hybride avait l'habitude de ce genre de réaction, il est vrai que cela faisait penser à une sorte de tentacule mais s'en était bien loin: lisse et propre, doux et complètement imperbe le diamètre du bout de queue de devenait pas dépasser les 3 centimètres rien de bien effreyant en somme, l'épaisseur de 3 doigts ne ferait pas mieux. Soren la rassura toutefois, en lui disant qu'il n'avait pas peur, cependant, il trouvait la chose bien particulière.
Pendant qu'elle l'embrassait Tooka retira doucement sa queue de la verge du le jeune homme, même si il durcissait, il ne fallait pas le brusquer sur cette particularité singulière. Il semblait apprécier le contact de ses lèvres sur sa peau, et cela ne laissait pas l' hybride indifférente, elle qui était si sensible aux ressentit des autres, elle souria. Le compliment de Soren la firent rougir, jusque la seul Mehen l'avait trouvé à son goût, mais dire qu'elle était superbe... la fit frissonner et revenir vers son visage avec un sourire absolument adorable.
Monsieur est si gentil avec moi...
Dit-elle comme un murmure avec sa voix chaude et langoureuse. Ce ton de voix n'était pas un artiffice et elle semblait encore plus naturelle. Le bel homme, en quelques gestes, retira le pull de Tooka. Sa poitrine à nue, elle ne portait pas de sous vêtements. A voir ses seins fermes et tendus elle n'en avait nullement besoin. Comprenant ses intentions, la jeune femme reprit confiance en elle et enroula tendrement sa queue autour du sexe de Soren. La main du jeune homme enveloppa sa chair, la chaleur de sa peau sur la sienne fit pousser un soupir de plaisir à l'antilope.
Elle se mit à genoux en se rapprochant de lui afin de faciliter les caresses et mieux profiter de la chaleur du jeune homme, qu'elle appréciait déjà. Sa queue passait toujours entre ses cuisses remontant légèrement sa jupe simple et noire. A première vu, c'était dégoûtant.. mais si l'ont prenait le temps d'apprécier c'était agréable et surtout, si l'on avait l'esprit un tantinet pervers, les idées pouvaient fuser sur l'utilisation d'un tel atout dans un ébat sexuel. Tooka savait comment se servir de son appendice et elle ne manquerait pas de le montrer....
Les mains libres, ses doigts parcourent le torse encore vêtu de Soren avant de se poser sur chaque bouton... un par un, tous finirent pas s'ouvrir. Tooka avait le souffle de plus en plus court et son sourire ne quittait pas son visage doux. Se pincant la lèvre inférieur ses doigts de soie parcourrurent les traits des muscles fuselés de Soren.
Le jeune homme pourvait sentir que maintenant, la queue de Tooka se déroulait... s'enroulait... se déroulait encore pour s'enrouler , et ainsi de suite créant ainsi une caresse unique qu'il n'avait surement jamais ressentit auparavent. Ce mouvement était lent et appuyé avec une force parfaitement maitriser pour lui procurer du plaisir et lui faire oublier l'aspect dégoûtant que pouvait avoir cet appendice.
Tooka...Va vous faire appréciez sa particularité...
Pendant qu'elle l'embrassait Tooka retira doucement sa queue de la verge du le jeune homme, même si il durcissait, il ne fallait pas le brusquer sur cette particularité singulière. Il semblait apprécier le contact de ses lèvres sur sa peau, et cela ne laissait pas l' hybride indifférente, elle qui était si sensible aux ressentit des autres, elle souria. Le compliment de Soren la firent rougir, jusque la seul Mehen l'avait trouvé à son goût, mais dire qu'elle était superbe... la fit frissonner et revenir vers son visage avec un sourire absolument adorable.
Monsieur est si gentil avec moi...
Dit-elle comme un murmure avec sa voix chaude et langoureuse. Ce ton de voix n'était pas un artiffice et elle semblait encore plus naturelle. Le bel homme, en quelques gestes, retira le pull de Tooka. Sa poitrine à nue, elle ne portait pas de sous vêtements. A voir ses seins fermes et tendus elle n'en avait nullement besoin. Comprenant ses intentions, la jeune femme reprit confiance en elle et enroula tendrement sa queue autour du sexe de Soren. La main du jeune homme enveloppa sa chair, la chaleur de sa peau sur la sienne fit pousser un soupir de plaisir à l'antilope.
Elle se mit à genoux en se rapprochant de lui afin de faciliter les caresses et mieux profiter de la chaleur du jeune homme, qu'elle appréciait déjà. Sa queue passait toujours entre ses cuisses remontant légèrement sa jupe simple et noire. A première vu, c'était dégoûtant.. mais si l'ont prenait le temps d'apprécier c'était agréable et surtout, si l'on avait l'esprit un tantinet pervers, les idées pouvaient fuser sur l'utilisation d'un tel atout dans un ébat sexuel. Tooka savait comment se servir de son appendice et elle ne manquerait pas de le montrer....
Les mains libres, ses doigts parcourent le torse encore vêtu de Soren avant de se poser sur chaque bouton... un par un, tous finirent pas s'ouvrir. Tooka avait le souffle de plus en plus court et son sourire ne quittait pas son visage doux. Se pincant la lèvre inférieur ses doigts de soie parcourrurent les traits des muscles fuselés de Soren.
Le jeune homme pourvait sentir que maintenant, la queue de Tooka se déroulait... s'enroulait... se déroulait encore pour s'enrouler , et ainsi de suite créant ainsi une caresse unique qu'il n'avait surement jamais ressentit auparavent. Ce mouvement était lent et appuyé avec une force parfaitement maitriser pour lui procurer du plaisir et lui faire oublier l'aspect dégoûtant que pouvait avoir cet appendice.
Tooka...Va vous faire appréciez sa particularité...
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Tooka...Va vous faire apprécier sa particularité...
Et en plus, elle était joueuse.... Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre qu'elle savait sûrement utiliser sa queue de bien des façons Pour en avoir fait profiter bien des hommes avant moi. Du coup, j'en venais à me trouver.... Ininteressant. Curieux sentiment, franchement désagréable au possible. Je ne voyais pas comment surprendre une femme qui elle m'épatait à chaque nouvelle action. Et puis, que devais-je faire ? Me montrer plus passif qu'a l'accoutumée ou bien plus entreprenant et brusque encore, me posant en dominateur ? hmpf....
Ce fût l'appendice de Tooka qui vint à m'extraire de ces sombres reflexions, m'offrant de l'inédit. Moi qui pensait ne plus pouvoir être sexuellement surpris, je devais ranger mon égo. Sa queue s'enroulait pour m'enserrer doucement avant de relâcher l'étreinte puis de recommencer ce manège pervers autour de mon sexe durcissant doucement. Je ne savais pas les autres partenaires de Tooka avaient apprécié les dons de l'antilope, mais j'étais sûr d'une chose : c'était mon cas. Passé les premiers émois, il suffisait de profiter de la douceur et du "doigté" de notre hybride. Et je savourais tout cela....
Ma main pétrissait son sein avec fermeté. Sous ma paume, je sentais un glode tendu aux proportions idéales. Entre mes doigts se dressait un téton dur avec lequel je ne manquais pas de jouer légèrement, avant de venir le pincer pour le tirer un peu. Pas de douleur trop vive, du moins je l'espérais.
- Si vous êtes assez habile... Qui sait si je ne vous prendrais pas à mon service exclusif.... Je cherche depuis longtemps un jouet qui soit docile, efficace mais pas sans âme.... Qu'en dites vous ?
Je savais bien qu'elle avait un maître, mais je savais pertinemment qu'un arrangement financier pourrait me faire obtenir Tooka. Je la voulais et je l'aurais aucune autre option n'était possible, sauf celle éventuelle de son refus. Dans ce cas, je n'insisterais pas et la laisserait partir. En attendant, il était hors de question qu'elle file... Je voulais la prendre et je le ferais.
Alors que je continuais de martyriser tendrement la pointe dure de son sein, je levais sa jupe de l'autre et caressait son entrejambe du bout de mon pied. Y mettre la main n'aurait pas été difficile, simplement inconfortable. Ma seconde main vint emprisonner son autre sein alors que je vins l'embrasser goulument, attendant qu'elle daigne mettre ces lèvres charnues autour de mon sexe qu'elle faisait durcir avec talent...
Et en plus, elle était joueuse.... Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre qu'elle savait sûrement utiliser sa queue de bien des façons Pour en avoir fait profiter bien des hommes avant moi. Du coup, j'en venais à me trouver.... Ininteressant. Curieux sentiment, franchement désagréable au possible. Je ne voyais pas comment surprendre une femme qui elle m'épatait à chaque nouvelle action. Et puis, que devais-je faire ? Me montrer plus passif qu'a l'accoutumée ou bien plus entreprenant et brusque encore, me posant en dominateur ? hmpf....
Ce fût l'appendice de Tooka qui vint à m'extraire de ces sombres reflexions, m'offrant de l'inédit. Moi qui pensait ne plus pouvoir être sexuellement surpris, je devais ranger mon égo. Sa queue s'enroulait pour m'enserrer doucement avant de relâcher l'étreinte puis de recommencer ce manège pervers autour de mon sexe durcissant doucement. Je ne savais pas les autres partenaires de Tooka avaient apprécié les dons de l'antilope, mais j'étais sûr d'une chose : c'était mon cas. Passé les premiers émois, il suffisait de profiter de la douceur et du "doigté" de notre hybride. Et je savourais tout cela....
Ma main pétrissait son sein avec fermeté. Sous ma paume, je sentais un glode tendu aux proportions idéales. Entre mes doigts se dressait un téton dur avec lequel je ne manquais pas de jouer légèrement, avant de venir le pincer pour le tirer un peu. Pas de douleur trop vive, du moins je l'espérais.
- Si vous êtes assez habile... Qui sait si je ne vous prendrais pas à mon service exclusif.... Je cherche depuis longtemps un jouet qui soit docile, efficace mais pas sans âme.... Qu'en dites vous ?
Je savais bien qu'elle avait un maître, mais je savais pertinemment qu'un arrangement financier pourrait me faire obtenir Tooka. Je la voulais et je l'aurais aucune autre option n'était possible, sauf celle éventuelle de son refus. Dans ce cas, je n'insisterais pas et la laisserait partir. En attendant, il était hors de question qu'elle file... Je voulais la prendre et je le ferais.
Alors que je continuais de martyriser tendrement la pointe dure de son sein, je levais sa jupe de l'autre et caressait son entrejambe du bout de mon pied. Y mettre la main n'aurait pas été difficile, simplement inconfortable. Ma seconde main vint emprisonner son autre sein alors que je vins l'embrasser goulument, attendant qu'elle daigne mettre ces lèvres charnues autour de mon sexe qu'elle faisait durcir avec talent...
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Il y avait une étrange tentions, au départ. Sans savoir de quoi il s'agissait Tooka sentait son "employeur" peu à l'aise, même si cela allait de mieux en mieux grâce au traitement qu'elle lui prodiguait, il y avait encore du chemin avant de le faire fantasmer sur son attribut en dissipant totalement l'aspect "tentacule" de la queue, même si a bien y observer cela ne ressemblait pas à une tentacule mais plus à un "jouet" érotique directement attribuer à ce corps peu commun.
Pétrissant son sein avec plus d'aisance , montrait que Soren prenait goût à cette originalité. Tooka soupirait à ses caresse, très réceptive comme si elle avait un sensibilité à fleur de peau.
La proposition de Soren fut inattendu, elle lui sourit avant de lui répondre entre deux soupir:
Si...Si je suis habille ?
Il cherchait, en grande ligne, l'esclave parfaite. L'esclave qui satisferait ses envies et fantasme sexuel avec plaisir, sans à se forcer, sans refuser, doté du même appétit d'érotisme que lui.
L'hybride lui sourit tendrement.
Ce que Tooka en pense...?
Elle se pencha vers lui et lui embrasa le cou en posant ses lèvres sur sa peau comme une plume. Puis, sa voix lui susurre à l'oreille, doucement:
Vous aller aimez Tooka...
La queue se déserra de son sexe tout d'un coup, le libérant de la pression agréable. D'un geste simple elle lui fit comprendre qu'il ne pourra pas lui toucher le sein pendant un instant. En effet, sa tête cornues descendit... A genoux face à lui qui était encore assit à même le sol, son visage se guida vers le sexe qui avait déjà bien durcit. Elle donna un bref coup de langue dessus avant de mettre une mèche rebelle derrière son oreille. Son regard fixait celui de Soren mais dans ses yeux on voyait qu'elle prenait du plaisir et que ça la rendait même heureuse avec ce sourire enfantin qui était dessiné en permanence sur son visage violacé.
Elle donna des coups de langues successif sur cette queue qui se dressait, comme si elle jouait avec et faisait languir Soren. C'était d'ailleur le but. Au bout de quelques instant àesseyer de l'attiser, ses lèvres se posèrent sur son gland uniquement. Puis, elle aspire et titille ce bout tendu avec son petit muscle légèrement râpeu. Elle guétait al moindre de ses réactions et surtout, voulait lui montrer à quel point elle pouvait être différente des autres femmes qui parcourraient ce domaine.
Sa queue se dressa derrière elle, Soren pu voir qu'elle était plutôt longue et... celle-ci se courba pour venir caresser les lèvres intimes la jeune femme pendant qu'elle enfonca enfin le sexe dans sa bouche.
Pétrissant son sein avec plus d'aisance , montrait que Soren prenait goût à cette originalité. Tooka soupirait à ses caresse, très réceptive comme si elle avait un sensibilité à fleur de peau.
La proposition de Soren fut inattendu, elle lui sourit avant de lui répondre entre deux soupir:
Si...Si je suis habille ?
Il cherchait, en grande ligne, l'esclave parfaite. L'esclave qui satisferait ses envies et fantasme sexuel avec plaisir, sans à se forcer, sans refuser, doté du même appétit d'érotisme que lui.
L'hybride lui sourit tendrement.
Ce que Tooka en pense...?
Elle se pencha vers lui et lui embrasa le cou en posant ses lèvres sur sa peau comme une plume. Puis, sa voix lui susurre à l'oreille, doucement:
Vous aller aimez Tooka...
La queue se déserra de son sexe tout d'un coup, le libérant de la pression agréable. D'un geste simple elle lui fit comprendre qu'il ne pourra pas lui toucher le sein pendant un instant. En effet, sa tête cornues descendit... A genoux face à lui qui était encore assit à même le sol, son visage se guida vers le sexe qui avait déjà bien durcit. Elle donna un bref coup de langue dessus avant de mettre une mèche rebelle derrière son oreille. Son regard fixait celui de Soren mais dans ses yeux on voyait qu'elle prenait du plaisir et que ça la rendait même heureuse avec ce sourire enfantin qui était dessiné en permanence sur son visage violacé.
Elle donna des coups de langues successif sur cette queue qui se dressait, comme si elle jouait avec et faisait languir Soren. C'était d'ailleur le but. Au bout de quelques instant àesseyer de l'attiser, ses lèvres se posèrent sur son gland uniquement. Puis, elle aspire et titille ce bout tendu avec son petit muscle légèrement râpeu. Elle guétait al moindre de ses réactions et surtout, voulait lui montrer à quel point elle pouvait être différente des autres femmes qui parcourraient ce domaine.
Sa queue se dressa derrière elle, Soren pu voir qu'elle était plutôt longue et... celle-ci se courba pour venir caresser les lèvres intimes la jeune femme pendant qu'elle enfonca enfin le sexe dans sa bouche.
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